27 mai 2014

Rénovation énergétique des logements : La piètre performance des professionnels impose une reconstruction du système

Alors que le projet de loi sur la transition énergétique, traitant de la rénovation des logements, doit être prochainement présenté, l’UFC-Que Choisir publie les désastreux résultats d’une enquête sur la fiabilité des diagnostiqueurs EDF, GDF-Suez et indépendants «RGE»(1). L’association en appelle à une totale remise à plat du système d’aide à la rénovation énergétique des logements.

La flambée du budget « énergie » des ménages (+23% depuis 2007) exige une réelle rénovation énergétique du parc vieillissant de logements. Cette rénovation repose aujourd’hui sur deux types d’acteurs : les professionnels labellisés « RGE » – labellisation promue comme une garantie de compétence – et les partenaires d’EDF et GDF-Suez. L’UFC-Que Choisir a donc décidé de mener l’enquête pour tester leur fiabilité : en mars-avril, l’association a sollicité 34 professionnels pour évaluer la performance énergétique de 5 maisons situées aux quatre coins de la France, et recommander des travaux de rénovation, avant de faire analyser les devis par un expert indépendant(2). Sur les 29 professionnels s’étant déplacés, la déception est à la hauteur des enjeux : immense !

Évaluation du bâti : un audit aux abonnés absents dans 75% des cas, et une véritable loterie en termes d’informations

Alors qu’un audit énergétique total du bien immobilier est indispensable pour la fiabilité des recommandations, à peine 58% des prestataires ont visité l’ensemble des lieux. Pire, sur les 29 déplacements, seuls 8 rapports personnalisés et exhaustifs ont été remis aux propriétaires. 15 professionnels se sont contentés de devis standards contenant essentiellement des recommandations sommaires de travaux, quand 6 n’ont même pas pris la peine d’envoyer le moindre document. Au final, seul un quart des prestataires respecte l’exigence d’audit préalable. Ce piteux résultat en termes d’audit aboutit inévitablement à des propositions de travaux parcellaires, voire incohérentes.

Conseils sur les travaux : du grand n’importe quoi

Seul 1 professionnel sur les 23 ayant adressé des recommandations écrites, a proposé des travaux sur les 3 critères exigés en matière de rénovation énergétique : enveloppe du logement, ventilation, production de chaleur. L’absence d’approche globale est particulièrement criante chez les partenaires d’EDF ou de GDF-Suez concentrés sur le système de production de chaleur. Comble du mauvais conseil : certains ont constaté durant l’évaluation une perte importante de chaleur du logement… mais n’ont rien proposé in fine sur l’enveloppe du bâti ou la ventilation ! Cette incohérence se double de la valorisation par ces « experts » de matériels peu performants, alors que le surcoût du passage à un isolant plus épais est négligeable – loin du coût de la main d’œuvre et de l’outillage nécessaire – et permet de réaliser les plus grandes économies.

Conseils financiers : la garantie…d’un service minimum

Tous les professionnels étudiés ne donnent qu’une information minimale et générique sur les aides au financement et ne se livrent à aucun conseil financier personnalisé, détaillant les montants d’aides auxquels le ménage peut prétendre. Le consommateur est laissé seul face à une documentation aussi lourde (33 pages) que technique. Résultat : les devis sont tous aux coûts bruts, hors aides, ce qui peut fausser la prise de décision de la part des propriétaires. En effet, une fois les aides intégrées, certains devis plus efficaces mais a priori plus onéreux s’avèrent, en fin de compte, bien plus économiques.

