27 juin 2017

Salon National de l’Immobilier 2017 à Paris : 19 conférences pour investir en toute sécurité

Lors du prochain Salon National de l’Immobilier, qui se déroulera cette année du 13 au 15 octobre 2017 au Carrousel du Louvre à Paris, les visiteurs pourront s’informer afin d’investir dans les meilleures conditions lors des 19 conférences organisées.

Qu’il s’agisse de devenir propriétaire de sa résidence principale pour la première fois ou de réaliser un investissement locatif dans le neuf pour bénéficier de l’avantage fiscal Pinel, le Salon National de l’Immobilier de Paris veut offrir aux visiteurs les meilleurs conseils pour concrétiser leurs projets.

« L’immobilier offre actuellement d’excellentes opportunités, grâce notamment au dispositif de soutien à la primo-accession du prêt à taux zéro (PTZ) et au dispositif d’investissement locatif Pinel, avec avantage fiscal à la clef, dans un environnement de taux de crédit très attractifs », rappelle Olivia Milan, directrice du Salon.

Durant ces trois jours, 19 conférences animées par des professionnels (notaires, courtiers, promoteurs, etc.) seront organisées pour répondre aux questions de tous les acquéreurs, à la fois sur les mécanismes des dispositifs législatifs actuels, et sur les meilleurs moyens d’optimiser son patrimoine selon sa situation personnelle, patrimoniale et fiscale.

Toute la palette des investissements
Primo-investisseur ou bailleur confirmé, neuf en défiscalisation, immobilier ancien, pierre papier, résidences services, achat à l’étranger… L’investissement est au cœur du prochain Salon National de l’Immobilier de Paris, rythmé par de nombreuses conférences thématiques sur chacun de ces sujets, avec en outre des conférences pour financer son investissement en toute sécurité.

« Les conférences vont permettre aux visiteurs de comprendre toutes les facettes de l’investissement, qu’il s’agisse de créer un complément de revenus dans une optique de retraite, de choisir les villes où investir, avec notamment l’horizon du Grand Paris, ou encore d’anticiper la transmission de leur patrimoine », souligne Olivia Milan, directrice du Salon.

Se lancer dans son premier achat
Grâce au très faible niveau des taux d’intérêt actuellement pratiqué par les banques, les primo-accédants disposent d’excellentes conditions pour leur première acquisition. Ils peuvent aussi bénéficier des avantages de la délégation d’assurance, qui peut leur permettre de souscrire une assurance emprunteur aux mêmes conditions que l’assurance de groupe proposée par les établissements bancaires, mais à moindre coût.

« Grâce aux conseils prodigués lors des conférences, les visiteurs primo-accédants vont pouvoir s’informer sur les meilleures conditions de financement de leur projet selon leur profil et leur lieu d’habitation envisagé. Rappelons que le PTZ, octroyé sous conditions de ressources et selon la localisation géographique du bien convoité, permet de financer jusqu’à 40 % du premier achat sans intérêt dans le neuf et dans l’ancien sous conditions de travaux », indique Olivia Milan, directrice du Salon.

Un programme de conférences complet et des consultations gratuites
Lors du prochain Salon National de l’Immobilier, les visiteurs pourront également bénéficier de consultations gratuites pour obtenir les meilleurs conseils pour concrétiser leurs projets immobiliers en toute sérénité.

Paris, en marche vers un nouveau record !

Cela fait désormais 3 ans que l’activité du marché immobilier fait preuve d’un formidable dynamisme. Le nombre de transactions enregistré par le Réseau CENTURY 21 au 1er semestre 2017 est à nouveau en augmentation de 11% par rapport au 1er semestre 2016. Et pourtant, les prix ne s’emballent pas -loin de là !- et enregistrent une hausse très contenue de 1,5% sur la période, mettant le prix moyen au m² à 2532€ France entière, toujours en-deçà du plus haut atteint au 1er semestre 2011 à 2693€ le m². En revanche, à Paris c’est une autre histoire : les prix sont en marche vers un nouveau record !

EN FRANCE
A la tempérance des prix s’ajoutent d’autres indicateurs qui confirment la bonne santé du marché : les délais de vente raccourcissent à peine (-1j) pour s’établir à 94 jours, loin des 64 jours constatés en 2004. Les acheteurs prennent leur temps. Ils profitent pleinement des taux bas, qui n’ont finalement que très faiblement augmenté depuis décembre 2016, pour réaliser leur projet immobilier dans les meilleures conditions possibles.
Installés dans la vie active, les 30-40 ans voient leur proportion progresser de 5,8% parmi les acquéreurs et représenter la tranche d’âge la plus importante sur le marché (27,4%). Ils optimisent le montant qu’ils peuvent emprunter en allongeant la durée de financement (passant de 19,8 ans à 20,3 ans entre le 1er semestre 2016 et le 1er semestre 2017) pour acheter, et même gagner quelques m² supplémentaires (+1,6m²). La superficie moyenne d’une acquisition atteint une surface record de 86,3m². Ces achats sont essentiellement destinés à l’acquisition de la résidence principale. Le marché des résidences secondaires n’évolue pas, quand celui de l’investissement locatif recule de 7,1%, sans doute dû à l’attentisme des investisseurs en période électorale.

A PARIS
Dans la capitale, les prix s’envolent ! +7,7% entre le 1er semestre 2016 et le 1er semestre 2017 : le prix moyen au m² atteint un nouveau sommet en s’établissant au 1er semestre 2017 à 8942€. Nous avions annoncé en début d’année qu’il franchirait les 9000€ ; c’est chose faite au 2e trimestre 2017. Cet emballement n’est évidemment pas sans conséquence sur l’activité. Celle-ci freine et contrairement à la tendance nationale, le nombre de transactions parisiennes enregistre un recul de 3,1% (1er semestre 2017 versus 1er semestre 2016). Les délais de vente qui avaient déjà raccourci de 12 jours au 1er semestre 2016 se contractent à nouveau de 8 jours pour s’établir à 58 jours en moyenne. Ils n’atteignent pas le niveau de 2011 à 44 jours, mais la surchauffe n’est pas loin ! Avec une telle augmentation du prix au m², même si les parisiens sacrifient quelques m² de surface pour acheter (-1,8m²), le montant moyen d’une transaction parisienne crève les plafonds : 446 982€. Pas étonnant que seuls les cadres supérieurs et professions libérales voient leur proportion augmenter sur le marché, représentant désormais 46% des acquéreurs parisiens, quand la part des employés et ouvriers s’effondre, elle, de 19% sur la même période. Le crédit est largement utilisé pour mener à bien l’opération : la durée d’emprunt s’allonge (passant de 19,46 ans à 20,06 ans en moyenne), et la quotité financée par le crédit s’accroît de 57,5% à 65,2%.
Depuis la correction des prix au 1er semestre 2009 faisant suite à la crise des subprimes, le prix au m² parisien a augmenté de 45% ! Au niveau national, sur la même période, il n’a évolué que de 9,5%, un rythme identique à celui de l’inflation.

