22 décembre 2014

2014 : Les femmes sont les moteurs des projets immobiliers

AVendreALouer.fr, site de petites annonces immobilières, s’est interrogé sur les motivations et les comportements des femmes en matière d’immobilier. « 67% des Français achètent en couple. Et souvent, c’est la femme qui est le moteur de cette étape de vie. 65% des agents immobiliers déclarent ainsi que les femmes sont les premières à les contacter et organiser les visites » déclare Isabelle Argy, Directrice Marketing et Relation Clients A Vendre A Louer.

Femmes propriétaires, l’écart avec les hommes se ressert

L’an dernier, ces messieurs étaient 7% de plus que ces dames à accéder à la propriété. Cette année l’écart se ressert et perd 3 points avec 64% d’hommes et 60% des femmes propriétaires. Les femmes sont plus précoces puisqu’elles sont 72% à déclarer être devenue propriétaire à moins de 34 ans contre 62% des hommes, moins pressés de s’engager. L’âge moyen du premier achat chez les femmes s’élève à 30,6 ans (soit 8 mois plus jeune que la moyenne nationale) et 32,1 ans pour les hommes.

Qui sont les véritables moteurs des projets immobiliers ?

65% des professionnels de l’immobilier déclarent que les femmes sont majoritairement à l’origine des projets immobiliers et qu’elles prennent davantage contact avec eux que les hommes pour connaitre plus de détails sur un bien ou pour organiser les rendez-vous. Et ce, quelque soit son statut au sein du foyer : chef de famille, maîtresse de maison

Néanmoins, lorsqu’il s’agit d’effectuer les visites et de prendre la décision finale, femmes et hommes se concertent et agissent ensemble selon 62% des agents. Par ailleurs, les femmes favorisent l’achat en couple dans plus de 70% des cas.

Leurs principales motivations pour changer de logement sont davantage liées à des évènements de la vie (emménagement à deux, arrivée d’un bébé…) que les hommes (35% VS 28%). Les hommes sont également deux fois plus nombreux à citer une mutation professionnelle comme déclencheur principal à l’achat ou à la location d’un nouveau logement. Ils sont enfin plus sensibles à des conditions financièrement avantageuses du marché immobilier (1 homme sur 3 VS 1 femme sur 4).

Des disparités persistantes dans l’accession à la propriété entre hommes et femmes

Si elles aspirent autant que les hommes à devenir propriétaires, et y accèdent d’ailleurs plus jeunes, la réalité s’avère plus difficile pour elles. Achat ou location, elles sont plus nombreuses que les hommes à penser qu’il est difficile de trouver un logement (respectivement 74% et 63%). La raison principale évoquée par les femmes pour justifier ce pessimisme : les prix de l’immobilier pour près de 70% d’entre elles, alors qu’ils n’inquiètent que 56% des hommes.

A l’heure de concrétiser un projet d’achat immobilier, la gente féminine évoque la difficulté de financer l’acquisition d’un bien (31%), la peur du chômage élevé et de la précarité de l’emploi (30%) et la difficulté d’obtenir un crédit. Dans ce contexte, seule une femme sur cinq déclare cette année avoir un projet d’achat.

Les femmes ont d’ailleurs cette année obtenu moins de prêts immobiliers que les hommes (80% VS 86%) et sont également moins aidées par leurs proches (26% VS 28%).

Les femmes agents immobiliers traversent-elles mieux la crise ?

Les femmes agents immobiliers sont plus pessimistes que leurs homologues masculins sur l’évolution du marché dans les années à venir : elles sont deux fois moins nombreuses à croire en une reprise des transactions en 2015 (6% contre 13% des hommes) et en un réajustement des prix contre (26% contre 49% des hommes). Cependant, 6 professionnelles sur 10 voient leurs revenus stagner ou augmenter en 2014 contre 1 professionnel sur 2.

* Observatoire de l’immobilier : étude quantitative réalisée en partenariat avec OpinionWay auprès d’un échantillon de 1003 répondants âgés de 18 ans et plus, représentatifs de la population française sur des critères de sexe, d’âge, de CSP, de région, et de taille d’agglomération. Dates de terrain : du 03 au 11 juin 2014. Enquête de conjoncture des agences immobilières : étude quantitative réalisée en ligne auprès de 400 répondants, tous professionnels de l’immobilier dans la France entière. Dates de terrain : du 16 au 23 mai 2014.