Au final, un système d’aide à rénover de fond en comble

Ces insuffisances, à tout niveau, pointent l’échec du système d’aide à la rénovation, à commencer par les prestataires de confiance. Les partenaires d’EDF et GDF-Suez sont loin du service attendu, d’autant plus que leurs prestations sont facturées respectivement pas moins de 290€ et 390€. L’échec de la démarche « RGE » est encore plus criant du fait notamment d’une formation abrégée (2 jours) et non continue, de l’absence de contrôles récurrents ou de la non-opposabilité des économies d’énergies alléguées. Quant aux mécanismes de financement, ils sont tellement complexes et changeants que les professionnels ont préféré abandonner tout accompagnement du client qui se retrouve perdu dans une véritable jungle informative et tarifaire.

Décidée à assainir un marché crucial pour les dépenses énergétiques des consommateurs et l’environnement, l’UFC-Que Choisir exige une totale remise à plat du système d’aide à la rénovation énergétique et demande à la Ministre de l’Ecologie que le projet de loi sur la transition énergétique:

- Renforce drastiquement la formation et le contrôle du « signe de qualité » «RGE»
- Promeuve une nouvelle filière d’experts indépendants capables de coordonner les travaux et d’accompagner le consommateur tout au long de sa démarche de rénovation énergétique – de l’audit à la réalisation des économies, une sorte d’architectes énergéticiens;
- Revoie complètement les aides au financement pour accroître leur impact incitatif : progressivité des aides en lien avec la performance de la rénovation, complémentarité entre les différentes aides (Ecoprêt ; CIDD)

(1) Reconnus garant de l’Environnement
(2) Sur les 34 professionnels contactés, 29 ont effectué une visite débouchant sur 25 évaluations et 23 propositions. Ces propositions ont été analysées par un prestataire indépendant travaillant pour les grands acteurs du secteur en France et en Europe





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16 mai 2014

Observatoire des syndics : Un constat qui manque vraiment d’ALUR !

Alors que s’ouvre la période des assemblées générales de copropriétés et que la loi ALUR prévoit de nouvelles obligations dont l’entrée en vigueur s’étale dans le temps, l’UFC-Que Choisir et l’ARC publient les résultats actualisés de leur observatoire des syndics. Sur la base de ce regrettable état des lieux, les deux associations publient à destination des copropriétaires un vrai/faux pédagogique sur la loi ALUR et interpellent les pouvoirs publics pour que les décrets d’application coupent définitivement court aux abus encore et toujours constatés.

Au moment où les syndics usent et abusent de la Loi ALUR comme argument pour justifier des augmentations tarifaires, l’UFC-Que Choisir et l’ARC ont passé au crible les différentes offres contractuelles proposées en 2014 (1) par les syndics de copropriété. Le résultat est aussi désolant qu’en 2013, voire plus affligeant : entre la persistante présentation artificieuse de leurs forfaits, la prolifération des clauses abusives dans leurs contrats, et les prix excessifs des prestations particulières, sans parler des violations de certaines nouvelles obligations de la Loi ALUR, on peut vraiment se demander si le crédo des syndics n’est pas « le changement, c’est maintenons ! ».

Prix, présentation : des « forfaits » autant en trompe l’oeil

Bien que la Loi ALUR fasse du compte bancaire séparé -compte au nom du syndicat de copropriétaires et non du syndic- le principe et, ce, sans discrimination tarifaire, les syndics continuent d’appliquer encore et toujours, à l’exception de Citya, un surcoût abusif par rapport au compte unique compris entre 20 et 29 %. Ce surcoût moyen de 23,6% est dix fois supérieur aux intérêts financiers que le syndicat pourrait percevoir avec le compte séparé. Pire, 3 formules (Nexity Classique, Foncia 1 par 1 et Foncia Horizon) pratiquent aujourd’hui un surcoût encore plus important qu’en 2013. Résultat: 9 copropriétés sur 10 sont toujours au compte unique alors même que celui-ci leur est plus défavorable. En raison de la souplesse de la Loi ALUR qui permet l’étalement du passage au compte séparé sans majoration tarifaire jusqu’en 2018, le risque est donc grand que certains syndics cherchent à l’imposer dès maintenant avec un juteux surcoût. Outre ce très cher compte séparé, les syndics continuent le scandale des vrais-faux forfaits « tout compris », qui n’ont de tout inclus que le nom. Les syndics présentent comme des prestations particulières « incluses » dans des forfaits globaux des prestations obligatoires et masquent une kyrielle de prestations particulières connexes payantes : pas moins de 11 pour le «forfait» de Nexity et 18 pour le contrat « Horizon Plus » de Foncia !