EN ILE-DE-FRANCE
Loin des accélérations parisiennes, le prix moyen au m² francilien s’établit au 1er semestre 2017 à 3176€, en hausse de 2% par rapport au 1er semestre 2016. Le montant moyen d’une acquisition suit une évolution comparable (+2,5%) et atteint désormais 251 633€, maisons et appartements confondus. Cette progression des prix contenue est bénéfique pour l’activité qui enregistre +11,9% de transactions entre le 1er semestre 2016 et le 1er semestre 2017.
Les écarts sont cependant importants selon les départements. Avec des prix particulièrement bas pour l’Ile-de-France (2272€ le m² au 1er semestre 2017), la Seine-et-Marne voit son activité bondir (+24,7%). A l’autre bout de l’échelle, les Hauts-de-Seine -le département le plus cher de la région- voient le prix moyen au m² monter de 8,9% pour atteindre 5719€ au 1er semestre 2017, avec pour conséquence immédiate un ralentissement net de son activité (-6,4%).

EN REGIONS
Dans treize (des anciennes) régions, le prix moyen au m² augmente. C’est le cas en Alsace, Aquitaine, Auvergne, Basse-Normandie, Centre, Champagne-Ardenne, Franche-Comté, Limousin, Lorraine, Midi-Pyrénées, Nord et Picardie ainsi que dans le Poitou-Charentes.
A l’inverse, dans sept régions (Bourgogne, Bretagne, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Pays-de-la-Loire, PACA et Rhône-Alpes), le prix moyen au m² est en recul. Partout en revanche, à l’exception de l’Alsace et de la Bourgogne, l’activité progresse.
Dans toutes les régions hormis la PACA et Rhône-Alpes, le montant moyen d’une transaction est inférieur au montant de l’enveloppe de crédit disponible pour une mensualité de 1000€ sur vingt ans.

PERSPECTIVES
Malgré une activité soutenue depuis 3 ans, des délais de vente qui se réduisent et des marges de négociation qui s’étiolent, les prix immobiliers semblent contenus, et c’est une très bonne chose. Car il ne faut pas s’y tromper, le pouvoir d’achat immobilier est au maximum de ses capacités, soutenu par des taux d’emprunt particulièrement bas. Ces taux bas offrent la possibilité à certains ménages d’acheter plus grand, quand ils permettent à d’autres, plus modestes, de concrétiser leur projet qu’ils n’avaient pu réaliser jusque-là.
Nous sommes incontestablement dans un marché de taux ; s’ils demeurent constants, l’année 2017 devrait conserver sa belle dynamique et présenter une hausse des prix modérée sur douze mois. Cette relation saine qu’ont nos compatriotes avec l’immobilier, fondée notamment sur l’usage du taux fixe pour les crédits, est une exception française qui n’est pas à bouder.

21 juin 2017

Renégociation de crédit immobilier Les pièges des banques contre les consommateurs

Alors que les taux demeurent historiquement bas, malgré une légère remontée ces derniers mois, incitant les consommateurs à renégocier leur crédit immobilier pour réaliser plusieurs milliers d’euros d’économies, l’UFC-Que Choisir, alertée par de nombreux témoignages ainsi que par la recrudescence des litiges, a mené l’enquête. L’association rend publique aujourd’hui une étude exclusive qui lève le voile sur les nombreux pièges des banques pour limiter les renégociations, aux premiers rangs desquels figurent les comportements dilatoires, la gestion calamiteuse des dossiers ainsi que l’inflation galopante des tarifs. Sur la base de ces constats, l’association saisit les pouvoirs publics pour que soit mis fin à ces pratiques délétères.

Sur la seule année 2016, 1,2 million de ménages ont souscrit un crédit immobilier, et près de la moitié du volume (45 %) est le fait d’une renégociation de crédits existants, par le biais d’un réaménagement auprès de la banque initiale, ou d’un rachat le plus souvent par un établissement concurrent. Or, ces opérations sont la source de nombreux litiges qui représentent le tiers des dossiers relatifs au crédit immobilier traités par nos associations locales(1). Pour mieux comprendre l’origine des difficultés, l’UFC-Que Choisir a passé au crible 493 de ces litiges et, sur cette base, dénonce aujourd’hui les pièges tendus par les banques tout au long du parcours de renégociation.

Demande de renégociation de crédit : les banques jouent la montre

Bien conscients que le temps joue en leur faveur, puisque la renégociation est d’autant plus rentable qu’elle est effectuée rapidement, les établissements bancaires cherchent tout d’abord à gagner du temps. 23 % des litiges concernent ainsi des attitudes dilatoires, aux premiers rangs desquelles on retrouve des délais records (jusqu’à 11 mois) pour l’envoi du décompte de remboursement anticipé, document essentiel permettant le rachat du crédit par un établissement concurrent (10 % des dossiers). Au palmarès des établissements qui profitent de la captivité des consommateurs, c’est le Crédit immobilier de France qui se distingue, en concentrant à lui seul 18 % des cas. D’autres consommateurs (9 % des litiges) ont été quant à eux confrontés à des accords de réaménagement, formels ou informels, finalement non respectés. Autant de temps de gagné, dans un cas comme dans l’autre, par la banque initiale, sachant que 12 mois de perdus réduisent de 820 € l’économie potentielle(2), quand cela ne conduit pas les emprunteurs à se décourager complètement.

Gestion des dossiers : une avalanche d’erreurs et de surfacturations


Obtenir une renégociation ne signifie pas pour autant être au bout de ses peines, puisque 39 % des litiges recensés sont liés à la gestion parfois calamiteuse de ces opérations par les banques. De nombreux consommateurs doivent ainsi s’acquitter de sommes non prévues ou non expliquées, telles que des exonérations de frais promises finalement non honorées ou de coûteux intérêts intercalaires prélevés par la nouvelle banque, quand ils ne subissent pas des erreurs de gestion, comme les nombreux cas de facturation multiples d’une même prestation (10 % du total des litiges).

