29 avril 2015

BNP Paribas Immobilier Résidentiel lance une nouvelle résidence «CARRÉ 2» à Levallois-Perret (92)

BNP Paribas Immobilier Résidentiel lance une nouvelle résidence, «CARRÉ 2», située à Levallois- Perret à l’angle des rues Baudin et Jules Guesde.

Doté d’une architecture élégante représentative des résidences de Levallois, ce programme est imaginé par le cabinet DGM & Associés et réalisé par BNP Paribas Immobilier Résidentiel.

« CARRÉ 2 » proposera des appartements du studio au 6 pièces disposant de larges baies vitrées et prolongés pour certains d’un balcon ou d’une terrasse. La plupart bénéficient en outre d’une vue sur le Parc Collange et les jardins intérieurs.

Idéalement situé au cœur de Levallois à proximité immédiate des commerces et établissements scolaires, « CARRÉ 2 » est facilement accessible notamment par le métro (ligne 3, station Anatole France), le bus (ligne 165, arrêt Aristide Briand) ou encore par le Boulevard Périphérique (sortie Porte de Champerret).

Fidèle aux engagements environnementaux de BNP Paribas Immobilier Promotion Résidentiel, « CARRÉ 2 » s’inscrit dans une démarche de certification H&E (Habitat et Environnement) et respecte les exigences d’un immeuble basse consommation.

Pour plus d’informations :
Espace de vente : 92 rue Baudin - Levallois-Perret
www.levallois.carrelevallois.fr

Prix de vente (TTC), hors parking, hors cave, selon le stock disponible :
Studio de 24,8 m² : à partir de 223 000 €
2 pièces de 48,45 m² : à partir de 394 000 €
3 pièces de 62,13 m² avec jardin de 54,72 m² : à partir de 527 000 €
4 pièces de 83,98 m² : à partir de 703 000 €
5 pièces de 126,19 m² avec balcon de 33,65 m² : à partir de 1 136 500 €
6 pièces de 123,75 m² avec terrasse de 109,42 m² : à partir de 1 348 000 €

28 avril 2015

Dalloz : 1re édition du code de l'expropriation commenté

Dalloz publie la première édition du Code de l'expropriation pour cause d'utilité publique, commenté et enrichi de tous ses prolongements jurisprudentiels et doctrinaux

Première réorganisation d'envergure depuis 1977

Recodifié par l'ordonnance n° 2014-1345 du 6 novembre 2014 et par le décret n° 2014-1635 du 26 décembre 2014, le droit de l'expropriation est désormais doté d'un plan plus lisible pour une meilleure approche de la matière. Une évolution indispensable pour cette matière en constante évolution, avec plusieurs dizaines d'arrêts nouveaux chaque mois.

Ainsi, les domaines suivants ont été profondément impactés :

· la scission et le regroupement d'anciens articles, afin de réunir par matière (utilité publique, juridiction de l'expropriation, indemnisation, etc.) les différentes règles correspondantes contenues dans le code.
· les dispositions de la loi du 10 juillet 1970 modifiée tendant à faciliter la suppression de l'habitat insalubre intégrées au corpus du code.
· l'ajout de dispositions relatives à l'expropriation outre-mer, alors que le code de 1977 était muet sur ce point.

Un commentaire explicatif riche et de nombreux textes complémentaires

Le commentaire explicatif qui accompagne le corpus législatif et réglementaire permet au lecteur d'aborder la matière tant sur le plan théorique, avec, par exemple, la définition de l'utilité publique, notion centrale du droit de l'expropriation, que sur le plan pratique, avec de nombreux éclaircissements sur les subtilités contentieuses qui caractérisent la matière.

Parmi les nombreux textes complémentaires présents dans l'appendice du code, on trouve notamment :

· les dispositions du code de l'environnement relatives aux enquêtes publiques et aux études d'impact ;
· les dispositions du code général des collectivités territoriales relatives aux biens en état d'abandon manifeste ;
· la loi du 29 décembre 1892 relative aux dommages causés à la propriété privée par l'exécution des travaux publics ;
· les dispositions du code de la santé publique et du code de la construction et de l'habitation relatives aux immeubles insalubres ou menaçant ruine ;
· les dispositions du code rural et de la pêche maritime relatives aux conséquences de l'expropriation sur les exploitations agricoles.

Mobilité et mise à jour en continu

Le Code de l'expropriation 2015 Dalloz peut être consulté aussi bien sur papier qu'en ligne ou sur iPad. Il bénéficie du nouveau service de mise à jour hebdomadaire ainsi que de nombreux liens vers la jurisprudence en texte intégral. « C'est définitivement l'outil indispensable pour tous les praticiens du droit de l'expropriation » estime Guilhem Cros, directeur éditorial des Codes Dalloz.

www.editions-dalloz.fr

24 avril 2015

Formellement 2015 sera un formidable millésime pour les primo-accédants !

Les informations répétées sont telles que la très grande majorité des primo-accédants estiment qu’il leur est impossible d’accéder au financement.
Jusqu’alors c’était en partie vrai, mais en 2015 ça ne l’est plus, et ce, particulièrement en province.

Le meilleur témoignage c’est celui, ci-après, d’un des financements réussi par l’agence In&Fi Crédits de Laval en partenariat avec le Crédit Agricole de l’Anjou et du Maine.

Il s’agit d’une situation fréquente qui met en scène un couple non marié avec 2 enfants à charge. Les revenus mensuels du couple sont de 2 988,07 € et leur apport est de 12 100 € qui représente ici 6.3% du montant global de l’opération.

Ensemble ils vont réaliser la construction d’une maison individuelle de 143 000 € sur un terrain de 39 900 € ce qui représente un budget d’achat de 182 900 €.
Les frais d’acquisition s’élèvent à 8 047 € (Frais d’actes 4 803 € + Frais de garantie 1 724 € + Frais de dossier 370 € et honoraires 1 600 €)
Le coût total de leur projet est de 191 397,00 €.
Pour réaliser leur financement In&Fi Crédits Laval a sélectionné le Crédit Agricole qui leur fait un financement de 179 297,00 € en 3 lignes Avec la technique du lissage des prêts le taux fixe moyen des prêts ressort à 2.42 % pour une durée totale de 336 mois.

Financement Montant Taux Durée
Apport 12 100 €
PTZ 32 922 € 0% 192 mois
PAS Fixe 68 375 € 2.44 % 180 mois
PAS Fixe lissé 78 000 € 2,40 % 300 mois
191 397 €

Surtout, et c’est le plus important, les mensualités ont été adaptées grâce à la technique des prêts lissés pour respecter un budget familial équilibré.

1 à 36 mois 396,56 € soit 13% des revenus actuels
37 à 216 mois 811,53 € soit 27% des revenus actuels
217 à 228 mois 779,25 € soit 26% des revenus actuels
229 à 336 mois 763,73 € soit 26% des revenus actuels

Cet exemple est quotidien mais malheureusement beaucoup des jeunes candidats à l’acquisition ignorent qu’ils sont finançables ou préjugent qu’ils ne le sont pas. C’est très dommageable pour la relance de l’immobilier.

Pour Pascal Beuvelet Président d’In&Fi Crédits « La période actuelle n’a jamais été aussi favorable pour les primo-accédants et ils mettront tous les atouts de leur côté en consultant un courtier qui maîtrise totalement la technique du « Lissage de prêts »

A propos
Filiale de Global Franchise Crédit, le réseau In&Fi Crédits conseille depuis 2004 les particuliers dans la recherche du meilleur crédit grâce à 110 partenariats bancaires. Avec près de 100 agences en France et près de 300 collaborateurs, In&Fi Crédits figure au 5eme rang des opérateurs nationaux. En 2013, In&Fi Crédits a réalisé plus de 6500 dossiers de crédit, pour une distribution globale de près d’un milliard d’euros et un chiffre d’affaires de 20 millions d’euros. Pascal Beuvelet président fondateur d’In&Fi Crédits a également occupé les fonctions de président de l’AFIB IMMO, le syndicat des IOB spécialisés en crédits immobiliers.
http://www.inandfi-credits.fr

Mésolia acquiert la SFHE Midi-Pyrénées et devient un acteur de poids du logement social dans le grand Sud-Ouest

Mésolia, actuel n°2 des entreprises sociales pour l'habitat en Aquitaine, vient de réaliser l'acquisition du patrimoine de la SFHE en Midi-Pyrénées, une entreprise sociale pour l'habitat du Groupe Arcade.

L'opération se traduit pour Mésolia par l'intégration de près de 1 500 logements sociaux (dont près de 150 en construction) et d'une équipe de 19 collaborateurs, portant son patrimoine à près de 16 500 logements et son effectif global à 214 personnes.

Mésolia s'impose ainsi comme un acteur majeur du parc social d'Aquitaine et de Midi-Pyrénées, deux régions où l'entreprise a pour ambition de construire 1 000 logements par an. Ce sont plus de 90 millions d'euros qui seront investis dans l'économie locale.

Montée en puissance dans le Sud-Ouest

En 2014, face à un environnement en forte mutation marqué par une montée de la concurrence, une réforme territoriale majeure et un contexte économique de plus en plus contraint, le Groupe TG, maison mère de Mésolia a décidé de fusionner ses 3 organismes aquitains : Mésolia Habitat (Bordeaux), Soliance Habitat (Libourne) et Périgordia Habitat (Bergerac). Baptisée Mésolia, cette nouvelle entité devient dès lors la 2e entreprise sociale pour l'habitat en Aquitaine avec un patrimoine d'environ 15 000 logements.