Clauses abusives/illicites : encore un trop grand lot de clauses problématiques

Les clauses que nous qualifions, à l’appui des recommandations de la Commission des clauses abusives ou de la jurisprudence, d’abusives/illicites continuent de proliférer dans les contrats. Avec une moyenne de 17 clauses sur les 7 contrats étudiés, le record (25) incombe cette année encore à Foncia avec son contrat « Formule 1 par 1 ». L’objet de ces clauses porte avant tout sur les doubles rémunérations ou les facturations illicites qui viennent charger financièrement les syndicats de copropriétaires (frais liés à l’Assemblée Générale ordinaire comme des locations de salle) ou le copropriétaire individuel (délivrance d’informations pour le diagnostic de performance énergétique ou actualisation de l’état daté).

Des prestations particulières aux tarifs particulièrement excessifs

Ayant augmenté 2,5 fois plus que l’inflation, les prestations particulières viennent considérablement renchérir les honoraires de syndic, avant tout en raison des méthodes toujours aussi contestables de fixation des prix: malgré l’obligation de Loi ALUR entrée en vigueur en mars 2014 de sortir des contrats la rémunération en pourcentage pour travaux exceptionnels, les honoraires de travaux restent ainsi, à l’exception d’IMMO DE France, indûment indexés sur le montant des travaux à un niveau élevé et sans dégressivité (pouvant aller jusqu’à 7,2 % pour Nexity et même 7,8% pour LOISELET). Aussi, demeure l’intolérable loterie tarifaire liée aux prestations payées à la vacation (20 pour le contrat classique de Nexity), dont le montant varie en fonction de l’heure d’intervention et de la qualité de l’intervenant choisi par le seul syndic. Enfin, pour certaines prestations particulières dites «privatives » (pour mutation d’un lot ou impayés de charges), les syndics continuent de tirer profit de l’extrême captivité dans laquelle se retrouvent les copropriétaires pour surfacturer la prestation. Par exemple, pas moins de 420 euros sont réclamés par Foncia pour la simple transmission d’un dossier à un avocat. Pire, l’état daté est facturé 480 euros en moyenne !

Décidées à ce que le marché soit véritablement assaini, et alors que les décrets d’application de la Loi ALUR se font cruellement attendre, l’UFC-Que Choisir et l’ARC, tout en réitérant leur demande d’être enfin reçus par la Ministre du Logement, passent à l’action en :

- Informant les copropriétaires quant à la réalité des nouvelles obligations de la Loi ALUR et de leur entrée en vigueur, grâce à un vrai-faux leur permettant de démasquer les faux arguments de certains syndics peu scrupuleux.
- Pressant la DGCCRF de diligenter des contrôles des syndics quant au respect des obligations actuellement en vigueur de la Loi ALUR (exemple:honoraires travaux) et de sanctionner les manquements
- Adressant aujourd’hui à la Ministre du Logement des projets de textes pour les décrets d’application de la Loi ALUR, plus particulièrement sur le contrat-type et sur la liste strictement limitative des prestations particulières facturables, et sur les préconisations quant au montant plafond des frais privatifs.

(1) L’analyse a porté sur les 7 contrats type représentant 70% du marché : Foncia formule « 1 par 1 », Foncia « Horizon », Nexity « Classique », Nexity « Forfait », Citya, Immo de France, Loiselet&Daigremont. Par ailleurs, pour l’analyse tarifaire, l’Observatoire a utilisé la base de données OSCAR de l’ARC, recensant 932 contrats.