Pire, alors que la loi exonère d’indemnité de remboursement anticipé (IRA) les ménages contraints de rembourser leur crédit à la suite d’une mobilité professionnelle ou de la perte de leur emploi, 8 % des litiges traités émanent de consommateurs à qui ces IRA ont quand même été facturées ; ils doivent alors s’armer de patience et de ténacité, et souvent de l’aide de nos associations locales, pour faire valoir leurs droits. Notons enfin la douteuse pratique de certaines banques, qui contraignent les emprunteurs à souscrire des produits bancaires ou assurantiels en contrepartie d’un réaménagement.
Facture globale de la renégociation : l’inflation galopante des frais

Enfin, 21 % des dossiers de consommateurs font référence aux frais jugés trop élevés facturés par les banques à l’occasion de ces opérations. Et en effet, si la loi prévoit un encadrement strict des IRA(3), les banques se sont visiblement rattrapées sur le prix des frais annexes, comme le montre notre étude des brochures tarifaires de 30 établissements bancaires(4). En cas de négociation avec sa propre banque, les frais d’avenant ont progressé de 18 % entre 2012 et 2017, pour atteindre en moyenne 1,34 % du capital restant dû. Et le montant plancher a quant à lui explosé (+ 43 %), passant de 361 € à 516 €, et jusqu’à 1500 € pour la Banque Populaire du Nord, ce qui pénalise tout particulièrement les petits emprunteurs. Même logique concernant les frais de dossier lors de la conclusion d’un rachat auprès d’une autre banque, qui s’ils sont restés stables pour les emprunts importants, ont bondi de 24 % pour leur montant plancher, avec une moyenne de 323 €, ING Direct se distinguant par un plancher de 750 €.

Déterminée à ce que les consommateurs-emprunteurs puissent profiter pleinement de la baisse des taux par le biais de la renégociation de crédit immobilier, l’UFC-Que Choisir :

• Saisit la DGCCRF ainsi que l’ACPR afin qu’elles procèdent à des contrôles pour s’assurer du respect par les établissements bancaires de leurs obligations légales et contractuelles (délivrance rapide du décompte de remboursement anticipé, motifs d’exonération de l’indemnité de remboursement anticipé) et pour l’ACPR, qu’elle émette, le cas échéant, des recommandations adaptées ;

• Demande au Ministre de l’Économie d’encadrer plus strictement les opérations de renégociation de crédit immobilier notamment en plafonnant les frais d’avenant et de dossier ainsi qu’en uniformisant la terminologie employée dans le but de favoriser la transparence et de stimuler la concurrence.

Consultez l'étude : Renégociation de crédit immobilier

1 Litiges traités entre janvier 2010 et juin 2017.
2 Compte-tenu du paiement en priorité des intérêts, un rachat reporté d’un an ampute, pour un crédit de 210 000 € sur 18 ans souscrit le 1er juin 2014 au taux de 3,0 %, dont le rachat était initialement prévu le 1er juin 2016 au taux de 1,6 % et qui s’est finalement conclu le 1er avril 2017 au taux de 1,5 %, de 820 € le gain potentiel. Il atteint désormais 15 600 € contre environ 16 420 € initialement.
3 L’article R313-25 du code de la consommation prévoit que le coût de l’indemnité de remboursement anticipé (IRA) ne peut dépasser soit la somme d’un semestre d’intérêt du montant remboursé, soit 3 % du capital restant à rembourser. La formule la plus favorable au consommateur s’applique.
4 Le détail des établissements bancaires étudiés est disponible dans l’étude.

Les taux montent, les primo-accédants s’effritent

A partir des prêts signés en mai, Cafpi analyse le profil de sa clientèle. La hausse des taux, suffisamment légère pour être encore supportable au plus grand nombre, réduit doucement le nombre de primo-accédants. Ils ne représentent plus que 42,4% de la clientèle de Cafpi contre 43 % le mois dernier, et 44% il y a deux mois.

Primo-accédants
Avec une hausse des taux qui ralentit, les primo-accédants conservent leur pouvoir d’achat immobilier. Leurs montant et durée d’emprunt restent stables. Ils empruntent en moyenne 203 857 € sur 236 mois, contre 204 253 € sur 236 mois il y un mois. Leur effort, lui par contre, augmente. Leur acquisition représente 4,40 années de revenus, contre 4,37 années le mois dernier.

Accédants
Même constat pour les autres accédants. Avec une durée moyenne d’emprunt qui reste à 190 mois, ils empruntent environ 42 € de moins (194 314 € en moyenne contre 194 356 € il y a un mois). En conséquence, leur effort pour emprunter reste identique, se stabilisant à 4,79 années de revenus.

20 juin 2017

Le profil de l'emprunteur de la Centrale de Financement au premier semestre 2017

Portés par des taux qui restent bas, les Français continuent à investir dans l'immobilier, perçu comme une valeur sûre dont le rendement locatif demeure supérieur à bien d'autres placements comme le livret A et l'assurance vie.

Le courtier en crédit immobilier, La Centrale de Financement, dresse un portrait stable de l'emprunteur moyen au premier semestre 2017 par rapport à 2016 et relève de fortes disparités entre l'emprunteur francilien et les emprunteurs au niveau national.

Un profil qui change peu par rapport à 2016

Globalement la durée moyenne du prêt (19 ans et 2 mois), l'âge moyen de l'acheteur (38 ans) et ses revenus annuels (55 013€) n'ont guère évolué par rapport à 2016.

Avec un apport moyen de 9,3% au 1er semestre 2017, les acheteurs ont pu souscrire un prêt moyen de 161 201€ grâce aux taux bas qui affichent le même niveau en mai 2017 qu'un an plus tôt en mai 2016.

Comme en 2016, les couples constituent encore la majorité des emprunteurs toutes tranches d'âge confondues. Chez les moins de 30 ans ils représentent 58% des emprunteurs et la proportion augmente jusqu'à 74% chez les 30-39 ans.

Par ailleurs les Français investissent d'abord pour acquérir leur résidence principale (86,48%) motivés par la volonté de ne pas payer de loyer à fonds perdus et de préparer leur retraite. Les investisseurs restent également présents grâce notamment au dispositif Pinel en vigueur jusqu'au 31 décembre 2017.