A propos de A Vendre A Louer
Créée en 1986, la société A Vendre A Louer est spécialiste des solutions de communication à destination des professionnels de l’immobilier et marque de Solocal Group depuis 2011. La motivation d’A Vendre A Louer est d’accélérer la recherche grâce à la force de son inventaire, la pertinence de son moteur de recherche et l’innovation permanente. A Vendre A Louer maintient sa dynamique de développement et renforce ses positions avec des offres et services variés : un logiciel de transactions immobilières, Aptalis, un site dédié exclusivement aux programmes neufs, AVendreALouer-Neuf.fr, et un dédié aux terrains, AVendreALouerTerrain.fr, des supports mobiles avec des applications iPhoneTM et iPadTM.

A propos de Solocal Group
Solocal Group, N°1 de la communication locale, est le nouveau nom de PagesJaunes Groupe depuis le 5 juin 2013. Le Groupe propose des contenus digitaux, des solutions publicitaires et des services transactionnels qui favorisent la mise en relation locale entre les professionnels et les consommateurs. Il fédère près de 5 000 collaborateurs – dont plus de 2 300 conseillers en communication locale en France et en Espagne pour accompagner le développement numérique des entreprises (TPE/PME, Grands Comptes, etc.) – 18 marques fortes et complémentaires (PagesJaunes, Mappy, 123people, 123deal, A vendre A louer, Embauche.com, Keltravo, Chronoresto, ZoomOn, Solocal Network, ComprendreChoisir, ClicRDV, PJMS, Horyzon Media, Leadformance, QDQ, Editus et Solocal Group) et près de 700 000 annonceurs. En 2012, Solocal Group a réalisé un chiffre d’affaires de 1,07 milliard d’euros dont 58,4% sur Internet, et se classe ainsi parmi les premiers acteurs européens en termes de revenus publicitaires sur Internet. Solocal Group est cotée sur NYSE Euronext Paris (LOCAL). Les informations disponibles sur Solocal Group sont accessibles sur www.solocalgroup.com.




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19 décembre 2014

RE/MAX ouvre son premier pôle dédié à l'immobilier d'entreprise en France

Présent dans 97 pays, avec plus de 6.000 agences et 96.000 agents, RE/MAX a amorcé depuis plusieurs mois son développement en France. Alors que plusieurs agences destinées aux particuliers devraient ouvrir dans les prochains mois, l'enseigne vient d'implanter son premier pôle "Commercial" à Saint-Ouen-l'Aumône (95).

Installé depuis avril 2014 en France, RE/MAX a pour objectif d'ouvrir une dizaine d'agences "classiques" chaque année. Afin de compléter ce dispositif, l'enseigne va implanter, en parallèle, sur les principales villes françaises, des agences baptisées "Commercial", spécialisées en immobilier professionnel, et d'autres "Collection" dédiées à l’immobilier de prestige.

UNE COLLABORATION INTERNATIONALE
Depuis quelques semaines, Julien Visse a intégré le réseau et dirige le premier pôle RE/MAX dédié à l'immobilier d'entreprise et à la vente de fonds de commerces.
Possédant une expérience de plus de 10 ans sur le secteur immobilier, il évolue sur le marché dédié aux entreprises et commerces depuis 2010. Julien Visse a décidé de rejoindre RE/MAX, il y a quelques mois, pour bénéficier de l'expertise et de l'expérience d'un réseau de niveau international. Implanté à Saint-Ouen-l'Aumône, il couvre les secteurs des Yvelines, de l'Eure, de l'Oise et du Val-d'Oise.
"J'ai pris la décision de rejoindre RE/MAX afin d'optimiser mon activité et travailler de façon plus structurée. Cela m'ouvre l'accès à une clientèle étrangère que je n'aurais pas pu toucher en restant indépendant et m'apporte des contacts issus directement du système collaboratif mis en place chez RE/MAX à travers le monde. Je suis, par exemple, régulièrement en relation avec des consultants du réseau basés à Pékin. Cette organisation porte d'ailleurs déjà ses fruits puisque plusieurs projets sont en cours avec des investisseurs asiatiques" explique Julien Visse.