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15 mai 2014

RE/MAX présent au salon de l’Immobilier et du Tourisme portugais

RE/MAX participe à la troisième édition du salon de l’Immobilier et du Tourisme portugais qui se tient du 16 au 18 mai 2014 à Paris Expo, Porte de Versailles. Les dirigeants de RE/MAX France seront présents aux côtés de leurs homologues portugais afin de répondre aux besoins des visiteurs cherchant des opportunités d’investissement au Portugal.

Implanté depuis 14 ans au Portugal, RE/MAX est actuellement le leader sur ce marché avec 187 agences et plus de 3.000 agents. L’arrivée de la crise sur le marché immobilier portugais n’a pas ralenti le développement de RE/MAX. L’enseigne s’est en effet adaptée en adoptant un positionnement orienté majoritairement sur les investissements venant de l’étranger. Une démarche favorisée par les dernières mesures prises par le gouvernement portugais.

Dans ce cadre, RE/MAX expose au salon de l’Immobilier et du Tourisme Portugais qui se déroule du 16 au 18 mai 2014. Présent sur un stand de 100 m2, le plus important du salon, RE/MAX Portugal a dépêché une délégation de cinquante professionnels représentant l’ensemble des agences du territoire, dont l’île de Madère, pour informer les visiteurs sur les opportunités d’investissement dans le pays. Preuve de la synergie existante au sein du réseau, RE/MAX France représentera également l’enseigne lors de cet évènement avec comme principal objectif de développer les relations et les échanges entre les deux structures.

L’arrivée de RE/MAX en France est une véritable opportunité pour l’entité portugaise qui souhaite mettre en place une collaboration poussée entre les deux parties. Ainsi, les antennes situées en région parisienne feront office de véritables relais pour l’ensemble du réseau.
Pour RE/MAX France, c’est l’occasion de proposer des biens de qualité à ses clients ayant la volonté d’investir au Portugal, en s’appuyant sur le savoir-faire et les contacts de leurs homologues.

UN CONCEPT UNIQUE SUR LE MARCHÉ DE L’IMMOBILIER

Présent dans plus de 90 pays avec 6 550 agences et 90.000 professionnels interconnectés, RE/MAX est aussi le premier réseau immobilier européen. Il a bâti son succès sur un modèle économique unique : un réseau d’agences immobilières regroupant des agents mandataires indépendants. Ce concept repose sur les qualités de chaque franchisé-manager à constituer et animer son équipe d’agents commerciaux pour optimiser leur travail sur le terrain.
Chez RE/MAX, l’agent commercial est mieux rémunéré que dans n’importe quel autre réseau (agences ou mandataires) car le nombre de transactions qu’il réalise (environ 15 par an) est supérieur à la moyenne française. Par ailleurs, sa rémunération peut représenter jusqu’à 80% de la commission.
Pour devenir aussi performant, le modèle économique de RE/MAX s’est inspiré du meilleur de l’agence immobilière (emplacement à fort potentiel de notoriété, bureaux à disposition, salle de réunion…) et du meilleur de l’agent mandataire (indépendance, coût variable, gestion du temps…). Réunis, ils bénéficient ensuite d’outils de formation et de coaching de pointe, propres au concept.

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13 mai 2014

Conseiller immobilier : ce qui a changé

Le métier de conseiller immobilier subit depuis plusieurs années une profonde mutation. Celui-ci doit plus que jamais revoir sa manière de travailler pour répondre aux nouvelles exigences du marché et des consommateurs. Zoom sur une profession qui évolue au rythme de la crise économique...

Aujourd'hui, la nouvelle donne du marché immobilier entraîne inévitablement la mutation et l'évolution de la profession. C'est du moins ce que note Christophe Couvert, conseiller immobilier CAPIFRANCE depuis 2009. « Nous faisons un métier de proximité qui nous permet d'être en contact permanent avec les clients. Quelque part cela nous positionne en première ligne de mire du marché et nous permet de comprendre ses évolutions. Nous prenons chaque jour la température du secteur et sommes à même d'analyser les comportements des acheteurs ou des vendeurs face au contexte économique toujours difficile. Or, il ressort simplement, et c'est légitime, que les clients sont devenus plus exigeants ».