À l'issue de cette longue période électorale le Président Macron jouit désormais d'une majorité absolue à l'Assemblée nationale pour mettre en œuvre le redressement économique du pays. Il pourra notamment s'appuyer sur l'optimisme et le regain de confiance affichés par les chefs d'entreprises et par les professionnels du marché de l'immobilier.
Sylvain Lefèvre, Président de La Centrale de Financement déclare : « nous espérons la nomination d'un secrétaire d'Etat en charge du logement et des mesures de soutien à l'attractivité du placement immobilier via le prolongement de dispositifs qui ont montré leur efficacité comme le PTZ et le Pinel. Nous serons également très attentifs aux dispositions fiscales et plus particulièrement à l'arbitrage qui sera opéré sur le niveau des taxes telles que la CSG ».

Focus primo-accédants

L'âge moyen des primo-accédants reste stable à 33 ans, de même que le pourcentage d'apport moyen à 10,3% et la durée du prêt (22 ans). Avec des revenus annuels de 38 742€, ils obtiennent en moyenne un prêt de l'ordre de 141 443€.
La majorité des acquéreurs d'une résidence principale est constituée par les moins de 30 ans lesquels profitent des taux bas et du PTZ.

La stabilité du profil du primo-accédant s'apprécie par rapport aux affaires signées et par rapport aux compromis en cours. La tension des prix du marché constatée dans les grandes villes oblige les acheteurs à opérer des ajustements qui se traduisent par un apport venant de la famille ou par la réduction de la surface visée. Le primo-accédant sera très attentif à l'évolution des taux qui, s'ils devaient se tendre, pourraient freiner la demande compte tenu de l'augmentation des prix.

Pour Sylvain Lefèvre, « Il faudra attendre les chiffres de septembre et les signaux envoyés par le gouvernement pour confirmer le dynamisme de 2017».

Ile de France et national, des chiffres qui montrent de grandes disparités de profils

Si l'âge moyen, la durée moyenne du prêt et l'usage du bien financé sont les mêmes, tous profils confondus, les différences concernent essentiellement l'effort fourni par les emprunteurs résidant en Ile de France
Les acheteurs d'Ile de France disposent certes de revenus annuels supérieurs de 22% à ceux des autres acheteurs mais ils fournissent un apport plus important (12,3% en Ile de France contre 10,3% au niveau national). L'effort consenti sur le ratio entre le montant du prêt par rapport aux revenus est également plus élevé (3,07 en Ile de France contre 2,93 au niveau national). Ce dernier écart augmente encore pour les primo-accédants.

Les derniers indicateurs sur les prix de la pierre en région parisienne en hausse de 4,5% par rapport à l'an dernier, montrent que la réduction des disparités entre les profils n'est pas pour demain.

À propos de la Centrale de Financement :
Née en 2013 de l'association de Sylvain LEFEVRE et Philippe GIROU, deux professionnels reconnus combinant presque 40 ans d'expérience dans le courtage en prêts immobiliers, La Centrale de Financement est un réseau constitué de 125 agences implantées dans toute la France et en Europe. Son ambition principale est de proposer toute l'offre de prêts immobiliers au plus grand nombre en assurant les conditions financières les plus avantageuses et un accompagnement personnalisé et durable des clients. Artémis, société d'investissement de la famille Pinault, est actionnaire majoritaire de la société. Le groupe apporte son soutien à La Centrale de Financement dans sa volonté de développement européen, notamment à travers l'expérience de l'ensemble de ses marques.

19 juin 2017

De nouveaux diagnostics pour la location

Les diagnostics immobiliers sont indispensables pour acheter ou louer un bien immobilier en toute connaissance de cause. La loi impose de nouveaux diagnostics à la location au 1er juillet 2017.

Avis aux propriétaires bailleurs : la loi dite ALUR (pour l’Accès au Logement et un Urbanisme Rénové) du 24 mars 2014 a ajouté de nouvelles obligations en matière de diagnostics immobiliers fournis par le bailleur à son locataire lors de la signature du bail. Elles reposent sur les décrets n° 2016-1105 du 11 août 2016 relatif à l'état de l'installation intérieure d'électricité dans les logements en location et n° 2016-1104 du 11 août 2016 relatif à l'état de l'installation intérieure de gaz dans les logements en location.

« Les propriétaires concernés doivent s’en inquiéter rapidement afin de pouvoir faire appel aux professionnels dans les plus brefs délais : avant les grandes vacances, les emplois du temps des diagnostiqueurs immobiliers risquent d’afficher complet, et ce d’autant que la saison du logement étudiant se profile dès juin. » précise Sylvain Elkouby dirigeant-fondateur de www.syndicexperts.com

Diagnostics gaz et électricité

Réalisés par des diagnostiqueurs compétents et certifiés, ces deux diagnostics doivent être annexés au Dossier de Diagnostic Technique (DDT). Ces dispositions visent uniquement les baux des résidences principales (art. 3-3 de la loi du 6 juillet 1989), vides ou meublées. Les durées de validité sont de 6 ans pour l'un comme pour l'autre. Les pouvoirs publics ont souhaité une entrée en vigueur progressive, en fonction de l’ancienneté du logement. Les deux diagnostics doivent être annexés :

- à tous les contrats de location signés à compter du 1er juillet 2017, pour les logements situés dans un immeuble collectif dont le permis de construire délivré avant le 1er janvier 1975,

- à tous les contrats de location signés à compter du 1er janvier 2018, pour les autres logements.

Ces diagnostics s’ajoutent aux autres diagnostics obligatoires : l'état des risques naturels, miniers et technologiques (ERNMT), le diagnostic de la performance énergétique (DPE), le constat des risques d’exposition au plomb (CREP) pour les logements construits avant 1949 et au diagnostic amiante pour les biens construits avant 1997.

Détecteurs de fumées

Pour rappel, une autre mesure de sécurité des logements est prévue par l’article 3 de la loi ALUR : « Pour les logements occupés par un locataire au moment de l'entrée en vigueur de l'article 1er de la loi n° 2010-238 du 9 mars 2010 visant à rendre obligatoire l'installation de détecteurs de fumée dans tous les lieux d'habitation, l'obligation d'installation faite au propriétaire est satisfaite par la fourniture d'un détecteur à son locataire ou, s'il le souhaite, par le remboursement au locataire de l'achat du détecteur ».

Sécurité incendie

Selon l’Observatoire National de la Sécurité Electrique, 200 000 logements prennent feu chaque année en France, soit l’équivalent d’une ville de la taille de Bordeaux entièrement brûlée. Un incendie domestique sur quatre, soit 50 000 chaque année, est de source électrique individuelle : 61 % sont liés aux équipements électriques (radiateurs, lave-linges, micro-ondes, lampes…) et 36 % aux installations fixes ou mobiles (prises, multiprises…), contre seulement 3 % liés aux installations des parties communes.