Le développement de l'activité consacrée aux commerces et entreprises fait partie des priorités de la tête de réseau France pour diversifier ses activités. "Cela reflète le savoir-faire international de RE/MAX. Notre ambition est d'implanter, à plus ou moins court terme, différents pôles dédiés à l'immobilier professionnel sur les grandes agglomérations françaises. L'aspect collaboratif requis pour être efficace sur ce segment de marché colle parfaitement avec la philosophie de notre marque" précise Thomas Dangin, Directeur Associé RE/MAX France.
Les professionnels peuvent désormais s'appuyer sur RE/MAX pour bénéficier du savoir-faire de l'enseigne concernant l'immobilier d'entreprise et la transmission ou la vente de fonds de commerces de proximité.

UN CONCEPT UNIQUE SUR LE MARCHÉ DE L’IMMOBILIER
RE/MAX, le réseau numéro un des transactions dans le monde est présent dans 97 pays, sur tous les continents, avec plus de 6.000 agences et plus de 96.000 agents. C’est également le premier réseau d’agences immobilières en Europe.
Il a bâti son succès sur un modèle économique unique : un réseau d'agences immobilières Franchisés regroupant des agents commerciaux indépendants. Ce concept repose sur les qualités de chaque franchisé-manager à constituer et animer son équipe d'agents commerciaux, de les coacher au quotidien, pour optimiser leur travail sur le terrain.

RE/MAX Commercial Saint-Ouen-l'Aumône :
1, avenue de l'Eguillette – 95310 Saint-Ouen-l'Aumône (BP 80157 Cergy-Pontoise Cedex)
Tél. : 01 34 42 61 88
Mail : commercesetentreprises@remax.fr
Franchisé : Julien Visse

A propos de RE/MAX :
Présent dans 97 pays, RE/MAX est aussi le premier réseau immobilier européen avec 1.500 agences indépendantes. Il s'appuie sur un concept unique : des agences dirigées par des managers Franchisés et regroupant des agents commerciaux indépendants.
www.remax.fr




www.philippeescudie.com

17 décembre 2014

La Fédération des Promoteurs Immobiliers (FPI) et Apave signent un partenariat

Apave, Groupe référent en matière de maîtrise des risques techniques, humains et environnementaux, et la Fédération des Promoteurs Immobiliers de France (FPI), principale organisation professionnelle représentant les promoteurs du secteur privé (plus de 500 promoteurs et 82% du marché), annoncent la signature d'une convention de partenariat.

Un partenariat prometteur dans un secteur stratégique

Les promoteurs immobiliers sont les acteurs majeurs de la construction. Depuis 1971, cette profession est représentée et défendue par la Fédération des Promoteurs Immobiliers de France (FPI). Cette organisation professionnelle, qui compte plus de 500 adhérents, et notamment tous les grands opérateurs, est un interlocuteur privilégié des pouvoirs publics et contribue à l'élaboration des textes législatifs et réglementaires qui concernent les domaines d'activité de ses adhérents.

Apave accompagne les entreprises de promotion immobilière dans la maîtrise des risques techniques, humains et environnementaux, à travers une offre complète de prestations : inspection, bâtiment, essais et mesures, formation, conseil. Toutes visent à augmenter la sécurité des hommes et des biens et à optimiser la performance des projets immobiliers et patrimoines, en intégrant toutes les exigences environnementales.

Dans le prolongement des relations existant entre Apave et la FPI depuis de longues années et constatant une communauté d'intérêts pour sensibiliser aux enjeux de la maîtrise des risques techniques, humains et environnementaux dans le bâtiment, une convention de partenariat a été signée portant sur une série d'actions conjointes.

Parmi les actions décidées, Apave assurera, aux côtés des autres partenaires, une présence forte dans les manifestations professionnelles de la FPI (Congrès, Journées d'Etudes Professionnelles, etc.) et dans les formations que la FPI organise pour ses adhérents. Apave apportera par ailleurs sa contribution et son expertise dans le cadre de la préparation du concours des Pyramides d'Or organisé par la FPI.