Cette même année, Mésolia poursuit sa mission d'offrir un habitat diversifié en livrant plus de 280 logements à loyers conventionnés et en accession sociale et investit plus de 11,5 millions d'euros dans la rénovation de son parc. Son chiffre d'affaires progresse de plus de 30%, passant de 61 millions en 2013 à 80 millions d'euros en 2014.

Aujourd'hui, Mésolia souhaite se déployer dans le grand Sud-Ouest. Le 8 avril dernier, elle signe ainsi l'acquisition du patrimoine de la SFHE Midi-Pyrénées, composé de plus de 1 300 logements construits (72 en Ariège, 760 en Haute-Garonne, 30 dans le Tarn, 453 dans le Tarn-et-Garonne) et de près de 150 logements en cours de construction. Avec cette nouvelle agence de proximité et l'intégration de ses 19 collaborateurs, Mésolia s'implante parmi les acteurs du parc social de Midi-Pyrénées.

Pour Emmanuel Picard, Directeur Général de Mésolia : « Cette acquisition permet à Mésolia de faire un pas de plus dans le Sud-Ouest, où nous avons à cœur de nous développer, et d'être aujourd'hui présents au cœur de deux métropoles dynamiques que sont Bordeaux et Toulouse. »

Des perspectives ambitieuses sur les régions Aquitaine et Midi-Pyrénées

Avec une volonté de répondre activement aux besoins des collectivités locales et de l'État et de contribuer aux politiques locales de l'habitat, Mésolia s'est fixé pour objectifs de construire 1 000 nouveaux logements sociaux par an dont :
- 800 logements à loyers conventionnés : 600 en Aquitaine et 200 en Midi-Pyrénées
- 200 logements en accession sociale à la propriété : 100 en Aquitaine et 100 en Midi-Pyrénées

« Aujourd'hui, notre entreprise se structure pour répondre, dans un monde en profonde mutation, aux problématiques des ménages qui cherchent à se loger. Mésolia est une société forte, confiante dans l'avenir, capable d'apporter une expertise sur des territoires tendus pour permettre la réalisation des politiques locales de l'habitat », souligne Emmanuel Picard.

Avec cette montée en puissance progressive, Mésolia sera un partenaire solide des collectivités locales et de l'État dans la mise en œuvre des politiques locales de l'habitat.

À propos de Mésolia

Créée en 1969 sous le nom de Maison Girondine, Mésolia est une entreprise sociale pour l'habitat qui possède un patrimoine de près de 16 500 logements locatifs en Aquitaine et Midi-Pyrénées. Elle produit des opérations diversifiées et propose au travers de ses qualités d'aménageur, de constructeur et de gestionnaire, une solution habitat adaptée aux attentes des collectivités locales, de l'Etat et des habitants.

Mésolia appartient au Groupe TG, un des derniers organismes de logement social indépendant, et est adossée au Groupe Arcade (85 000 logements sur tout le territoire national). Elle est présidée par Marc Simon et dirigée par Emmanuel Picard. Mésolia emploie 214 collaborateurs en Aquitaine et Midi-Pyrénées.

www.mesolia.fr

22 avril 2015

5 idées reçues sur les résidences secondaires

Aujourd’hui, 1 Français sur 10 est propriétaire d’une ou plusieurs résidences secondaires. A Vendre A Louer, un des sites leaders de la petite annonce immobilière, les a interrogés pour comprendre qu’elles étaient leurs motivations, freins et usage de ces logements. Et leurs déclarations remettent en question certaines idées reçues… Détails.

Idée reçue n°1 : Une résidence secondaire est un gouffre financier
Seul 1 propriétaire sur 10 le pense. 42% estiment que c’est un bon placement financier. Cette proportion grimpe même jusqu’à 58% pour les propriétaires qui ont réalisé un investissement locatif.
Néanmoins, un tiers des propriétaires de résidence secondaire pour un usage privé rencontrent des difficultés pour payer leurs factures et sont obligés de se tourner vers la location de leurs biens.

Idée reçue n°2 : Une résidence secondaire est un luxe inaccessible
Le budget moyen d’une résidence secondaire est 66% moins élevé que celui d’une résidence principale : 104 570€ VS 173 642€. Et un Français sur 10 est aujourd’hui propriétaire d’une résidence secondaire.
41% d’entre eux en ont un usage locatif pour avoir des compléments de revenus et non pour en profiter à titre privé.

Idée reçue n°3 : On investit dans une résidence secondaire pour bénéficier d’avantages fiscaux.
C’est loin d’être la première motivation de ces propriétaires. Cette déclaration est seulement approuvée par 8% des propriétaires de résidences secondaires.
Et lorsque l’on interroge les Français sur l’attractivité de ces dispositifs fiscaux, 70% disent qu’ils n’ont aucun impact sur leur décision d’investir ou non dans une résidence secondaire.

Idée reçue n°4 : On investit dans une résidence secondaire quand on n’a pas les moyens d’acheter sa résidence principale.
Seuls 2% des Français, locataires de leur résidence principale, sont propriétaires d’une résidence secondaire. Pour 32% des Français, c’est même un projet qu’ils veulent réaliser, mais après l’achat de leur résidence principale.
Néanmoins, certains propriétaires de résidences secondaires ont fait ce choix faute de pouvoir acheter leur résidence principale (9% des propriétaires de résidences secondaires.

Idée reçue n°5 : On achète une résidence secondaire pour loger ses enfants et petits enfants quand ils prendront leur indépendance
Seuls 14% des propriétaires adhèrent à cette idée. Ils ont pour la plupart une vision à plus court terme et considèrent que leurs résidences secondaires constituent surtout un bon moyen de partir en vacances à moindre coût (39%). D’ailleurs, seul le quart de ces propriétaires ne se rend jamais dans sa résidence secondaire. Et 60% y passent entre 1 et 6 mois dans l’année.
Une résidence secondaire reste néanmoins un lieu familial et 34% des propriétaires louent à leurs proches à des tarifs avantageux pour un weekend ou des vacances.

Qui sont ces Français qui ont choisi d’investir dans la pierre pour une résidence secondaire ?
A Vendre A Louer a dressé 3 profils différents selon leurs motivations : usage privé, investissement locatif, difficulté pour acheter sa résidence principale.

Les propriétaires de résidences secondaires en chiffres

53% sont des hommes
41% sont retraités
24% viennent de la région parisienne
41,5 ans est l’âge moyen d’acquisition
104 570€ est le budget moyen d’acquisition
21% ont deux résidences secondaires et plus


*Etude quantitative réalisée auprès d’un échantillon de 1216 répondants âgés de 18 ans et plus, représentatifs de la population française sur des critères de sexe, d’âge, de CSP, de région, et de taille d’agglomération. Date de terrain : avril 2015.

A propos de A Vendre A Louer
Créée en 1986, la société A Vendre A Louer est spécialiste des solutions de communication à destination des professionnels de l’immobilier et marque de Solocal Group depuis 2011. La motivation d’A Vendre A Louer est d’accélérer la recherche grâce à la force de son inventaire, la pertinence de son moteur de recherche et l’innovation permanente. A Vendre A Louer maintient sa dynamique de développement et renforce ses positions avec des offres et services variés : un logiciel de transactions immobilières à destination des professionnels, Aptalis, un site dédié exclusivement aux programmes neufs, AVendreALouer-Neuf.fr, et un dédié aux terrains, AVendreALouer-Terrain.fr, des supports mobiles avec des applications iPhoneTM et iPadTM.

A propos de Solocal Group
Solocal Group, N°1 européen de la communication locale digitale, propose des contenus digitaux, des solutions publicitaires et des services transactionnels qui connectent simplement les consommateurs avec les entreprises locales. Il fédère près de 4 800 collaborateurs – dont près 2 300 conseillers en communication locale – en France, en Espagne, en Autriche et au Royaume Uni – et accompagne le développement numérique des entreprises (TPE/PME, Grands Comptes, etc.), notamment via ses 4 marques phares : PagesJaunes, Mappy, ComprendreChoisir et A Vendre A Louer. Fort de son expertise, il compte aujourd’hui près de 700 000 annonceurs. En 2014, Solocal Group a réalisé un chiffre d’affaires de 936 millions d’euros dont 68% sur Internet, et se classe ainsi parmi les premiers acteurs européens en termes de revenus publicitaires sur Internet. Solocal Group est cotée sur Euronext Paris (ticker ‘LOCAL’). Les informations disponibles sur Solocal Group sont accessibles sur www.solocalgroup.com.

21 avril 2015

Le financement immobilier est à la hausse : 2015 le meilleur millésime depuis 2011

Depuis le début de l’année, l’activité du financement immobilier est très nettement à la hausse et les chiffres collectés au premier trimestre dans le réseau In&Fi Crédits sont parlant :
· 40% de hausse du nombre de dossiers déposés directement en agence.
· 13% de hausse pour les demandes en ligne.
· 20% d’augmentation de CA en mars par rapport à février qui était déjà en hausse de 8% vs janvier.

Les raisons immédiates sont identifiées :
· Des taux régulés au plus bas grâce à une concurrence interbancaire qui n’a jamais été aussi forte.
· Une très franche augmentation de la capacité d’emprunt des candidats à l’achat. Ainsi, pour une mensualité de 1 000 euros, on peut désormais emprunter 192 000 euros sur 20 ans, contre 162 000 au début de 2012. C’est 18.5% en plus !
· Des prix immobiliers qui s’affichent en baisse sur quasiment tous les marchés (Rural, urbain) et toutes les typologies de logements (Appartements/Maisons, Neuf/Ancien).
· L’anticipation que la fenêtre actuelle « Prix et taux bas » est exceptionnelle et qu’elle ne saurait durer.
· Une reprise certes timide de la confiance mais, pour une majorité des emprunteurs, le sentiment que le plus dur est pour l’essentiel désormais derrière eux.