15 juin 2017

Les Promoteurs du Grand Paris commercialisent 2 550 logements neufs en un an

Les Promoteurs du Grand Paris, ce sont 6 acteurs historiques et indépendants de l'immobilier en Ile-de-France qui ont décidé de se rassembler en une association il y a un an, au moment de la création de la Métropole du Grand Paris début 2016. Bécarré Elysées, Bricqueville, Cibex, MDH Promotion, Paris Ouest Promotion et Pierre Etoile sont les six promoteurs membres de l’association.

50 nouveaux programmes à travers l’Ile-de-France

En un an d’activité, Les Promoteurs du Grand Paris ont mis en ligne 50 programmes, représentant un total de 2 552 logements neufs, du studio au 5 pièces et plus, en appartement ou maison individuelle, exclusivement en Ile-de-France.

Un programme de 27 logements dans le 15ème arrondissement de Paris, sept programmes en Seine-et-Marne pour 432 logements, sept programmes dans les Yvelines pour 396 logements, un programme de 61 logements en Essonne à Bondoufle, neuf programmes pour 421 logements dans les Hauts-de-Seine, onze programmes pour 532 logements en Seine-Saint-Denis, douze programmes pour 518 logements dans le Val-de-Marne, et deux programmes dans le Val-d'Oise pour 165 logements.

Des logements à proximité des nouvelles lignes de transports en commun

Les Promoteurs du Grand Paris s’étant donné comme objectif de participer au développement de la Métropole du Grand Paris et de répondre aux besoins en logements liés aux nouveaux itinéraires des transports en commun, ces nouveaux logements se trouvent majoritairement à proximité des nouvelles et futures gares du Grand Paris.

Tous ces programmes neufs sont éligibles à la loi Pinel et au PTZ, et 38% d’entre eux permettent de bénéficier d’une TVA réduite à 5,5%.

25% de programmes en plus en un an

Au lancement de la plateforme, 28 programmes étaient proposés et ils sont aujourd’hui 35, soit une progression de 25% en un an avec un total de 50 programmes mis en ligne. 50 000 visiteurs uniques sont venus sur le site Les Promoteurs du Grand Paris depuis son lancement.

Les Promoteurs du Grand Paris participent à des appels à projets

Les Promoteurs du Grand Paris proposent désormais aux aménageurs de la métropole une alternative forte grâce aux complémentarités et à la diversité qu’offre leur groupement.

14 juin 2017

Les taux de crédits immobiliers toujours attractifs

Les acteurs du financement immobilier ont répondu présents pour le prochain Salon National de l’Immobilier, qui se déroulera cette année du 13 au 15 octobre au Carrousel du Louvre à Paris.

Les taux des crédits immobiliers sont toujours inférieurs à leur niveau constaté un an plus tôt. Selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA, la moyenne des taux s’est établie à 1,55 % en avril, hors assurance et toutes durées d’emprunt confondues. Certes, durant les premiers mois de l’année, le mouvement de légère hausse s’est confirmé : la moyenne des taux a augmenté de 24 points de base depuis son plus faible niveau historique, à 1,31 % en novembre 2016. Mais les taux d’intérêt restent toujours très attractifs, inférieurs de 26 points de base à leur niveau constaté un an plus tôt, à 1,81 % en avril 2016.

Des taux d’intérêt stables
Tous ceux qui souhaitent emprunter peuvent réaliser leur projet dans les meilleures conditions.
« Qu’il s’agisse d’acheter sa résidence principale ou secondaire dans l’ancien, de faire construire sa première maison ou de signer un contrat de réservation dans le neuf en VEFA (Vente en l’Etat Futur d’Achèvement), pour réaliser un investissement locatif, les banques continuent de soutenir tous les projets immobiliers. Certains établissements bancaires acceptent même de financer des projets à 110 %, pour les ménages modestes sans apport personnel », souligne Olivia Milan, Directrice du Salon.

« Les taux d’emprunt vont rester stables pour le mois de juin. Les plus bas atteignent 0,80 % sur 10 ans, 1 % sur 15 ans, 1,25 % sur 20 ans et 1,50 % sur 25 ans, indique Philippe Taboret, Directeur Général Adjoint de Cafpi. Toutefois, les élections législatives maintiennent le marché en attente. Nous sommes au creux de la vague. Une fois le gouvernement pleinement installé, nous aurons une vraie vision de la qualité de la production pour les mois à venir ».

Dernier round pour le prêt à taux zéro ?
Sous sa forme actuelle, le prêt à taux zéro (PTZ) est octroyé par les banques jusqu’à la fin de l’année. Les professionnels de l’immobilier attendent du nouveau Gouvernement d’Edouard Philippe, qu’il prenne position au plus tôt sur sa reconduction, afin de soutenir le secteur immobilier.

Pour rappel, accordé sous conditions de ressources et de zone géographique, le PTZ permet de financer sans intérêt jusqu’à 40 % de l’acquisition d’un logement neuf ou ancien, à condition dans ce cas que le montant des travaux d’amélioration représente au moins 25 % du coût total de l’opération. Il est cumulable avec les autres prêts aidés (Action Logement pour les salariés ; prêt à l’accession sociale, qui permet de bénéficier de l’aide personnalisée au logement ; etc.).

« L’an dernier, près de 100 000 ménages, dont une grande majorité n’aurait pas eu la possibilité autrement, ont concrétisé leur rêve d’accession à la propriété grâce au prêt à taux zéro », commente Philippe Taboret.

Parmi ces emprunteurs, Cafpi a dénombré 58 % d’employés ou d’ouvriers et 14 % de cadres. Le montant moyen des PTZ accordés était de 65 642 euros dans le neuf et à 48 835 euros dans l’ancien, sur 264 mois.

Un coup de pouce pour l’assurance emprunteur
En cas de décès, d'invalidité ou de perte d’emploi, l'assurance de prêt prend le relais et rembourse la banque des mensualités de remboursement du crédit à la place de l’emprunteur. Les emprunteurs ont le choix entre la souscription du contrat d’assurance proposé par la banque qui a négocié une assurance collective auprès d'un assureur.

Vous pouvez aussi opter pour une délégation d’assurance, c’est-à-dire souscrire un contrat d’assurance auprès de l’assureur de votre choix. Si ce contrat présente un niveau de garantie équivalent au contrat d’assurance proposé par l’organisme de crédit, ce dernier l’acceptera après une étude détaillée de votre dossier.