« Le bâtiment est un axe stratégique pour Apave pour lequel nous proposons des prestations à forte valeur ajoutée - comme Le Scan par Apave (missions d'assistance technique) - et où nous poursuivons nos investissements avec par exemple la création d'une agence bâtiment génie civil couvrant l'Ile-de-France. En cette période où le bâtiment moteur de l'économie française souffre, ce partenariat souligne notre confiance dans l'avenir et dans la capacité des principaux acteurs du bâtiment regroupés au sein de la FPI à contribuer efficacement à la reprise du marché de la construction », précise Rémi Sohier, Directeur Général du Groupe Apave.

« La maîtrise des risques est un enjeu majeur pour nos adhérents et nous sommes heureux de ce partenariat avec l'un des acteurs de référence en la matière dont nous partageons les valeurs d'exigence et de respect », conclut François Payelle, Président de la FPI.

A propos du Groupe Apave
Apave accompagne les entreprises et les collectivités dans la maîtrise de leurs risques techniques, humains et environnementaux. Organisme indépendant avec un CA de 803 M € en 2013, Apave compte 10 650 collaborateurs (dont 8 000 ingénieurs et techniciens), 130 agences, 170 sites de formation en France et à l'international et 31 laboratoires et centres d'essai. Apave est présent à l'international à travers 48 implantations. 200 000 entreprises et collectivités lui font déjà confiance en France et dans le monde.
Pour plus d'informations : http://www.apave.com

A propos de la Fédération des promoteurs immobiliers de France (FPI)
La Fédération des promoteurs immobiliers de France (FPI) est l'unique organisation professionnelle représentant les promoteurs du secteur privé. La FPI, interlocuteur des administrations, du Gouvernement et des parlementaires, participe activement, à travers diverses commissions et des prises de position publiques, à l'élaboration des textes législatifs et réglementaires qui concernent les domaines d'activité de ses adhérents. Elle intervient également auprès des instances européennes au travers de l'Union Européenne des Promoteurs-Constructeurs (UEPC). Enfin, elle met à disposition des décideurs publics l'Observatoire de la Fédération des promoteurs immobiliers de France producteurs de données sur le secteur et représentant 82% du marché. La FPI est présidée depuis 2012 par François Payelle.




www.ifts-sls.com

16 décembre 2014

Faut-il taxer les ventes immobilières réalisées sur Leboncoin et PAP ?

La vente entre particuliers s'est professionnalisée et concurrencerait les agences immobilières, selon deux députés, « de façon tout à fait déloyale » et causerait vraisemblablement « un manque à gagner pour l'Etat »... Retour sur cette qui fait débat chez les professionnels de l'immobilier...

Et si l'Etat se mettait à taxer les petites annonces entre particuliers dans l'immobilier, publiées sur Leboncoin, Entreparticuliers ou PAP ?
C'est ce que propose le député PS des Pyrénées-Orientales Jacques Cresta, soutenu par la députée PS de Vendée, Sylviane Bulteau. « Lorsqu'une transaction immobilière est réalisée par l'intermédiaire d'un professionnel, ce dernier pratique des honoraires qui sont assujettis à l'impôt (TVA). Ce qui n'est naturellement pas le cas dans le cadre d'un arrangement entre particuliers », expriment d'une même voix les deux députés.
Tous deux dénoncent ainsi « la concurrence que constituent (ces sites), notamment pour les professionnels de l'immobilier qui considèrent que celle-ci s'exerce de façon tout à fait déloyale, et même au détriment de l'État, en laissant s'installer un marché parallèle de l'immobilier ».

Qu'en pensent les principaux intéressés ?