D’après Pascal Beuvelet, fondateur d’In&Fi Crédits ; cette tendance haussière à l’achat immobilier est durable.
En premier lieu pour des raisons ataviques.
57,6 % des français sont propriétaires et leur patrimoine immobilier s’élève à 8 100 milliards d’euros, c’est 68 % du patrimoine total.
En second lieu l’achat immobilier reste une valeur profondément sécuritaire face à la déflation et des rendements de l’épargne quasi nuls.

A propos
Filiale de Global Franchise Crédit, le réseau In&Fi Crédits conseille depuis 2004 les particuliers dans la recherche du meilleur crédit grâce à 110 partenariats bancaires. Avec près de 100 agences en France et près de 300 collaborateurs, In&Fi Crédits figure au 5eme rang des opérateurs nationaux. En 2013, In&Fi Crédits a réalisé plus de 6500 dossiers de crédit, pour une distribution globale de près d’un milliard d’euros et un chiffre d’affaires de 20 millions d’euros. Pascal Beuvelet président fondateur d’In&Fi Crédits a également occupé les fonctions de président de l’AFIB IMMO, le syndicat des IOB spécialisés en crédits immobiliers.
www.inandfi-credits.fr

20 avril 2015

Ikimo9, site dédié à l'immobilier neuf qui met en contact direct acquéreurs et promoteurs

Conçu comme une véritable marketplace, Ikimo9 simplifie l’achat de logements neufs en permettant aux acquéreurs de prendre directement rendez-vous avec le promoteur. Le site propose par ailleurs, pour la première fois en France, un comparateur de logement neuf.

Plus de 5000 logements référencés

Créée par Elisabeth Julien, professionnelle de l’immobilier depuis 15 ans, la jeune start-up Ikimo9 lance une plateforme de mise en relation dédiée à l'immobilier neuf. Conçue comme une véritable marketplace, Ikimo9 a pour but de simplifier l’achat en mettant directement en contact acquéreurs et promoteurs.

Simple et ludique, le site ne nécessite aucune inscription préalable, et propose aux acheteurs de nombreux outils d’aide à la prise de décision.

L’idée a déjà séduit de nombreux promoteurs comme Bouygues immobilier, Eiffage, Europeans home… partenaires du projet. Ainsi, le site regroupe déjà plus de 5000 logements référencés ainsi que des offres promotionnelles et des bons cadeaux.

Des informations précises sur chaque logement

Véritable innovation, Ikimo9 fournit une somme d'informations très précises sur le descriptif de son futur logement (étage, exposition, prestations, plans..) et rend ainsi l'offre beaucoup plus lisible pour les futurs acheteurs, qui ne sont pas contraints de communiquer leurs mails, adresses, ou revenus au préalable.

Des offres promotionnelles et les livraisons immédiates mises en avant

Les bonnes affaires en immobilier neuf sont mal référencées, et les informations sont minimes. Les acheteurs doivent faire des recherches par nom de promoteur, alors que ce qui les intéresse c’est d’acheter un appartement ou une villa dans un quartier précis, avec un budget défini. C'est ce que propose Ikimo9.

Premier comparateur de logement neuf

Si l’acheteur hésite entre différents logements, il peut comparer ses choix, afin d’aider sa décision, grâce à un tableau simple qui reprend les caractéristiques de chacun des logements.

Une fois son logement trouvé, en un clic, l’acquéreur prend rendez-vous avec le promoteur du projet choisit. Une mise en relation directe qui offre à la fois un gain de temps et d'argent. Si le contact se transforme en achat, ikimo9 offre un bon cadeau à l'acquéreur.

Plus d'informations : www.ikimo9.com

15 avril 2015

BNP Paribas Real Estate analyse le marché des entrepôts au 1er trimestre 2015

La reprise s’amorce pour 2015 avec 700 000 m² placés en France, soit une hausse de 39% par rapport au 1er trimestre 2014

L’année 2015 a démarré sur une note encourageante pour l’économie française sous l’impulsion de différents éléments favorables (effet d’entraînement de la reprise économique européenne, baisse du prix du pétrole, dépréciation de l’euro et programme de stimulus monétaire de la BCE). Selon BNP Paribas Real Estate, le passage au vert des voyants de la croissance économique française semble donc impacter positivement le volume global placé en entrepôt au 1er trimestre 2015 avec près de 700 000 m². Cette performance s’inscrit dans une phase de décollage en ce début d’année avec une hausse de 39% en un an. Les entrepôts de classe A et de grandes surfaces ont été sollicitées par les utilisateurs. Quant aux distributeurs, ils ont dominé le marché aussi bien en volume qu’en nombre de transactions. « Avec un premier trimestre 2015 prometteur, le marché des entrepôts pourrait réaliser une performance annuelle aussi bonne, voire même supérieure, à celle de 2013 où plus de 2,6 millions de m² avaient été transactés, mais l’essai ne sera confirmé que si une reprise plus franche de la croissance économique se met durablement en place », analyse René Jeannenot Responsable du pôle Activité et Logistique de BNP Paribas Real Estate Transaction.

L’offre à un an s’est contractée (-8% en 3 mois). Elle se positionne à 3,5 millions de m² disponibles début avril 2015. La bonne performance réalisée par les locations ce trimestre a directement impacté le stock disponible de classe A de seconde main (-12% en 3 mois). Terres propices aux clés en main et autres comptes-propres, les marchés de Lille et Marseille font face à un défaut d’offre neuve. Pour sa part, l’offre en blanc est absente de l’hexagone, mais des projets en gris disposant des autorisations et de délais de livraison relativement courts existent.

Avec 275 000 m² placés en ce début d’année (+39% en un an), la région parisienne confirme le dynamisme enregistré en 2014. Sur les sept transactions supérieures à 20 000 m², cinq auront été signées par des chargeurs dans des entrepôts de classes A. La transaction la plus importante de ce premier trimestre aura été réalisée auprès de Goodman pour un pure player du e-commerce, C Discount, à Saint-Mard sur un entrepôt clés en main de classe A de près de 40 000 m².

Les régions connaissent également une certaine effervescence en ce début d’année (+39% sur un an) avec 394 000 m² transactés. Sur la Dorsale, Lyon et Marseille ont tiré leur épingle du jeu alors que Lille connaît un démarrage plus difficile. Les transactions de But à Pusignan, de Spartoo à Saint-Quentin-Fallavier et de Maison du Monde à Saint-Martin-de-Crau soulignent l’intérêt des chargeurs et des e-commerçants pour les grandes surfaces de classe A.
Côté loyers de classe A « prime », la situation est contrastée puisqu’ils connaissent une amplitude forte suivant le positionnement géographique des entrepôts : la région parisienne domine à 54-55€/m², contre 42-46€/m² dans les marchés « core » en régions. Si les loyers de classe A sont relativement stables, ils demeurent à des niveaux historiquement bas et une remontée progressive peut être anticipée dans les mois qui viennent.

Sur le marché de l’investissement logistique (hors locaux d’activité), seuls 90 M€ ont été engagés depuis le début de l’année. « Cette faible performance doit être relativisée car des négociations sont en cours sur plusieurs gros portefeuilles ce qui permet d’anticiper un rattrapage des volumes investis d'ici la fin d'année », analyse Franck Poizat, Directeur Investissement Logistique & Activité France. Les taux de rendement se contractent en raison de l’afflux de liquidité et de la baisse sensible des taux financiers. Ainsi, le taux de rendement « prime » ressort à 6,5% à la fin du premier trimestre 2015 en France.

14 avril 2015

BNP Paribas Immobilier Résidentiel lance un nouveau programme de logements neufs «CARRÉ huitième» à Marseille - 8ème

BNP Paribas Immobilier Résidentiel lance un nouveau programme de logements neufs «CARRÉ huitième », situé Traverse de Pomègues, dans le 8ème arrondissement de Marseille.

Doté d’une architecture élégante et entouré de verdure, ce programme est imaginé par le cabinet 3A Architectes Associés et réalisé par BNP Paribas Immobilier Promotion Résidentiel.

Il proposera des appartements du studio au 5 pièces, majoritairement prolongés d’un balcon ou d’une terrasse et bénéficiant pour certains d’une vue sur mer.

Idéalement situé entre calanques et ville, au sein du quartier résidentiel Borely Bonneveine, le programme se trouve à proximité immédiate du Centre Bonneveine (commerces, restaurants et, cinéma) et des plages du Prado. Il est facilement accessible notamment par les autoroutes A50 et A57 ou encore par les transports en commun via les lignes de bus 23 et 45 (station Hambourg Haïfa) ou 44 et 47 (station Place Bonnefon).

CARRÉ huitième s’inscrit dans la démarche environnementale basée sur la réglementation thermique en vigueur RT 2012.

Pour plus d’informations :
Espace de vente : Boulevard des Sabliers – Place Louis Bonnefon
www.marseille-carre8.fr
Tél. 0 810 508 508

Prix de vente (TTC), hors parking, selon le stock disponible :

Studio de 30,9 m² avec balcon de 13,15 m² : à partir de 129 000 €*
2 pièces de 41,65 m² avec balcon de 11,90 m² : à partir de 169 000 € *
3 pièces de 59,55 m² avec balcon de 14,90 m² : à partir de 239 000 €*
4 pièces de 87,35 m² avec balcon de 47,25 m² : à partir de 359 000 €*
5 pièces de 109 m² avec terrasse de 66 m² : à partir de 670 000 €*
Box fermé : 18 500 € TTC

*1 place de parking en box fermé obligatoire

13 avril 2015

Londres : BNP Paribas Real Estate acquiert un terrain près du quartier Covent Garden pour y développer son premier programme de logements au Royaume-Uni

BNP Paribas Real Estate vient d’acquérir un terrain à Londres, dans le quartier Parker Tower, près de Covent Garden, afin d’y développer son premier programme de logements au Royaume-Uni.