Lors du prochain Salon National de l’Immobilier, qui se déroulera cette année du 13 au 15 octobre au Carrousel du Louvre à Paris, les visiteurs pourront bénéficier de consultations gratuites pour obtenir les meilleurs conseils pour financer leur projet immobilier en toute sérénité. Ils auront également la possibilité de participer aux conférences organisées par le salon sur ce sujet :

- Vendredi 13 octobre à 11h30 : Comment bien négocier son crédit immobilier ?
- Vendredi 13 octobre à 16h30 : Comment financer l’achat de son premier logement neuf ou ancien en Ile-de-France ?
- Dimanche 15 octobre à 13h30 : Financer un investissement locatif : les meilleurs leviers
- Dimanche 15 octobre à 14h30 : Assurer le financement de sa résidence principale : préparer son projet et emprunter malin

12 juin 2017

Pour un Grenelle du logement

Par Jean-François Buet, Président de la FNAIM

Une fois de plus, un brouhaha entoure la vraie politique. Cette fois, le logement en fait les frais: le ministre de la Cohésion des territoires, en charge du dossier logement au gouvernement, est dans la tourmente à cause d'une affaire immobilière renvoyant à son passé de dirigeant de société. Dès lors on ne parle plus du programme du candidat Macron sur le logement, pourtant substantiel, ni de son engagement pour qu'une loi d'ampleur soit votée avant la fin de l'année 2017. Tous les esprits se concentrent sur l'anecdote, certains observant que les embarras de Monsieur Ferrand sont paradoxalement liés à un secteur d'activité dont il est aujourd'hui responsable.

Presque tous les esprits. Les corps intermédiaires ont gardé la réserve sur ce sujet et seule la justice est à même de statuer. En revanche, nous attendons que le gouvernement travaille à marches forcées pour le logement et le fasse selon la bonne méthode. Les gouvernements passés, quelle que soit leur couleur, ont négligé la concertation et la réflexion. A l'arrivée, tant en matière civile que fiscale, trop de textes, mal ajustés, souvent inapplicables, qu'il faut reprendre et corriger, répondant à des objectifs contradictoires, sans souffle, sans inspiration. Il faut un Grenelle du logement, vertueux pour quatre raisons majeures.

D'abord, le principe qui prévaut à la démarche du Grenelle est le respect des parties prenantes et la conviction que chaque famille professionnelle ou associative reconnue est porteuse d'une part de vérité. La concertation n'enlève rien au pouvoir de décision, ni à l'autorité de l'exécutif: à l'inverse, elle témoigne qu'il ne craint pas l'échange parce qu'il a des convictions et des compétences. Il faut remonter à 1992 pour trouver un ministre – Jean-Louis Bianco- qui avait initié, avec pour bras armé le Plan, des Entretiens du logement, qui s'étaient tenus pendant trois jours symboliquement au Conseil économique et social (il n'était pas encore environnemental). Un quart de siècle plus tard, il est temps de rouvrir le plus large débat.

Le Grenelle, c'est aussi un rempart contre le risque de court-termisme et la tentation de favoriser tel ou tel maillon de la chaîne du logement. Analyser, écouter, fonder les choix stratégiques, dépasser la tactique et les égards du moment au profit du neuf aujourd'hui, de l'existant demain, des HLM souvent, renoncer aux à-coups et mesurer la valeur du temps pour mettre en œuvre des actions efficaces, voilà ce que le Grenelle rendrait possible.

Et puis cela éviterait l'écueil qui consiste à trouver que le logement va mieux que jamais et qu'il suffit de ne rien changer pour que ça dure. Des questions de fond se posent : pourquoi les prix augmentent-ils de nouveau en zone tendue ? Continuera-t-on longtemps à inventer des aides qui compensent la distance entre la charge du logement et les revenus des ménages ? Pourquoi la part du terrain dans le coût de production du logement ne cesse-t-elle de croître ? S'accommodera-t-on définitivement que des familles soient sans abri dans un pays comme la France ?

Enfin, il est vrai que la communauté du logement a nourri des inquiétudes en ne voyant pas de ministère dédié à sa cause dans l'organigramme. Les propos de Richard Ferrand sur sa feuille de route ont immédiatement rassuré. Plus encore, le concept d'un grand ministère intégrant l'aménagement du territoire, le dialogue avec les collectivités locales, la ville et le logement a montré l'importance que le Premier ministre et le Président de la République accordaient à l'habitat. Un Grenelle accomplirait simplement cette vision panoramique et exigeante, en n'écartant aucun aspect, aucune dimension, pour écrire une belle histoire pour le logement des cinq prochaines années et au-delà.

08 juin 2017

SeLoger s'allie à La Centrale de Financement pour accompagner les Français dans le financement de leur projet immobilier

Soucieux d'accompagner les Français sur tous les aspects de leurs parcours immobiliers, après s'être attelé au déménagement, aux offres de box Internet et avoir lancé une offre d'achat groupé d'énergie, SeLoger continue d'étendre son offre de service et propose aujourd'hui de les accompagner dans leur recherche de financement, à travers l'expertise de La Centrale de Financement.

Unis par des valeurs communes autour de l'exigence, l'expertise, la déontologie et l'accompagnement, le spécialiste du courtage en crédit immobilier et le leader de l'immobilier en ligne signent un partenariat exclusif qui permettra aux internautes de mener à bien leur projet de financement immobilier.

SeLoger lance aujourd'hui un nouveau portail dédié au crédit immobilier et met en place une équipe experte pour accompagner les utilisateurs à chaque étape de leur recherche de financement :

1/ Estimer leur projet
Les experts de SeLoger aident les internautes à calculer leur capacité d'emprunt et les mensualités associées en leur proposant de simuler leur financement, en fonction du prix du bien, du montant de leur apport personnel ou de la durée du prêt.

2 /Obtenir le meilleur taux
Les internautes sont invités à envoyer gratuitement leur dossier de prêt à l'équipe de SeLoger, qui les conseillera pour obtenir la meilleure offre de financement, au meilleur taux.

3/ Préparer leur crédit immobilier
Les experts de SeLoger rappellent gratuitement les internautes qui le souhaitent, afin de les aider, grâce à La Centrale de Financement, à trouver le meilleur prêt.

Les utilisateurs sont ainsi assurés du meilleur accompagnement en bénéficiant de la bonne information au bon moment.