Pourtant, Philippe Buyens, Directeur Général Délégué de CAPIFRANCE le premier réseau immobilier de conseillers indépendants en France, est quant à lui moins catégorique.
« Il faut rappeler que les systèmes qui organisent et facilitent les transactions de gré à gré, existaient bien avant la création du site Leboncoin. Avant il s'agissait d'annonces dans la presse. Le site Leboncoin est simplement une évolution digitale de cette presse spécialisée. Et plutôt que de décrier cette solution de mise en relation, il faudrait réfléchir à imposer les transactions avec un intermédiaire professionnel. Cela permettrait certes des rentrées fiscales pour l'Etat mais cela sécuriserait également les ventes. En effet, il faut savoir que le nombre de contentieux est nettement plus élevé dans les transactions réalisées entre particuliers et puis les négociations sont moins efficaces et plus faibles. Les particuliers n'osent pas négocier le prix entre eux par contre ils le font volontiers avec un professionnel... »

Rendre obligatoire les intermédiaires immobiliers

Pour le Directeur Général Délégué, il s'agit simplement de s'inspirer de ce qui existe outre-manche et du coté de l'Europe du Nord, où les transactions avec les professionnels sont obligatoires. « Au-delà de tous les aspects positifs pour la profession, il y a un intérêt clair pour le consommateur puisque avec ce système, les honoraires des professionnels baissent. Il n'y a donc aucun surcoût pour le client. En outre l'obligation de passer par un intermédiaire laisse toujours le choix du professionnel. Il faudra dont être parmi les meilleurs pour s'assurer une clientèle. Et là l'avantage est énorme tant pour les particuliers que pour nous professionnels » conclut-il.







Fenêtre Alu

04 décembre 2014

Relancer l’immobilier pour dynamiser l’activité économique

Les principales organisations patronales que sont le MEDEF, la CGPME, etc se mobilisent cette semaine et manifestent contre une politique qui bride l’économie.

Par la voix de son Président, Jean Perrin, l’UNPI partage leur exaspération et souligne que cette crise frappe également de plein fouet les propriétaires privés.
C’est en raison de ce contexte de contrainte dont ils sont les victimes, que les propriétaires réalisent moins de travaux de rénovation dans les logements, moins de commandes, moins d’acquisitions, etc. C’est donc toute la chaîne du logement qui est en panne.

Les propriétaires sont écrasés par une fiscalité lourde et trop de contraintes :
- Augmentation de 21,26 % de la taxe foncière entre 2008 et 2013,
- Complexité des rapports locatifs : loi ALUR,
- Baisse des loyers,
- Augmentation des charges de copropriété (+ 5,7 % en 2013),
- Taxe sur les logements vacants,
- Hausse des droits de mutation,
- Surtaxe des résidences secondaires, etc etc

L’échec patent de la loi ALUR démontre que l’excès de réglementation et de taxation crispe le marché de l’immobilier au lieu de le libérer.
L’effondrement de la construction coûte 0,5 % de croissance à la France.

La conséquence de tout cela entraîne un désintérêt et une perte de confiance des propriétaires. Ils n’investissent plus et réduisent leurs commandes de travaux. Ceci plombe gravement l’activité des entreprises et les carnets de commandes se vident.
Une véritable politique de simplification, de réduction des contraintes et de la fiscalité redonnera confiance aux investisseurs. C’est la condition d’une relance pour permettre aux entreprises de retrouver un niveau acceptable d’activité et donc d’emploi.







ludoexpression.com

27 novembre 2014

Prêt immobilier : zéro frais de dossier pour le Black Friday

Et si le Black Friday s'appliquait au crédit immobilier ? A l'occasion de ces soldes exceptionnelles outre-Atlantique, Bourse des Crédits importe le concept pour en faire bénéficier ses futurs clients franciliens. Du vendredi 28 au dimanche 30 novembre, le courtier offre les frais de dossier pour toute demande de prêt immobilier, déposée sur son site Internet pendant ces trois jours. Une opération inédite en France.

Jusqu'à 1000 euros d'économie

Peu d'acquéreurs le savent mais en passant par un courtier en crédit immobilier, ils n'ont aucun frais bancaire à payer, seulement des frais de courtage. Lors des trois journées exceptionnelles du Black Friday, Bourse des crédits fait économiser jusqu'à 1000 euros à ses futurs clients, en leur offrant les frais de courtage. Une initiative à ce jour inédite dans l'Hexagone.
Pour cela, il suffit de déposer son dossier sur le site BoursedesCredits.com entre le vendredi 28 et le dimanche 30 novembre 2014.
Seule condition pour en bénéficier : avoir signé un compromis et de vente, un contrat de réservation, ou être dans une étape de négociation avancée avec une signature sous 15 jours. L'opération concerne uniquement l'Ile-de-France.