Le terrain a été acquis auprès d'une joint-venture composée d’investisseurs privés pour un prix confidentiel.

Le site accueillant actuellement un immeuble de bureaux, un permis de construite a été obtenu en vue d’une reconversion en résidentiel. BNP Paribas Real Estate prévoit d’y lancer un programme de 60 appartements environ pour une livraison fin 2017.

Cette acquisition fait suite au premier programme de bureaux de BNP Paribas Real Estate à Londres développant 40 000 m² dans le quartier de King’s Cross. Entièrement loué à Google, cet ensemble immobilier a été vendu à une joint-venture composée d’AXA REIM et d’un fonds de pension.

Thierry Laroue-Pont, Président du Directoire de BNP Paribas Real Estate commente : « Suite au succès de notre premier programme de bureaux à King’s Cross, cette nouvelle acquisition démontre notre ambition de développer également l’activité en résidentiel au Royaume-Uni et plus particulièrement à Londres. Nous étudions également d'autres opportunités dans le cadre de cette stratégie».

Les équipes Transaction Résidentiel de BNP Paribas Real Estate UK sont en charge de la commercialisation de ce programme dans le cadre d’un mandat co-exclusif.

10 avril 2015

Immobilier d'entreprise : Le concept Espace Entreprise Garosud conjugue business et convivialité

Concept unique en France, Espace Entreprise Garosud entend créer un "village" d'entreprises où il fait bon travailler et vivre. Sur un même site sont disponibles tout une palettes de services, de moyens et d'infrastructures visant à créer une espace de vie favorable à l'activité. Espace Entreprise Garosud a ainsi pour objectif d'offrir aux TPE/PME un environnent qui correspond au changement tendanciel du "vivre au travail".

Un concept unique en France

Suite à la réalisation de l’Espace Entreprise Millénaire en 2009 (centre d’affaires de Montpellier - Castelnau), le groupe Espace Entreprise a décidé de se lancer dans un projet orienté vers une clientèle non satisfaite ayant besoin à la fois d’espaces de stockage et d'un environnement de travail, pour lequel il n’existait pas de réponse sur le marché. L’expérience de l’Agence Aggimmo, spécialisé en immobilier d’entreprise, confirme l’inexistence de petits d’ateliers et de stockage.

L'objectif de la réalisation de l'Espace Entreprise Garosud est de répondre à cette demande, en permettant aux artisans de profiter des services de centre d’affaires à l'image de ceux dont peuvent bénéficier les entreprises du tertiaire.

Pour les TPE, PME et Artisans

90% des entreprises montpelliéraines comptent moins de 5 personnes, ils ont des besoins en petits locaux alors que l’offre existante est orientée sur des surfaces importantes.

Un parc d’entreprises sur 10 000 m² avec 4500 m² de locaux

- 35 bureaux,
- 4 salles de réunions,
- 35 Locaux à partir de 50 m²
- Restaurant

L’Espace Entreprise Garosud est unique conjuguant dans une construction haut de gamme :

- Services : le centre d’affaires (secrétariat, réception colis, bureaux ponctuels, salles)
- Convivialité : avec un restaurant sur place ouvert l’après midi et un club d’affaires
- Bien être : plus de 2000 m² d’espace vert, bâtiment RT 2012, panneaux photovoltaïques
- Sécurité : ensemble clos et sécurisé avec présence à l’accueil toute la journée
- Facilités : A côté de la sortie d’autoroute, surfaces modulables évolutives, chariot élévateur à disposition

A la location : des petits accessibles, des contrats flexibles dans la durée et les surfaces

A propos du Groupe Espace Entreprise

Le Groupe Espace Entreprise est un groupe spécialisé en Immobilier d'entreprise basé à Montpellier. Avec un parc de plus de 500 biens (bureaux, locaux, commerces) en location et vente, 2 centres d'affaires avec 75 bureaux, 7 salles, 35 locaux, domiciliation et service gestion.

Plus d'informations : www.espace-entreprise.pro

08 avril 2015

LE LOGEMENT EN ÎLE-DE-FRANCE : DONNER DE LA COHÉRENCE À L'ACTION PUBLIQUE

La Cour des comptes rend public un rapport consacré au logement en Île-de-France.
Elle y constate les limites des politiques menées depuis deux décennies dans trois domaines majeurs : l'aménagement, qui encadre et conditionne la production de logements,
le logement social et le logement privé.
Au final, l'amélioration de la situation du logement en Île-de-France n'est pas seulement
une question d'effort financier : il importe tout autant que les interventions publiques
soient mieux organisées, mieux ciblées et surtout plus cohérentes.

Une situation complexe, une tension durable

Région attractive et dense, l'Île-de-France est une zone où le marché du logement est particulièrement tendu :
· alors que la demande est forte, l'offre de logement, depuis plus de vingt ans, s'y est accrue beaucoup moins vite qu'en province ;
· le prix moyen des terrains à bâtir y est plus de 3 fois plus élevé qu'en province, et celui des appartements anciens et des loyers du secteur privé 2,5 fois plus élevé ;
· la segmentation entre les secteurs locatifs privé et social y est forte : les écarts entre les loyers de ces secteurs sont très importants (de 1 à 4 à Paris, par exemple).
Il s'ensuit des cas de sur-occupation des logements nettement plus nombreux qu'en province, ainsi qu'un taux d'effort supérieur pour les accédants à la propriété et les locataires du secteur libre. Cette situation contribue également à l'engorgement du parc social, qui se renouvelle moins alors qu'il est plus demandé.
Le parcours résidentiel des ménages y est donc rendu beaucoup plus difficile.
Plus d'un tiers des locataires du parc privé ne sont pas logés dans le parc social alors que leur revenu est inférieur au plafond de ressources exigé pour avoir accès aux logements du type prêt locatif aidé d'intégration (PLAI), qui sont les plus sociaux et offrent les loyers les plus bas.
Des masses financières importantes, supérieures à 6 Md€, sont consacrées chaque année par l'État et par les autres acteurs de la politique du logement à l'Île-de-France, mais elles n'ont pas contribué à y améliorer significativement la situation du logement.

Un impact limité des politiques d'aménagement sur la production de logements

La Cour constate que les instruments de planification ou les interventions foncières ont eu une efficacité limitée, notamment parce qu'il est difficile d'obliger à construire.
En matière de planification, les objectifs de construction de logements fixés dans le schéma directeur de la région d'Île-de-France (Sdrif) n'ont jamais été réalisés. Pour atteindre l'objectif actuel de 70 000 logements par an, il faudrait augmenter de deux tiers le rythme de construction.
Par ailleurs, l'Île-de-France se caractérise par une multiplication des instruments de planification et des échelons de décision. Un rapprochement du périmètre des futures intercommunalités franciliennes et de celui des divers instruments de planification, de programmation et de contractualisation de l'offre de logement est nécessaire. Il serait également cohérent qu'après les programmes de l'habitat et les plans d'urbanisme, ces intercommunalités deviennent à terme compétentes pour délivrer les permis de construire.
S'agissant de l'offre foncière, le Sdrif prévoit de concentrer les trois quarts du nouvel effort de construction sur des espaces déjà urbanisés. Or cette densification peut se heurter à des contraintes d'équilibre économique des opérations.
Il est indispensable d'exploiter toutes les possibilités foncières, notamment dans des zones comme les villes nouvelles, pas entièrement terminées et plus abordables qu'en centre d'agglomération, où la construction n'est souvent possible qu'après destruction du bâti existant.
S'agissant des opérateurs, les outils d'aménagement, après une période de moindre dynamisme, connaissent une évolution qui va dans le bon sens, avec la fusion des quatre établissements publics fonciers.
Enfin, la fiscalité locale et celle des plus-values immobilières sont actuellement trop favorables à la rétention foncière.

Logement social : des résultats insuffisants malgré des efforts financiers importants

La Cour constate à la fois la forte réorientation, à partir de 2010, de l'effort de l'État en direction de l'Île-de-France (qui a reçu plus de 50 % des aides à la construction de logements locatifs sociaux, dites aides à la pierre) et le poids très important des autres financeurs, tels que les collectivités territoriales.
Les effets des interventions publiques sont toutefois mitigés, du fait du coût très élevé des opérations, notamment à Paris.
Confrontés à la diminution des aides et au coût élevé de construction des logements, les bailleurs franciliens ont tendance, pour équilibrer leurs opérations, à privilégier les logements du type prêt locatif social (PLS), assortis des niveaux de loyers les plus élevés, au détriment des logements de types PLAI et prêt locatif à usage social, accessibles aux plus modestes. Ainsi, au cours de la période 2005-2012, en Île-de-France, l'agrément des PLS l'a emporté sur les PLAI, qui correspondent pourtant aux logements sociaux les plus demandés.
Par ailleurs, le bilan de la mise en œuvre de l'article 55 de la loi SRU en Île-de-France est en demi-teinte. Si c'est dans cette région que les obligations ont été le mieux respectées, permettant un rattrapage significatif, la loi n'a pas donné de prime aux communes qui s'en rapprochaient le plus. Les subventions et les efforts se sont concentrés dans les zones où le coût de construction est le plus élevé et le foncier le plus rare. Ces contraintes ont souvent conduit à acquérir et conventionner des logements existants pour leur donner un statut social, sans accroissement de l'offre globale, ni modification du peuplement quand les immeubles étaient occupés. On observe en outre une part importante de petits logements au détriment des logements familiaux, car ils sont comptabilisés de la même manière dans les statistiques.
L'objectif renforcé de la loi « SRU 2 » de janvier 2013 (25 % de logements sociaux au lieu de 20 %) ne corrige pas les imperfections du système, et risque de les amplifier. La question de la soutenabilité budgétaire des efforts à réaliser par certaines collectivités se pose également.