Olivier Le Gallo, Directeur Marketing, Communication et Data de SeLoger, est « heureux de ce partenariat avec La Centrale de Financement dont les valeurs d'exigence, d'expertise et de déontologie répondent au sérieux que SeLoger exige et délivre dans son accompagnement des Français. »

Pour Sylvain Lefèvre, Président de La Centrale de Financement, « ce partenariat constitue non seulement une formidable opportunité de notoriété et de développement, mais nous permet également de nous inscrire dans une démarche résolument qualitative et innovante ».

07 juin 2017

Corniche Kennedy : 19 logements dans un écrin de verdure en bord de mer

OGIC va construire dans le 7e arrondissement de Marseille, secteur plébiscité depuis toujours par les habitants, mais qui propose rarement des opportunités immobilières, une nouvelle résidence, « Corniche Talabot », totalisant 19 logements. Située avenue du Colonel Serot, cette résidence avec un parc donnant directement sur la corniche, propose un cadre de vie verdoyant et de belles vues sur la rade de Marseille.

Une résidence ouverte sur l’extérieur.
La résidence « Corniche Talabot » s’inscrit parfaitement dans son environnement. En lisière d’un parc arboré planté d’essences variées, la résidence est comme protégée par un écran de verdure, offrant de grandes percées sur la mer.

Les 19 appartements de la résidence, allant du 2 au 4 pièces, disposent d’une ouverture sur l’extérieur : jardins pour les rez-de-chaussée, terrasses et loggia dans les étages, quelques logements disposent de toit-terrasses offrant d’imprenables vues mer.

Prix et livraison. Les appartements de « Corniche Talabot » sont proposés à partir de 7 250€/m² hors parking. La livraison est prévue au 2e trimestre 2018.

Une architecture accompagnant la nature.
« Corniche Talabot » a été conçue par les architectes Pascal Crepet et Bernard Vernerey afin d’ouvrir la résidence sur le parc. L’accès aux halls d’entrée se fait par une passerelle en bois. Les ascenseurs donnant sur l'extérieur sont entièrement vitrés. De vastes espaces plantées séparent les terrasses du dernier étage, ils se prolongent sous forme de pergolas le long des façades, donnant l’impression que le parc et la résidence ne font qu’un.

La Corniche Kennedy, lieu emblématique de Marseille
Le 7e arrondissement de Marseille, avec la Basilique Notre-Dame-de-la-Garde, le Vallon des Auffes, l’anse de la Fausse Monnaie, le Palais du Pharo, le fort Saint-Nicolas et l’Abbaye Saint-Victor, offre un paysage en balcon ouvrant sur la Méditerranée et ses îles. Il est bordé par la Corniche Kennedy, où l’on retrouve de nombreux hôtels et restaurants réputés, avec sur les hauteurs quelques une des plus belles villas et résidences de la ville.

01 juin 2017

Crédit immobilier : Les taux les plus bas restent en Occitanie

La météo des taux de Cafpi donne un aperçu des nouveaux baromètres des banques reçus en début de mois. Ces taux sont ceux qui seront proposés par Cafpi à sa clientèle de nouveaux emprunteurs.
Entre mai et juin, les taux proposés par les banques et négociés par Cafpi évoluent peu. Ainsi, en juin, les emprunteurs d’Occitanie, qui conserve la tête des régions où le crédit immobilier est le moins cher, bénéficieront des taux les plus bas du marché sur 10, 20 et 25 ans. La Corse reste la dernière de la classe, suivie par les départements d’outre-mer. Sur 15 ans, les places changent. Les îles (avec Provence-Alpes-Côte d’Azur) proposent les taux les plus bas, alors que les plus hauts sont en Ile-de-France.

Régions : les taux les plus bas
0,80% sur 10 ans, 1,25% sur 20 ans et 1,50% sur 25 ans étaient les taux proposés en Occitanie le moins dernier. Ils ne bougent pas, faisant de la région, celle où les taux sont les plus bas. Elle conserve également sa 2e place sur 15 ans avec 1,05%. Vient ensuite la Normandie avec 1,15%. Avec 1,00% sur 15 ans, la Corse, les DOM-TOM et Provence-Alpes-Côte d’Azur prennent la 1ère place sur cette durée. La Bourgogne - Franche-Comté, le Grand Est et la Nouvelle-Aquitaine prennent la 2e place sur 10 ans avec 0,90%. La Normandie confirme sa bonne position dans le classement avec respectivement 1,31% et 1,51% sur 20 et 25 ans.

Régions : les taux les plus élevés
La Corse est la région qui propose les taux les plus élevés sur 10, 20 et 25 ans (1,31%, 1,81% et 2,12%). Elle devance les DOM-TOM, qui sur ces durées, ont des taux qui atteignent 1,20%, 1,60% et 1,90% (Provence-Alpes-Côte d’Azur propose ce même taux sur 25 ans). L’Ile-de-France reste en bas de classement, avec le taux le plus élevé sur 15 ans (1,29%) et une troisième place sur 10 ans (1,02%) et 20 ans (1,44%).

Chez ERA Immobilier, le volume des transactions a augmenté de 10%

En ce premier trimestre 2017, la hausse des prix s’est poursuivie dans l’ancien. C’est ce que révèle le dernier observatoire de l’immobilier réalisé par ERA à partir des 4 600 transactions effectuées au sein de son réseau entre le 1er janvier et le 31 mars 2017. L’observatoire pointe une baisse de l’offre de 3,9% par rapport au premier trimestre 2016 entrainant une hausse des prix de 3,6% et un volume de transactions de plus de 10%.

« De nombreux Français ont retardé leur projet immobilier en raison de la conjoncture économique, puis se sont précipités pour acheter juste avant les élections présidentielles, d’où une raréfaction des biens mis sur le marché, mais une augmentation des mandats exclusifs de 7% au niveau national et de presque 16% à Paris, mandat qui permet d’accélérer les ventes » souligne François Gagnon Président ERA Europe et ERA France

A Paris, ces éléments sont amplifiés avec une augmentation de 23,11% du volume de transactions, et de 9% du prix moyen de vente au m2, atteignant ainsi 8 799 €. L’offre, quant à elle, a chuté de 12,2% en comparaison avec le 1er trimestre 2016.

Sur l’ensemble du territoire au premier trimestre, le prix de vente moyen était de 216 843 €. En Ile-de-France, il s’établit à 283 812 € et en province il atteint 187 820 €.