« Jouer la carte de l'honnêteté »

Rationalisation des coûts, valorisation de patrimoine, développement de nouvelles offres de service qualité de service, certification... Telles sont désormais les nouvelles attentes des consommateurs. Une évolution des besoins qui impose aux conseillers CAPIFRANCE, de devenir forces de propositions, d'être performants dans leur cœur de métier, mais également d'avoir des compétences complémentaires. Toutefois, pour Christophe Couvert, ces nouvelles attentes ne changent pas fondamentalement le métier de conseiller. « Il faut simplement anticiper et s'adapter à la situation mais surtout jouer la carte de l'honnêteté. Par exemple, j'explique à mes vendeurs qu'il y a une baisse des prix liée au contexte. Donc aujourd'hui pour vendre, il faut avant tout baisser son prix. Malheureusement on entend tout et son contraire, mais ceux qui m'écoutent réussissent à vendre rapidement ».

Des clients plus attentifs à leur investissement

Pour le conseiller CAPIFRANCE, aujourd'hui ce sont les acheteurs qui ont la main et qui tiennent le marché. « Il faut donc prioritairement essayer de les satisfaire. Or, ils sont devenus plus attentifs à leur investissement ». Un effet sans doute de la frilosité des banques à leur accorder un crédit. Les banques ont des critères d'octroi qui se répercutent aujourd'hui sur les critères d'achat. Un phénomène également soutenu par une offre plus importante, remarque Christophe Couvert. « Aujourd'hui les acheteurs sont donc plus exigeants sur la négociation du prix et prennent également plus le temps de la réflexion. Ils étudient tout, y compris les diagnostics, avant de prendre une décision et de faire une offre. Les transactions sont donc souvent plus longues sans avoir de réelles garanties d'aboutissement ».

Psychologue et philosophe...

« Le travail de conseiller est aujourd'hui de plus en plus orienté sur l'accompagnement. Il s'agit pour nous de rassurer le client et de répondre à chacune de ses questions. On sent davantage de réticences et de freins, sans doute liés aux pressions d'un engagement financier conséquent. Ce nouvel aspect du métier nécessite de la justesse dans les propos mais également de comprendre pourquoi un acheteur ou un vendeur peut être sur la défensive. En effet, ce comportement peut parfois cacher la crainte de perdre son emploi, de ne plus pouvoir rembourser son prêt, de perdre trop d'argent etc.». De nouvelles contraintes auxquelles désormais les conseillers doivent répondre avec psychologie et un brin de philosophie explique Christophe Couvert.
Le métier est sans doute rendu plus difficile par la conjoncture actuelle, « mais finalement cela permet de développer une nouvelle façon de travailler, une autre approche, plus humaine, où respect et confiance sont les maîtres mots » estime Christophe Couvert. « Ce qu'on reprochait au métier d'agent immobilier, c'est de ne pas être assez humain, à l'écoute. Or aujourd'hui c'est une qualité fondamentale pour exercer le métier de conseiller » conclut t-il.

Selon un sondage IFOP/IPSOS réalisé en octobre 2013, l'attente côté clients est forte vis-à-vis de la profession. 51 % des clients attendent une juste estimation au prix du marché, 56 % une sécurisation de la contractualisation, et 50 % des visites accompagnées des biens immobiliers.
64 % des personnes interrogées déclarent par ailleurs avoir une bonne image de la profession. Cette bonne image explique pourquoi 4 personnes sur 5 affirment faire confiance aux professionnels immobiliers. Globalement, 80 % des Français sont satisfaits quant à l'expertise des agents (connaissance du marché). Les clients attendent prioritairement des professionnels qui soient honnêtes et fiables (49 %), intègres et éthiques (36 %).