Enfin, les règles d'attribution, appliquées de manière variable, et celles de gestion du logement social ont des effets particulièrement négatifs en Île-de-France. Les garanties de maintien dans les lieux et la faible modulation des loyers en cas de progression des revenus contribuent également à la forte segmentation entre les parcs locatif privé et social. La Cour appelle à une profonde révision de ces procédures, dans le sens notamment d'une plus grande transparence, et à une application sans dérogation ni plafonnement des suppléments de loyers de solidarité.

Logement privé : des politiques aux résultats contrastés, un ciblage à poursuivre

Le bilan des multiples politiques publiques en direction du parc privé apparaît contrasté.
La lutte contre la vacance des logements connaît de faibles résultats en raison de l'impact limité, voire nul, de la taxe sur les logements vacants ou de la politique de réquisition. Quant à la transformation de bureaux en logements, elle est souvent peu rentable économiquement.
S'agissant des aides fiscales, qui représentent un coût élevé, la Cour relève l'importance des effets d'aubaine liés à leur ciblage insuffisant sur les besoins de logements intermédiaires en zones tendues. De plus, ces dispositifs sont insuffisamment évalués et n'ont pas eu l'effet attendu de modération des loyers.
Quant à l'accession à la propriété principalement stimulée par les prêts à taux zéro, leur affectation à près de 80 % à l'acquisition dans l'ancien a soutenu la hausse des prix sans réussir à déclencher un renouvellement de l'offre en construction neuve : les décisions de réserver les aides au neuf depuis le 1er janvier 2012, sous conditions de ressources, semblent donc aller dans le bon sens.

Recommandations

La Cour formule 14 recommandations, visant notamment à :

- confier aux établissements publics de coopération intercommunale la délivrance des autorisations de construire ;
- décourager la rétention foncière en taxant les plus-values immobilières réelles sans condition de durée de détention, mais en tenant compte de l'érosion monétaire ;
- modifier l'assiette de la taxe foncière sur les propriétés non bâties, en tenant compte de la valeur vénale des terrains à bâtir ;
- renforcer la transparence des procédures d'attribution des logements sociaux en rendant plus homogènes les critères de sélection des bénéficiaires ;
- appliquer sans dérogation ni plafonnement les suppléments de loyer de solidarité ;
- moduler le loyer à l'entrée dans le logement social et pendant toute sa durée d'occupation, en fonction du revenu des locataires ;
- réexaminer les conditions de maintien dans les lieux des locataires des logements sociaux ;
- accentuer le ciblage des aides fiscales à l'investissement locatif privé de loyer intermédiaire sur les zones les plus tendues, en contrôlant l'effectivité des loyers pratiqués.

07 avril 2015

"JeReveduneMaison.com" réinvente la recherche immobilière et lance : Le "matching" affinitaire géographique

Le 1er site immobilier de mise en relation entre les offres de résidences secondaires et les rêves des futurs acheteurs
1 million d'annonces identifiées et déjà plus de 8.000 maisons présélectionnées


"JeReveduneMaison.com devient le Meetic de l'immobilier ! Les acheteurs n'ont ni le temps, ni l'envie de rechercher sur des dizaines de sites et, à moins de connaitre toute la France, ne savent pas la plupart du temps où ils aimeraient acheter une résidence secondaire. D'ailleurs, 60% des futurs acheteurs ne sont pas arrêtés sur une région et recherchent avant tout du conseil. Le problème est qu'un agent immobilier ne dira jamais d'aller voir dans une autre région et tentera de placer à tout prix des maisons de son portefeuille, sans se soucier des réelles volontés des acheteurs ! Nous préférons miser sur les passions et envies des futurs propriétaires, afin d'établir une correspondance entre leurs goûts, leurs paysages préférés, leurs activités sportives ou culturelles, ou encore les styles d'environnement qui les attirent, et bien sûr, les maisons qui seraient totalement compatibles avec leurs souhaits."
Eric Chatry et Stéphane Buthaud, cofondateurs de "JeReveduneMaison.com"

Le "matching" affinitaire géographique par "JeReveduneMaison.com"

Site précurseur de la recherche immobilière nouvelle génération, " JeReveduneMaison.com " lance une nouvelle innovation : le « matching » de terroirs. Une expérience inédite de recherche de résidences secondaires en fonction de critères totalement liés aux envies des futurs propriétaires, pour trouver plus vite son bonheur parmi une sélection des plus belles maisons de France, pour tous les budgets.

"JeReveduneMaison.com" a développé un algorithme capable de cibler rapidement les terroirs qui correspondent le mieux aux envies des acheteurs. Pour assurer la pertinence des résultats, les équipes du site ont collecté pendant plusieurs mois des millions de données et d'informations exhaustives : dimensions de paysages, chiffres météorologiques, richesses culturelles, points historiques clés, etc. Grâce à l'ensemble de ces données, "JeReveduneMaison.com " peut établir un score de matching pertinent afin de montrer le pourcentage de compatibilité entre un terroir et les goûts des futurs propriétaires.

Un seul site pour tout l'immobilier secondaire de charme
"JeReveduneMaison.com" a pour première mission de répertorier l'ensemble des biens immobiliers secondaires disponibles sur le marché. Dès son lancement, plus d'1 million d'annonces ont été identifiées et plus de 7.900 maisons présélectionnées selon des nouveaux critères de qualité stricts qui n'étaient jusqu'alors pas pris en compte.

Un découpage de la France en 438 terroirs
Loin du débat national de redécoupage des régions, "JeReveduneMaison.com" a pris le parti de valoriser et de moderniser les terroirs. Les équipes ont ainsi introduit de nouvelles données de sélection (rivières, mers, montagnes, champs, etc.) pour créer une expérience de recherche géographique nouvelle et totalement innovante. Cette nouvelle unité géographique en terroirs est ainsi 5 fois plus précise qu'un découpage par départements, et prend ainsi en compte des caractéristiques primordiales pour les acheteurs comme les reliefs, les paysages, les climats et les cultures associées.

Comment ça marche ?

Le matching d'affinités géographiques en détails :

1. Le choix du cadre de vie recherché : montagne, mer ou campagne.

2. Un affinage sélectif selon une typologie de 11 différents paysages et types d'environnements préférés, répartis sur les 36.000 communes de France : paysage urbain, champs, cultures, vignobles, vergers, prairies, bocage, forêts, roches, végétation clairsemée, pâturages, landes, garrigue, marais, etc.

3. le temps de trajet souhaité entre la résidence principale et la future maison secondaire.

4. Le choix des climat : ensoleillement, températures, précipitations et vents.

5. Les sports préférés : activités de plage, rivière, pêche, équitation, randonnée, vélo, golf, ski, voile, loisirs aériens, etc.

6. Les activités culturelles privilégiées : festivals, concerts, sites naturels, archéologiques, patrimoine historique, gastronomie, parcs à thèmes, musées, etc.

7. Le budget de l'acheteur et la surface en m² recherchée pour déterminer la fourchette de prix au m2 des terroirs.

8. Le mode d'achat souhaité : seul, à plusieurs ou simplement en location à l'année.

9. L'urgence de la concrétisation du projet : immédiat ou d'ici plusieurs années.

10 Les résultats : "JeReveduneMaison.com" présente sur une même page tous les biens qui sont compatibles avec les préférences du futur acheteur et les situe géographiquement par villes et par terroir, avec pour chaque maison un pourcentage de compatibilité.

Les résultats permettent de visualiser immédiatement les terroirs les plus en affinités avec l'utilisateur. Par exemple, des scores de 80% ou 74% de matching donnent à l'utilisateur l'assurance d'être en parfaite adéquation avec ses attentes.

L'utilisateur peut ensuite naviguer entre les différents terroirs proposés, enregistrer ses préférences, ses maisons coups de cœur.
Il peut également obtenir les fiches de chaque biens immobiliers disponibles dans les terroirs pour connaitre toutes les informations classiques des maisons (m², prix, commodités, etc.).

A tout moment, l'utilisateur peut revenir aux précédentes étapes pour pondérer ses critères de choix et faire ainsi évoluer les résultats. Le site dispose également de toutes les innovations liées aux nouveaux usages web : partages, Like, sauvegarde, etc.

Un facilitateur pour les agents immobiliers
"JeReveduneMaison.com" est en contact direct avec les agences en charge des maisons sélectionnées. Une relation nécessaire, afin de requalifier selon de nouveaux critères les biens présentés. Une fois les biens vérifiés par les équipes et affichés sur le site, "Je Rêve d'une Maison" assure la mise en relation entre l'acheteur potentiel et l'agent immobilier, pour une visite en phase finale de décision du projet. Seuls les biens pouvant être qualifiés de résidences secondaires de charme sont sélectionnés pour être présentés sur le site.