Illustration de la vitalité du marché national, le délai de vente est ramené à 88 jours contre 95 jours (soit 7 jours en moins comparé au 1er trimestre 2016). A Paris, il faut compter 53 jours contre 67 sur cette même période (soit 14 jours en moins). En Ile-de-France, 66 jours (soit 16 jours en moins comparé au 1er trimestre 2016) et enfin en province 96 jours (soit 2 jours en moins comparé au 1er trimestre 2016) sont nécessaires pour vendre son bien dans de bonnes conditions.

Crédit immobilier : vers un mois de juin stable

La météo des taux analyse l’évolution des taux au fil des mois. Elle propose un bilan : quel taux a-t-il fait courant mai, et des prévisions : quel taux devrait-il faire en ce mois de juin. Il faut donc distinguer les taux dont ont bénéficié les emprunteurs pendant le mois de mai, des taux affichés aujourd’hui qui seront proposés aux nouveaux emprunteurs courant juin.

Bilan du mois de mai : la hausse des taux se poursuit
En regardant de plus près les taux effectivement pratiqués en mai, Cafpi note que les dossiers se sont bouclés à 0,97% sur 10 ans, 1,15% sur 15 ans, 1,40% sur 20 ans et 1,79% sur 25 ans, en hausse de 0,07% à 0,19% à ceux pratiqués sur l’ensemble du 1er trimestre 2017. Cette photographie des taux effectivement obtenus montrent la hausse continue des taux sur les 5 premiers mois de l’année. « Sachant qu’il faut entre 2 et 4 mois pour finaliser un dossier, il s’agit des taux effectifs obtenus par les emprunteurs ayant lancés leur opération entre janvier et mars derniers », précise Philippe Taboret.

Un mois de juin : des prévisions stables
En ce début de mois, les taux négociés par Cafpi auprès des banques restent stables. Les plus bas d’entre eux atteignent 0,80% sur 10 ans, 1,00% sur 15 ans, 1,25% sur 20 ans et 1,50% sur 25 ans. « Les taux les plus hauts obtenus par Cafpi restent inférieurs de 0,41% en moyenne à ceux affichés », indique Philippe Taboret, Directeur Général Adjoint de Cafpi.

Une demande en baisse
Sur le mois de mai, la nouvelle demande a faibli, en retrait de 18% par rapport à mai 2016. Les incertitudes autour des résultats de l’élection présidentielle et de la conjoncture économique ont eu un impact que se fait à présent ressentir. « Les élections législatives de ce début de mois maintiennent le marché en attente, explique Philippe Taboret. Nous sommes au creux de la vague. Dès mi-juin, une fois le gouvernement pleinement installé, nous aurons une vraie vision de la qualité de la production pour les mois à venir ».

Cette baisse de la demande est également due à la forte chute du nombre de rachats de crédits. Sous l’effet de la hausse des taux, ceux-ci ne représentent plus que 20% de l’activité de Cafpi, contre 30 % il y a un an.

Les éléments porteurs suffiront-ils ?
Aujourd’hui, le marché est porté par les aides, les taux bas et les prix qui restent accessibles (même si les zones tendues ont connu de fortes hausses ces derniers mois). Les indicateurs OAT 10 ans, taux directeur de la BCE et Euribor, restent stables. Dans cette conjoncture et confrontée à une baisse de la demande, les banques ne bougent pas. Elles maintiennent leurs taux le plus bas possible pour attirer la clientèle, alors qu’elles devraient les augmenter, pour retrouver leurs marges. « Dans ces conditions, passée la période printanière, la hausse des taux va se poursuivre lentement », annonce Philippe Taboret.

Malgré ce contexte, Cafpi reste optimiste concernant le développement de l’activité (que ce soit celle du marché ou de l’intermédiation en crédits). Les nouveaux emprunteurs font de plus en plus confiance aux courtiers pour trouver l’offre de prêts qui leur correspond.

CAFPI ouvre une nouvelle agence avenue des Gobelins dans le 5e arrondissement

Depuis début 2016, CAFPI confirme la reprise des marchés immobiliers. Présent sur l’ensemble du territoire métropolitain et les DOM-TOM, il renforce aujourd’hui sa présence à Paris en déménageant son agence de la rue Véronèse dans le 13e arrondissement, sur l’avenue des Gobelins dans le 5e arrondissement. Avec cette nouvelle implantation, dans un local de 135 m² entièrement rénové, Cafpi se donne les moyens supplémentaires de satisfaire sa clientèle.
« Paris reste un point fort de notre activité, je prête donc une attention particulière à nos agences parisiennes. Mon objectif est de proposer une expérience client renouvelée, avec des agences plus accueillantes, valorisant la proximité et le service client de Cafpi », indique Laurent Desmas, Président du Directoire de Cafpi.

Taux de crédit
Aujourd’hui, CAFPI propose sur l’Ile-de-France des taux de crédit inférieurs de 0,46 à 0,55% par rapport aux taux du marché. Ils s’établissent à 1,02% sur 10 ans, 1,29% sur 15 ans, 1,44% sur 20 ans et 1,74% sur 25 ans. En mai, l’Ile-de-France est la région où le taux de crédit immobilier sur 15 ans est le plus élevé, certaines régions, telles que Provence-Alpes-Côte d’Azur ou la Corse, affichent un taux de 1,00% sur cette durée.

Profils des emprunteurs Cafpi dans les 5e et 13e arrondissements
95% des clients de l’agence achètent dans les 5e et 13e arrondissements. Ils ont en moyenne 40 ans (50% entre 30 et 40 ans) et sont cadres. Leurs revenus moyens se montent à 87 000 € annuels, mais 21% de la clientèle dispose de plus de 120 000 €.
Pour leur achat immobilier, ils empruntent en moyenne 305 000 € avec un apport situé entre 46 000 et 87 000 €, même si nous constatons actuellement une baisse de cette somme.

Une équipe dédiée
Fort de 1 420 collaborateurs, CAFPI recrute en permanence pour faire face à son expansion. Pour cette nouvelle agence 8 collaborateurs (dont 6 mandataires ayant entre 5 et 10 ans d’expérience dans le courtage et la banque) vont œuvrer pour atteindre l’objectif de réaliser 210 dossiers pour un volume de 63 millions d’euros débloqués d’ici la fin de l’année.

Une agence ouverte sur l’art
En dehors des services classiques déjà offerts, cette nouvelle agence propose d’ouvrir à des artistes son espace mural. Ainsi, à l’occasion de son inauguration le 15 juin, le peintre Bernard Montagnana exposera ses toiles.