Un code sur les réseaux sociaux

Deuxième et dernière étape : le client devra communiquer le code « BlackFridayImmo », lors de l'appel du conseiller qui aura pris en charge son dossier. En donnant ce code par téléphone l'offre promotionnelle sera validée.
Cette opération sera par ailleurs largement relayée sur les réseaux sociaux de Bourse des Crédits (Facebook et Twitter) avec le hashtag #BlackFridayImmo.

Sur Bourse des Crédits : Fondé en 2012 par des experts issus du monde du courtage, Bourse des Crédits est devenu en moins de deux ans l'un des leaders du courtage en produits financiers, crédits et assurances. Bourse des Crédits s'appuie sur un modèle économique innovant et veut apporter une nouvelle vision du métier de courtier : contrairement à de la simple mise en relation qualifiée entre le particulier et les banques, l'entreprise offre un conseil d'expert, un service de grande qualité et un accompagnement personnalisé jusqu'au décaissement des fonds. Pour ce faire, l'entreprise a notamment conçu un système d'information innovant unique sur le marché. Acteur click and mortar, Bourse des Crédits est présent sur internet, ainsi que dans une «agence à l'étage», située au 12, rue de la Bourse, 75002 Paris.
Bourse des Crédits a été sélectionnée pour représenter la France au G20 des Jeunes Entrepreneurs 2014. L'entreprise fait également partie du top 100 du classement (95e position) des Entreprises d'Avenir 2014, sélectionnées par le magazine et le cabinet EY. www.boursedescredits.com






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La coopération inter-agences a pour objectif de relancer le marché immobilier


Présent dans 97 pays sur tous les continents, avec plus de 6 500 agences et plus de 96 000 agents, RE/MAX a pu expérimenter la coopération inter-agences et ses atouts depuis de nombreuses années à travers le monde. Fort de cette expérience, l'enseigne, implantée depuis quelques mois en France, prône une généralisation de la pratique afin de relancer un marché au ralenti et redorer l'image des professionnels.

Pour l'essentiel des particuliers, la réussite de la vente d'un bien immobilier est déterminée par deux critères : vendre rapidement et au juste prix. Sur un marché français disparate, le principe de la coopération inter-agences semble primordial pour gagner en efficacité et répondre à ces deux problématiques. Fondement de l'activité de RE/MAX, ce fonctionnement mis en place par l'enseigne dans de nombreux pays a permis de faire évoluer les pratiques européennes.

Le principe de coopération implique un travail commun entre l’agent immobilier du vendeur et celui de l’acheteur. Une pratique, dans l'intérêt du client, qui lui permet de n’avoir qu’un seul interlocuteur, un conseiller unique, tout en bénéficiant d’une visibilité très importante pour son bien. La coopération assure, en effet, au vendeur, que tous les agents reçoivent la même information. La finalité étant d'obtenir, en priorité, une vente rapide au meilleur prix.

JUSQU'À 100% DES PARTS DE MARCHÉ EN SUÈDE
Phénomène plus que répandu dans les pays scandinaves, la coopération inter-agences, a permis aux professionnels d'obtenir un statut d'expert reconnu par les particuliers. En Suède, par exemple, 100% du marché est géré par les professionnels de l'immobilier. Les échanges entre agents locaux ont offert la possibilité d'obtenir un gain conséquent en terme de réactivité et performance.
En Finlande, 90% du marché est géré par les professionnels, alors qu'en Allemagne, depuis l'implantation de RE/MAX sur le secteur, en 1997, la part qui leur est réservée est passée de 60 à 70%.