"Nous simplifions à la fois le travail des acheteurs mais aussi celui des agents immobiliers en leur faisant gagner un temps précieux. L'objectif est de trouver plus vite sa maison secondaire, sans faire de visites inutiles." Eric Chatry, cofondateur de " JeReveduneMaison.com"

Pour tester le matching de terroirs : www.jerevedunemaison.com

03 avril 2015

Les Portes du Pyla : Le Groupe Pichet lance le 1er ÉcoQuartier du Bassin d'Arcachon

C'est à la Teste-de-Buch, sur le site de l'ancien hôpital Jean Hameau, que l'acteur immobilier débute la construction du tout premier ÉcoQuartier du Bassin d'Arcachon.

Dans un cadre naturel d'exception, Les Portes du Pyla est un projet d'aménagement urbain durable étendu sur 11,5 hectares affichant 100 % d'énergies renouvelables.
Sa superficie et ses enjeux en font le programme phare du Groupe en 2015.

En ligne de mire : le 1er ÉcoQuartier du Bassin d'Arcachon

Le Groupe accompagne la mairie de La Teste-de-Buch dans la démarche d'obtention du label « ÉcoQuartier ». Pour cela, l'acteur immobilier doit réaliser une opération respectant 20 engagements conçus selon les principes du développement durable. L'obtention du label interviendra une fois le chantier entièrement terminé.

« La ville de La Teste-de-Buch et l'hôpital Jean Hameau ont décidé conjointement que le meilleur usage possible du terrain d'implantation de l'ancien hôpital serait la réalisation d'un ÉcoQuartier, dans une logique environnementale et sociale. C'est pour nous un engagement et une fierté d'y travailler, à leurs côtés. Le programme Les Portes du Pyla constitue notre projet phare pour 2015 », explique Patrice Pichet.

Sur 11,5 hectares, ce projet proposera 450 logements, conservant 62 % d'espaces verts, et respectera de nombreux critères environnementaux très exigeants (gestion de l'eau, chauffage, protection de la faune et de la flore...).

Engagements environnementaux : ce que prévoit le Groupe Pichet

« Le programme doit être parfaitement intégré à son milieu naturel. D'abord parce qu'il s'agit d'un projet d'ÉcoQuartier, mais aussi parce qu'il se situe dans un environnement unique et préservé », poursuit Patrice Pichet.

Les Portes du Pyla bénéfice en effet d'un emplacement exceptionnel, s'ouvrant sur le Bassin d'Arcachon, à la croisée de la forêt et de l'océan et à quelques minutes seulement de la dune du Pyla.

La réalisation du programme sera basée sur la préservation de l'existant, en exploitant au maximum les espaces déjà urbanisés, voire en densifiant les espèces végétales et animales évoluant déjà sur le site.

Faune et flore : des mesures de préservation...

Sur le site de construction, les arbres qualifiés de « remarquables » seront conservés et protégés pendant toute la durée du chantier (911 arbres). De plus, certains espaces seront re-végétalisés.

Toujours au sein de l'ÉcoQuartier, la faune sera favorisée par l'installation de nichoirs à passereaux, hirondelles et rapaces nocturnes, d'abris à hérissons, de ruches pour les abeilles...

... ou de compensation

Afin de pallier le déboisement d'environ 1 hectare, le Groupe plantera 13 hectares de forêt sur un autre site de la commune. Il s'engage à entretenir cette forêt pendant 20 ans.

Un étang favorable à la reproduction des amphibiens sera aussi créé sur ce site.

Voiries : privilégier l'existant et les « circulations douces »

Le Groupe prévoit de conserver les voiries déjà présentes sur le site, toujours dans un objectif de préservation de l'environnement. Au moment des différentes destructions effectuées sur site, il réutilisera aussi les matériaux concassés pour le revêtement des nouvelles voiries et les fondations des bâtiments.

De plus, tous les véhicules des résidents en logements collectifs seront garés en sous-sol, des « poches de stationnement » seront aménagées autour des logements individuels, et un plan de circulation douce sera installé autour des habitations (vastes cheminements destinés aux piétons et aux vélos).

La récupération des eaux se fera en utilisant le corridor naturel existant via la « noue » (un fossé qui recueille l'eau) présente à la jonction du site et du bas de la dune du Pyla, le terrain sableux favorisant une infiltration rapide.

Réseau de chaleur : une solution 100 % énergies renouvelables

En s'associant à COFELY Services (marque du groupe GDF SUEZ), acteur de référence des services en efficacité énergétique et environnementale, et VERMILLON REP, premier producteur d'hydrocarbures liquides en France, le Groupe Pichet propose une solution énergétique globale performante adaptée au projet d'aménagement du site pour le réseau de chaleur de l'ÉcoQuartier.

Ensemble, ils ont mis en œuvre une solution géothermique permettant d'utiliser l'énergie extraite des gisements d'hydrocarbures que VERMILLON REP exploite à proximité du site de l'ÉcoQuartier. Cette solution couvrira a minima 80 % des besoins en chauffage et eau chaude sanitaire de l'ÉcoQuartier. Le complément sera assuré par la fourniture de biogaz, permettant de couvrir l'ensemble des logements en énergies 100 % renouvelables.

Une vision innovante et durable de l'habitat, unique sur le Bassin

De par son envergure, Les Portes du Pyla constitue un véritable projet d'aménagement urbain intégré dans son milieu naturel préservé. In fine, il accueillera environ 450 logements répartis en appartements et maisons, et des espaces collectifs (commerces, piscines, terrain multisports...) qui favorisent le vivre ensemble.

Architecture du Bassin d'Arcachon... et durable

Advento, cabinet d'architecture et d'urbanisme créateur du projet, a choisi de respecter la signature architecturale du Bassin d'Arcachon : appareillages en pierre, briques en tableau, enduits clairs contrastés de couleurs vives, d'esprit arcachonnais dans la partie nord du projet et une forte présence du bois, typique de La Teste-de-Buch dans la partie sud.

Orientation des bâtiments et des pièces de vie pour favoriser le plus grand ensoleillement, recours à des matériaux nobles et durables... tout a été pensé pour des logements écologiques et pérennes (conformes à la réglementation thermique 2012).

Une vie de quartier unique sur le Bassin d'Arcachon

Organisé en « hameaux », Les Portes du Pyla suggère une nouvelle façon de vivre, dans un espace où la nature prédomine.

Le lieu vise aussi à favoriser la mixité sociale et intergénérationnelle au travers de typologies variées : appartements et villas de 2 à 5 pièces. De plus, un service de conciergerie de quartier sera le « moteur » de la vie des Portes du Pyla.

Accessibles à tous, les équipements sportifs (terrain multisports, piscines, aire de jeux pour les enfants...) et les commerces en pied d'immeuble, participeront eux aussi à créer une véritable « vie de quartier », aux côtés d'autres équipements collectifs inhérents à l'ÉcoQuartier comme :
- Un jardin gourmand (constitué d'arbres fruitiers du Conservatoire végétal régional d'Aquitaine).
- Un jardin frais avec parcours pédagogique (les végétaux et leur rôle dans le traitement des eaux de pluie).

La 1re tranche de commercialisation (en cours) concerne 122 logements dont 10 maisons. Une phase équivalente sera lancée chaque année. Les premiers habitants devraient intégrer le site au cours de l'été 2016.

La mission du Groupe Pichet assurera aussi la gestion de l'ÉcoQuartier après sa livraison.

· Date d'obtention du permis de construire : octobre 2014
· Commercialisation : janvier 2015
· Début des travaux : avril 2015
· Appartement T2 à partir de 160 000 € / Villa 2 pièces à partir de 200 000 €

5 allée de l'Hôpital - 33260 La Teste-de-Buch

À propos du Groupe Pichet, promoteur national intégré

Premier groupe immobilier unifamilial de France depuis sa création, le Groupe Pichet fait aujourd'hui partie des 10 promoteurs français les plus importants. En 25 ans, il a su étendre ses compétences à l'ensemble des métiers de l'immobilier : conception, aménagement, ingénierie, construction, commercialisation et gestion. Acteur incontournable de l'immobilier en France, il pose son empreinte sur l'ensemble du territoire dans des villes comme Paris, Lille, Bordeaux, Bayonne, Pau, Nantes, Besançon, La Rochelle, Lyon, Dunkerque...

Partenaire privilégié des collectivités locales et territoriales, le Groupe porte, grâce à ses compétences, de nombreux projets d'aménagements urbains, favorisant la diversité de l'habitat (lotissements, habitats individuels et collectifs, résidences de services, immobilier d'entreprise et commercial...) dans une démarche de responsabilité sociétale et environnementale.

Parce que chaque projet est unique, parce que comprendre les attentes de ses clients et partenaires est essentiel, parce que les modes de vie évoluent sans cesse, le Groupe Pichet base son développement sur l'écoute et la proximité. Partout en France, ses collaborateurs participent à la construction des cadres de vie de demain, en tenant compte des spécificités locales.

Le Groupe Pichet en quelques chiffres (2014)
- Un volume d'activité de 470 millions d'euros
- 2 000 lots livrés
- 42 500 m² de surfaces locatives gérées (bureaux, commerces, résidentiel)
- 40 000 lots sous gestion (gérance et syndic)
- 4 500 lits de capacité hôtelière
- 6 directions régionales : Bordeaux, Paris, Bayonne, Nantes, Lille, Lyon
- 800 collaborateurs
- 33 ha de vignoble en Pessac-Léognan : Château Les Carmes Haut-Brion

02 avril 2015

Se constituer un capital immobilier, épargner, diversifier son patrimoine, améliorer ou compléter ses revenus en investissant dans une SCPI

- BNP Paribas REIM France au Salon des Seniors du 9 au 12 avril 2015, Porte de Versailles -

BNP Paribas Real Estate Investment Management France, structure et gère pour des investisseurs particuliers et institutionnels un patrimoine immobilier diversifié au travers de fonds d’investissement tels que des SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier). Ses experts seront présents au Salon des Seniors, du 9 au 12 avril, Porte de Versailles.