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Solvimo arrive à La Ciotat

Déjà fortement implanté dans les Bouches-du-Rhône, le réseau immobilier Solvimo vient d’ouvrir une nouvelle agence franchisée à La Ciotat.

Solvimo, l’un des seuls réseaux immobiliers à être totalement indépendant des groupes bancaires, base principalement son développement sur la qualité des services, la diversification des offres et une forte présence sur internet. Solvimo a notamment affiné l’offre présentée sur le web afin de coller davantage au terrain et s’adapter aux nouvelles habitudes en matière de recherches immobilières.
Ainsi, il a segmenté la France en 22 sites internet régionaux d’annonces immobilières et 95 sites départementaux. Tous sont accessibles depuis www.solvimo.fr. Plus de 13.000 annonces sont proposées en ligne et il est possible de visiter virtuellement certains biens. Une application IPhone est également disponible.

Solvimo se démarque aussi de ses concurrents par la mise en place d’une démarche qualité exigeante. L’enseigne a notamment opté pour une totale transparence sur ses ventes. Elle fait notamment figurer sur son site, pour chaque agence, le délai entre la signature du mandat et la concrétisation de la transaction.
Le réseau propose également des services en ligne complémentaires à l’attention du public. Ainsi, une application développée avec Demeco permet d’estimer rapidement le prix de son déménagement tandis qu’une autre, créée en partenariat avec Cafpi, permet de simuler ses capacités d’emprunt.

> Solvimo à La Ciotat :
482 avenue Guillaume Dulac – 13600 La Ciotat. Tél. : 04 94 83 01 26
- Franchisés : Marie-Christine Cozic, Cendrine Roumilhac, Marc Hedoux.




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12 mai 2014

UneMaisonBleue recrute 20 nouveaux négociateurs immobiliers / Point sur ce métier par Anthony Perrat

UneMaisonBleue recrutera, en 2014, une vingtaine d’agents commerciaux, dans toute la France, pour accompagner le succès que son service connaît auprès des acquéreurs immobiliers. Un concept d’agence immobilière innovante qui offre de nouvelle conditions de travail et apporte une autre vision du métier de négociateur immobilier….

Etre un agent commercial dans le monde de l’immobilier offre de nombreux avantages encore méconnus par les principaux intéressés… Mise au point d’UneMaisonBleue !

Fort d’une équipe de 20 négociateurs, UneMaisonBleue déploie actuellement une stratégie de recrutement et souhaite doubler le nombre de collaborateurs, d’ici fin 2014. Les agents commerciaux sont séduits par le modèle économique de l’agence qui permet une nouvelle approche du métier. Ils sont également sensibles à la formation initiale (les bases du métier) et continue (développement et mise à jour des compétences) proposée. Un critère important pour les négociateurs immobiliers qui sont assujettis au dispositif de la loi Alur, bientôt en vigueur, et qui remet en question leur statut en cas d’absence de formation. Enfin, ils apprécient l’absence de droit d’entrée et de redevance mensuelle et le fait qu’UneMaisonBleue procure une attestation préfectorale à tous ses collaborateurs.

Le chiffre d’affaires d’UneMaisonBleue a connu une croissance de près de 70 %, en 2013, par rapport à 2012. Preuve, s’il en était besoin, que le modèle économique alternatif développé par la marque (agence à commission fixe et réduite – 5.980 €*) correspond à une véritable attente de la part des vendeurs et acquéreurs. Fort de cette réussite, la marque va se développer, au cours des prochains mois, dans les principales grandes agglomérations françaises. UneMaisonBleue est actuellement représentée en Ile-de-France, dans le Var, en Loire Atlantique et en Isère.

Commerciaux des agences immobilières : avantage aux mandataires !