En France, aujourd'hui, le marché est littéralement partagé entre les professionnels, qui détiennent environ 60% des parts et les particuliers. "Ce constat résulte d'un manque d'efficacité des agents immobiliers qui a entrainé une perte de confiance assez importante des particuliers. Ces derniers préfèrent donc tenter l’expérience de la vente ou de l’achat d’un bien sans l’aide d’un expert avec l'idée qu'ils feront aussi bien. La concurrence agressive entre les professionnels, parfois au détriment de l'intérêt du client, a nui à leur image" souligne Thomas Dangin, Master Franchisé RE/MAX France.
A l'image du modèle mis en place dans de nombreux Pays, une amélioration de la coopération inter-agences devrait permettre de mettre un terme à cette fragmentation du marché.
"D'ailleurs, le marché français est de plus en plus ouvert sur le principe de coopération. Force est de constater sa réussite à l’étranger, et l'obligation pour le marché français d’évoluer vers ce type de système collaboratif. D’ailleurs les syndicats prônent cette méthode." précise Thomas Dangin.

UNE QUINZAINE D'ANNÉES POUR S'AJUSTER
RE/MAX France estime à une quinzaine d'années le temps nécessaire pour rattraper un marché comme celui de l'Allemagne. Même si la forte concurrence entre les agences immobilières a toujours existé, la façon de vendre sur le secteur immobilier est en train d'évoluer de manière considérable, poussant les agences à s'adapter et à collaborer davantage.
Chez RE/MAX le délai pour la vente d’un bien immobilier ne dépasse pas 30 jours, en moyenne. La mutualisation des offres provoque, en effet, une augmentation du nombre de vendeurs et d’acquéreurs. De plus, si le bien est proposé à un nombre plus important d’acheteurs, le vendeur pourra alors obtenir un prix de vente supérieur, avec un gain de temps à la clé.

La formation et la mise en place d'outils adéquates semblent indispensables pour appliquer correctement la pratique de coopération inter-agences. "Les agents RE/MAX sont formés selon un modèle très précis qui repose sur la solidarité et la confiance. Ils peuvent utiliser le système des "referrals" (faisant le lien entre les différents acteurs à l'échelle local, nationale ou internationale), qui est encadré informatiquement. Il est utilisé pour partager un contact avec un autre agent, et le cas échéant, cela permet de répartir correctement la commission entre les différents intervenants qui se sont chargés du mandat" explique Thomas Dangin.

UN CONCEPT UNIQUE SUR LE MARCHÉ DE L’IMMOBILIER
RE/MAX, le réseau numéro un des transactions dans le monde est présent dans 97 pays, sur tous les continents, avec plus de 6 500 agences et plus de 96 000 agents. Avec ses enseignes RE/MAX Collection pour l’immobilier de prestige et RE/MAX Commercial pour l’immobilier professionnel, c’est également le premier réseau d’agences immobilières en Europe.
Il a bâti son succès sur un modèle économique unique : un réseau d'agences immobilières regroupant des agents commerciaux indépendants. Ce concept repose sur les qualités de chaque franchisé-manager à constituer et animer son équipe d'agents commerciaux, de les coacher au quotidien, pour optimiser leur travail sur le terrain.

A propos de RE/MAX :
Présent dans 97 pays, RE/MAX est aussi le premier réseau immobilier européen avec 1.550 agences indépendantes. Il s'appuie sur un concept unique : des agences dirigées par des managers et regroupant des agents commerciaux indépendants.
www.remax.fr





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04 novembre 2014

Pouvoir d’achat immobilier : Le gouvernement s’apprête-t-il à lâcher les classes modestes ?

En matière de logement, ce sont les plus modestes qui sont appelés à payer l’addition.
Le projet de loi de finances pour 2015, que les députés s’apprêtent à voter ce mercredi 5 novembre 2014, prévoit la suppression pure et simple du dispositif APL accession, une aide financière versée aux nouveaux acquéreurs les plus modestes qui achètent leur résidence principale.

Des dégâts irréversibles immédiats qui condamneraient les projets d’accession des jeunes générations de primo-accédants modestes.

L’APL accession est pourtant l’outil de loin le plus efficace pour permettre aux primo-accédants aux revenus limités (2 à 2,5 SMIC) d’acquérir leur résidence principale. Les banques spécialisées ne s’y trompent pas, en accordant à cette aide trois fois plus de poids qu’à tous les autres mécanismes d’aide à l’acquisition.