« En détenant des parts de SCPI, l’investisseur accède à l’immobilier locatif en devenant indirectement propriétaire de murs de bureaux ou de commerces et peut ainsi diversifier facilement son patrimoine et percevoir des revenus sans les contraintes de gestion » précise Jacqueline Faisant, Président du directoire de BNP Paribas REIM France.

Les quatre atouts de la SCPI :

Percevoir des revenus sous la forme de revenus fonciers ; ces revenus toutefois ne sont pas garantis.

Accéder facilement à l’immobilier d’entreprise (bureaux, commerces), par la signature d’un bulletin de souscription et avec un ticket d’entrée sans commune mesure avec un bien acquis en direct.

Absence de contrainte de gestion : profiter de la compétence de BNP Paribas REIM France dans la sélection et l’acquisition des immeubles et profiter d’une gestion locative complètement déléguée (en contrepartie de frais de gestion).

Diversifier son patrimoine et mutualiser son risque à l’investissement en raison de la diversité des immeubles, des localisations et des locataires. Le capital investi n’est pas garanti et, comme pour de l’immobilier en direct, la durée d’investissement conseillée est longue : au moins 8 ans.

La SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) est une société qui détient de l’immobilier à usage locatif. En investissant dans une SCPI, vous devenez « associé » et percevez des revenus nets (loyers moins charges et frais de gestion) issus de la location de biens détenus par la SCPI. Les SCPI détiennent 95% de leur patrimoine en biens immobiliers, les 5% restant étant constitués de la trésorerie de la société.

Rencontrez les experts de BNP Paribas REIM France

au Salon des Séniors, du 9 au 12 avril, Porte de Versailles, sur le Stand E 17 (village 8 – Mes droits, ma retraite, mon patrimoine) et lors des conférences thématiques : (Salle Martin Luther King ).
Le 9 avril de 16h55 à 17h40 « les SCPI : vous connaissez ? »
Le 10 avril de 16h55 à 17h40 « Comment améliorer vos revenus grâce aux SCPI »
Le 11 avril de 10h30 à 11h15 « Comment investir dans les SCPI ?»
Le 12 avril de 11h25 à 12h10 « Diversifier votre patrimoine avec les SCPI »

Accimmo Pierre : une SCPI à capital variable investie en immobilier d’entreprise

Accimmo Pierre est une SCPI de rendement à capital variable. Sa stratégie est d’investir l’intégralité de ses capitaux en immobilier d’entreprise (bureaux, commerces, entrepôts) sur tout le territoire français.
Au 31/12/2014, son patrimoine prend en compte les dernières normes environnementales. Il est constitué principalement de bureaux récents à Paris (7%), en Ile-de-France (50%) et dans les grandes métropoles régionales (43%), 25% des immeubles ont été construits après 2010.

Minimum de souscription : 10 parts
Prix de souscription de la part : 187 euros
Dont valeur nominale : 153 euros
Prime d’émission : 34 euros dont commission de souscription : 20,04 euros
(10% HT du prix de souscription)
Forme des parts : nominative
Frais de gestion : 10% HT des produits locatifs encaissés HT et des produits financiers nets
Mise en jouissance des parts : fixée au 1er jour du 4ème mois qui suit la souscription
Distribution des revenus : trimestrielle, sur décision de l’Assemblée Générale annuelle
Durée de détention conseillée : 10 ans minimum

* Avant d’investir dans une SCPI, il convient de tenir compte des éléments et risques suivants : la durée de détention recommandée dans la SCPI Accimmo Pierre est de 10 ans au minimum ; le montant qu’il est raisonnable d’investir dans la SCPI dépend de son patrimoine personnel, de son horizon d’investissement et de son souhait de prendre les risques spécifiques à un investissement dans l’immobilier, notamment le risque de faible liquidité de ce type d’investissement ; le capital investi n’est pas garanti ; le versement des dividendes potentiels n’est pas garanti et peut évoluer de manière aléatoire, à la hausse comme à la baisse, en fonction notamment des conditions de location des immeubles, du niveau de loyer et du taux de vacance ; le délai de retrait (vente) des parts dépend de l’existence de nouvelles souscriptions ; la SCPI Accimmo Pierre ne garantit ni le rachat des parts ni la vente et le prix de vente.
Avant d’investir dans une SCPI, vous devez tenir compte des éléments et risques suivants :
BNP Paribas Real Estate Investment Management France est une société intégrée à la ligne de métier Investment Management de BNP Paribas Real Estate, qui gère 20,3 milliards d’euros d’actifs en Europe au 31 décembre 2014.

BNP Paribas REIM France, société de gestion agréée par l’AMF, est l’un des leaders en France avec près de 8 milliards d’euros d’actifs sous gestion. L’activité regroupe plus de 110 collaborateurs, qui gèrent une gamme de 13 SCPI investies en immobilier d’entreprise et en habitation (soit 738 immeubles et près de 2,4 millions de m²), 12 OPCI, 2 autres FIA et un mandat de gestion pour le compte d’un institutionnel français au 31/12/2014.

Pour plus d’informations : www.reim.bnpparibas.fr

Sou Fujimoto Architects, lauréat du concours d'architecture pour le bâtiment d'enseignements mutualisés du quartier de l'École polytechnique à Paris-Saclay

Le 16 mars 2015, Sou Fujimoto Architects a été désigné lauréat du concours d'architecture organisé pour la conception d'un bâtiment d'enseignements mutualisés à Paris-Saclay sous maitrise d'ouvrage de l'École polytechnique. L'opération a pour objectif la construction d'un bâtiment unique au sein duquel seront hébergés des programmes pédagogiques mutualisés entre les établissements d'enseignement supérieur et de recherche de l'École polytechnique, de l'Institut Mines-Télécom, d'AgroParisTech, de l'ENSTA ParisTech, de l'ENSAE ParisTech et de l'Institut d'Optique (IOGS).

Un bâtiment favorisant interactivité et pédagogies innovantes

A l'issue du premier jury, quatre candidats étaient finalistes : Sou Fujimoto Architects, Atelier 2/3/4, Babin + Renaud, Chartier Dalix Architectes. Le projet de Sou Fujimoto a séduit par son ouverture sur le quartier, sa grande transparence et sa porosité avec un jeu sur les limites grâce à la présence de la toiture en débord, d'une grande façade vitrée et de végétation intérieure.
Symbole du rapprochement de six établissements d'enseignement supérieur, tous membres de l'Université Paris-Saclay, il est un point de convergence, pensé comme un prolongement des qualités du projet paysager qui l'entoure.

Le bâtiment, d'une surface d'environ 10 000m² pour un budget de 32.5M€, hébergera 150 personnels et accueillera 2000 étudiants au sein de ses locaux à la typologie variée. Outre plusieurs amphithéâtres et de nombreuses salles de classe, des espaces dédiés à la pédagogie innovante seront ouverts. Des salles de télé-enseignement, de visioconférence et des espaces de travail collaboratifs tel que des boxes de travail ou des salles projets permettront d'optimiser l'environnement pour une offre pédagogique centrée sur l'interactivité et les outils numériques. Le bâtiment accueillera également une cafétéria et des espaces de détentes favorisant la serendipité, elle-même encouragée par la proximité immédiate des laboratoires de recherche de l'École polytechnique.

Le parti pris architectural : flexibilité, brassage et ouverture

Fort de sa silhouette singulière, le bâtiment se laisse envahir par la nature du parc linéaire voisin. Un large espace abrite une végétation légère et un jeu de passerelles et d'escaliers qui sont autant d'espaces informels permettant aux enseignants, aux étudiants et aux visiteurs de se retrouver ou de travailler. Ces plateformes, « amphithéâtres spontanés » et salles de classes sont réunies sous un même toit offrant promiscuité et intimité, dans une relation privilégiée avec la nature. On se croise ainsi non plus dans des couloirs mais dans des lieux de vie, au milieu d'un espace baigné de lumière douce aux vues surprenantes et changeantes. Sa large façade transparente ouvrira à l'Est sur le « green », vaste espace public couvert de pelouses et partiellement boisé. Le bâtiment se lit comme un espace ouvert dévoilant les activités se déroulant en son cœur et se veut un emblème architectural et académique du futur quartier.

Le bâtiment d'enseignements mutualisés qui s'implante au cœur de la zone d'aménagement concerté de l'École polytechnique est représentatif de l'évolution du campus urbain de Paris-Saclay qui est entré en phase opérationnelle. Le campus desservi par la future ligne 18 du Grand Paris Express totalisera une programmation d'1,740 million de m².

- Bordeaux - À 6 mois de l'ouverture, Vincent Mauvage prend la direction de Promenade Sainte-Catherine

Thierry Cahierre, Managing Director de REDEVCO - la foncière spécialiste des emplacements « prime » dans les grandes villes européennes et promoteur de Promenade Sainte-Catherine - annonçait récemment l'arrivée de 3 nouvelles enseignes structurantes sur son projet bordelais.
NEW LOOK (900 M²), EL GANSO (110 M²), BUFFALO BURGER (+ de 150 M²) rejoignaient le pool des grandes enseignes déjà signées, parmi lesquelles Lego Store, Hollister, Surperdry, Bershka, JD Sports, Blue Box / Denim & Supply Ralph Lauren, Monop', Izac, C&A, Swarowski, La Fabrique de Lunettes, Matsuri, Moa, Passionata, La Grande Récré, Ambiance & Styles et L'Univers de Léo, Starbucks, La Tagliatella, McDonald's...