Ils ont plus de liberté, plus de moyens et plus de revenus que leurs confrères des agences vitrées


« Beaucoup de personnes aspirant à faire de la transaction immobilière ont des idées fausses sur cette (relative) nouvelle façon de travailler en étant mandataire, indique Anthony Perrat, fondateur d’UneMaisonBleue. En règle générale, elles imaginent qu’il est plus sécurisant et plus rémunérateur de postuler dans une agence classique… Rien n’est moins vrai !

Le travail en agence… ça eut payé !

Première idée reçue à laquelle il convient de tordre le cou : les agences classiques n’emploieraient que des salariés. Rien n’est moins vrai… puisqu’aujourd’hui, la grande majorité des négociateurs travaillant en agence n’ont plus de statut salarié. Ils sont donc, de fait, des mandataires. La différence avec leurs confrères travaillant de façon réellement indépendante (pour des réseaux de mandataires) est qu’ils reçoivent une avance sur rémunération, mais cette dernière doit donc être couverte, à terme, par les honoraires perçus lors des prochaines ventes.

Les aspirants à la profession se précipitant dans les agences classiques pour bénéficier d’un statut fixe et sécurisé en sont donc pour leurs frais… La déception va grandissant quand ils s’aperçoivent que leurs revenus ne sont pas, non plus, à la hauteur de leurs espérances. En effet, le niveau des frais d’agences (au pourcentage) imposés aux clients est loin d’être révélateur du niveau de revenus des commerciaux… En clair, ce n’est pas parce que l’agence immobilière prélève une commission pouvant grimper jusqu’à 10 % (pour les plus petites surfaces) que le commercial qui a réalisé la transaction va percevoir une rémunération intéressante. Bien au contraire ! Une agence « vitrée » supporte des frais importants qui captent une grande partie des rentrées financières. Résultat : les commerciaux des agences classiques ne perçoivent souvent pas plus de 20 % du CA généré… alors que les mandataires d’UneMaisonBleue, par exemple, touchent 70 % du CA qu’ils génèrent (ex : pour une vente d’une valeur de 500.000 €, le négociateur percevra 3.500 € net et pour une vente à plus d’un million d’euros, il recevra 9.320 € net), sans frais d’entrée et redevance mensuelle.

Plus de liberté, c’est plus de chiffre d’affaire !

Les revenus sont donc potentiellement plus importants dans le second cas. Logique… La liberté dont bénéficient les mandataires nouvelle génération influe directement sur leurs revenus. En effet, dans les réseaux classiques « vitrés », les agents commerciaux – pourtant non salariés ! – sont souvent tenus d’assurer une permanence de 35 h (ou plus) par semaine, à l’agence. Pas évident, dans ces conditions, d’avoir une activité commerciale très pro-active… ce qui pose un véritable problème lorsque l’on sait qu’ils sont rémunérés en fonction du chiffre d’affaires réalisé ! Les mandataires, eux, sont entièrement libres de leurs mouvements et peuvent donc consacrer tout leur temps à la dynamique commerciale. »

* pour toute vente dont la valeur n’excède pas un million d’euros

A propos d’uneMaisonBleue :
UneMaisonBleue est une marque immobilière utilisée par des agents commerciaux choisissant de pratiquer des frais d’agence réduits, fixes et connus d’avance. Ceux-ci sont égaux à 5.980 € pour toute vente dont la valeur n’excède pas un million ; Soit la très grande majorité des transactions françaises.
Fondée en 2010 par Anthony Perrat avec deux associées, UneMaisonBleue propose une prestation complète : estimation gratuite du bien immobilier, publication d’une annonce sur les sites internet leaders, prise en charge de toutes les visites, représentation du vendeur lors du rendez-vous avec les diagnostiqueurs, accompagnement jusqu’à la signature devant Notaire. UneMaisonBleue.com regroupe actuellement une vingtaine de conseillers immobiliers.
Site internet : www.unemaisonbleue.com




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