Ouverture aux visiteurs le 25 septembre 2015

Les travaux de cette véritable opération de restructuration urbaine mixte, étendue sur 28 000 m2 (ancien site des imprimeries Sud-Ouest), entre au printemps 2015 dans la phase la plus significative. Alors que l'arrivée des résidents se poursuit :

- la place centrale - futur lieu de vie du projet - finalise la construction de sa fontaine et de ses terrasses. La végétation y fera prochainement son arrivée,
- l'habillage et l'éclairage du Totem monumental et emblématique, qui accueillera notamment le Lego Store, seront finalisés,
- l'arrivée des premiers preneurs débute tout juste pour se poursuivre jusqu'en juillet,
- le démontage symbolique de la grue interviendra en juillet, les travaux du bâtiment réhabilité des 12, 14 rue Guiraude s'achèveront en août...

Si la cérémonie officielle et fête d'inauguration de Promenade Sainte-Catherine sont fixées au 24 septembre, l'ouverture du site aux visiteurs interviendra le lendemain, le vendredi 25 septembre.

Vincent Mauvage : retour à Bordeaux après 10 ans passés à Aix

SOGEPROM Commerce & Service, acteur reconnu du property management, gestionnaire du centre a récemment nommé Vincent Mauvage pour assurer la Direction de Promenade Sainte-Catherine. Vincent MAUVAGE va retrouver Bordeaux et poursuivre avec Redevco une collaboration solide et ancienne :

La connaissance que j'ai de cette ville dans laquelle j'ai dirigé Les Hangars des Quais de 2004 à 2007, la relation forte et déjà ancienne que j'ai avec Redevco, et la qualité du projet Promenade Sainte-Catherine, sont autant de raisons qui justifient mon retour à Bordeaux pour prendre la direction de cet ensemble commercial, constituant un vrai challenge.
Ce projet est très similaire à celui d'Aix-en-Provence (Les Allées Provençales que je dirige depuis 10 ans pour le compte de REDEVCO et dont SOGEPROM Cce & Sce assure la gestion accueille 10 millions de visiteurs par an), par la qualité de vie et par sa situation en cœur de ville. Au-delà des flux naturels liés à la position idéale du site, notre ambition est bien de créer une très large zone de chalandise, et de donner à Promenade Sainte-Catherine un fort pouvoir d'attractivité. Nouveau pôle économique et commercial - et donc vivier d'emplois pour la ville - même si les chiffres ne sont pas encore finalisés, nous pouvons estimer que l'ensemble des boutiques et restaurants va regrouper 300 salariés. Emplois à temps partiel compris.

A propos de Redevco : Spécialisée dans l'immobilier commercial, Redevco est une foncière indépendante présente en Europe. Son portefeuille comprend 450 actifs, localisés dans les meilleurs emplacements commerciaux en Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, France, Hongrie, au Luxembourg, aux Pays-Bas, au Portugal, Royaume-Uni et en Suisse. Redevco propose des solutions immobilières à plus de 1000 enseignes partenaires.

01 avril 2015

Immobilier : Bien vu, bien vendu !

Du 1er au 30 avril, CAPIFRANCE s'associe à SeLoger.com pour booster la visibilité et donc la vente des biens en ligne. 30 jours exclusifs pour faire la différence !

Pour la 3ème année consécutive, l'opération commerciale « Les 30 jours exclusifs » revient chez CAPIFRANCE !

Pour cette nouvelle édition, le réseau renouvelle son partenariat avec SeLoger.com afin d'offrir aux vendeurs une visibilité incomparable de leurs bien : grâce à une remontée de leurs annonces à la Une du site le plus sollicité de France (8 Milllions de visiteurs uniques/mois).

«Se Loger est un leader incontournable de l'immobilier en ligne et détient une audience qualifiée. Ce partenariat va donc permettre de capter un maximum d'internautes » explique Philippe Buyens, Directeur général de CAPFRANCE.

Dans cette même perspective, le réseau prévoit également une diffusion exceptionnelle des biens sur plus de 1 400 supports web et sur les réseaux sociaux.

Organisé du 1er au 30 avril, l'opération garantit aux vendeurs une diffusion exceptionnelle, mais également un accompagnement et un suivi sur-mesure. « Cette opération leur offre les meilleures chances de vendre » assure Philippe Buyens.

La condition ? « Bien évidemment, pour qu'un bien puisse bénéficier de ce dispositif il est essentiel que son vendeur nous accorde l'exclusivité » conclut Philippe Buyens.

Bilan des 30 jours exclusifs 2014

· Cette opération a permis de faire + 27% de mandats exclusifs en avril 2014
· Le site dédié à l'opération a enregistré plus de 7 000 visiteurs
· Plus de 1 000 mandats exclusifs ont été signés grâce à l'opération

Décret syndics : L'UFC-Que Choisir et l'ARC entendues...

Alors que le décret instituant le contrat de syndic obligatoire, trop longuement attendu, vient d’être publié au journal officiel, l’UFC-Que Choisir et l’ARC, se félicitent de la teneur du texte qui reprend largement leurs demandes et met à disposition des copropriétaires une foire aux questions actualisée pour leur permettre de choisir au mieux leur syndic et faire le point sur la nouvelle réglementation.

Ce décret, loin de reprendre le simulacre de projet de décret proposé par le Conseil National de la Transaction et de la Gestion immobilière, cousu mains pour les syndics, est ainsi à saluer même si son entrée en vigueur (1er juillet 2015), postérieure aux dates ordinaires des Assemblées Générales, risque de compromettre la prise d’effet immédiate des avancées obtenues. En effet, il doit permettre de remédier aux principaux abus dénoncés dans le cadre de l’observatoire des syndics que les associations ont lancé en 2013, bien que certaines avancées se font encore attendre.

I. Un grand lot d’avancées :

a) Des forfaits obligatoirement adaptés : Les copropriétés vont enfin cesser de se voir imposer des tarifs prohibitifs pour des prestations laissées à la seule discrétion du syndic : nombre de visites ou de réunions du conseil syndical avec présence du syndic, tranches horaires pendant lesquelles certaines vacations - limitées dans le contrat type - sont incluses dans le forfait. Les copropriétaires ne paieront plus en sus du forfait des vacations pour des AG sauf cas exceptionnels (durée de l’AG particulièrement longue etc…). Il s’agira pour cela que les copropriétaires connaissent bien leurs besoins avant de souscrire le contrat type. Autre avancée majeure : la règle « toute heure commencée est due » (présente dans les contrats Immo de France et Citya) est supprimée.

b) Des frais privatifs désormais limités : si la victoire est loin d’être totale pour les copropriétaires concernés, le décret a le mérite d’essayer de cantonner les frais payés par le copropriétaire en situation d’impayés de charges. Désormais, les « transmissions de dossier à l’avocat » ou bien de « suivi de dossier » sont des prestations qui ne pourront plus être facturées au copropriétaire défaillant, sauf en cas de diligences « exceptionnelles », en espérant que le terme « exceptionnelles » soit entendu strictement.

c) Des frais de photocopies qui disparaissent enfin : Le décret met fin à la facturation injustifiée des photocopies, qui sont facturées en moyenne à 0,24 € la page, et qui peuvent aller jusqu’à 0,30 € la page chez Foncia, ce qui alourdit énormément les frais payés par la copropriété pour la tenue d’une assemblée générale, alors même qu’il s’agit d’un acte de base.

II. Des points noirs qui subsistent notamment :

a) Un extranet qui valorisera le forfait à la hausse : alors que l’ARC et l’UFC-Que Choisir s’attendaient à ce que le décret précise le contenu de l’extranet afin qu’il intègre tous les documents liés à la gestion courante de la copropriété (notamment les contrats souscrits par la copropriété ainsi que les factures des prestataires), le décret est malheureusement resté muet sur ce point. Pire, la minoration du forfait en cas de refus d’extranet, prévue par le décret, risque de créer un effet dissuasif à l’égard de l’extranet chez les copropriétaires, portant ainsi atteinte au développement de cette plateforme permettant des gains de productivité et donc des économies.

b) Encore des prestations indues facturables en plus du forfait : si le décret circonscrit strictement les prestations particulières jugées abusives, qui pullulent dans les contrats de syndic (17 en moyenne selon les derniers résultats de notre observatoire : allant de 12 dans le contrat « Forfait » de Nexity et jusqu’à 25 chez FONCIA dans son contrat « 1 + 1 »), il est néanmoins regrettable que subsiste encore la possibilité de facturer des prestations relevant des missions traditionnelles du syndic ou prévisibles : l’immatriculation des copropriétés, la gestion des sinistres quel que soit leur montant, ou encore les travaux urgents.

c) Le plafonnement de l’état daté se fait encore attendre : l’UFC-Que Choisir et l’ARC s’étonnent enfin que le plafonnement de l’état daté - aujourd’hui facturé entre 400 et 550 euros pour un acte totalement standardisé et informatisé - ne soit pas intégré au décret de ce jour, alors que son plafonnement est pourtant prévu par la loi ALUR.

Au vu de ces éléments l’UFC-Que Choisir et l’ARC :

- appellent les copropriétaires qui seront amenés à se prononcer sur leur contrat de syndic avant le 1er juillet 2015 (entrée en vigueur de la réforme) à se prévaloir dès maintenant des avancées du contrat type ;

- demandent aux pouvoirs publics de plafonner sans délai le prix de l’état daté à un montant devant mettre fin aux abus constatés en la matière par les syndics.

Par ailleurs, l’UFC-Que Choisir et l’ARC mettent à disposition des copropriétaires une foire aux questions actualisées sur les syndics afin qu’ils choisissent leur contrat de manière éclairée.