Les modestes condamnés à rester locataire à vie ?

Cette réforme entrainerait une baisse immédiate du pouvoir d’achat immobilier des classes modestes de l’ordre de 20%.

Les conséquences de cette mesure seraient extrêmement lourdes pour les jeunes générations de primo-accédants, qui se verraient donc privées de la possibilité d’acquérir leur toit pendant leur phase active.
Trop modestes aujourd’hui... Trop vieux demain !
Dans un contexte où le financement des retraites est incertain, est-il opportun d’accroître encore la précarité des futurs seniors ?

Une mesure hostile au marché de la construction…

D’après les chiffres du SGFGAS, mathématiquement 15% à 20% des projets d’accession seraient impactés par cette mesure.

Le financement de 15.000 à 25.000 constructions de maisons individuelles par an serait donc remis en cause, à comparer à une production 2014 de l’ordre de 100 000 constructions.

…et contre-productive pour l’économie

Le gouvernement attend d’une telle mesure une économie de l’ordre de 19 millions d’euros en 2015. Un très mauvais calcul, car il n’intègre pas le fait que les ménages concernés resteraient éligibles à une APL location 51% supérieure à l’APL accession.

Cette mesure affecterait nécessairement l’emploi dans le secteur de la construction. 25 000 logements en moins, c’est une perte de 45.000 emplois à redouter dans un secteur qui détruit de l’emploi depuis 2008.

Sans compter que les 25.000 constructions nouvelles qui manqueraient à l’appel se traduiraient par un manque à gagner de TVA pour l’Etat de plus de 400 M€. Elles induiraient également une perte de taxes diverses et droits de mutation pour les collectivités locales à hauteur de plusieurs centaines de millions d’euros.

L’impact économique et social de cette mesure n’a pas été suffisamment pris en compte.

Devant la forte mobilisation des organisations professionnelles réunies ce lundi 3 novembre au ministère du logement, ce dernier a confirmé le principe de l’article 52 du PLF 2015 tout en se montrant ouvert à des propositions permettant de concilier la relance de l’accession sociale et la nécessaire réalisation d’économies budgétaires.

La FFC, qui n’acceptera pas la suppression du mécanisme de l’APL accession, formulera dès ce jour des propositions visant au maintien du seul dispositif qui permet aux ménages modestes d’acquérir un logement neuf de qualité.

http://www.ffcmi.com




coach-nantes.domicilgym.fr

28 octobre 2014

Agence immobilière réunionnaise à Saint-Pierre et Le Tampon

Agence immobilière de la Réunion depuis 1974, Lemerle et Rivière est toujours présent pour donner la satisfaction à ceux qui cherchent ou qui vendent des immobiliers. Cette agence se trouve dans la commune Le Tampon et dans la commune de Saint-Pierre. La vente immobilière est l’une de ses activités tout comme la location et la gestion.

Elle sélectionne les meilleures habitations, les terrains et les locaux pour tous les types de budgets. Toujours  disponible lors du compromis de vente et de la vente finale, le cabinet reste professionnel. Les achats reposent sur ce que cherchent les clients dans les moindres détails (nombre de chambre, espace habitable, jardin, piscine, etc.). Non seulement l’agence cherche le bien du client, mais elle donne aussi des conseils sur la future acquisition. Lemerle et Rivière reste à la disposition des clients jusqu’à la réception ou à la vente de l’immobilier. Elle s’occupe aussi des locations sur l’île de la Réunion. Pour la satisfaction des propriétaires, ce promoteur fait aussi office de gérant locatif. Dans ce cas, il s’occupe de tout : perception des loyers, délivrance des quittances, gestion des réparations. Plusieurs caractéristiques sont proposées afin d’augmenter les chances de trouver ce que veut exactement chaque client.

L’estimation des biens à vendre ou à louer fait partie du travail de l’agence, pour tous propriétaires désireux de l’avoir. Elle donne la valeur vénale d’un bien à vendre. Et rédige les états des lieux, les baux et donne une estimation pour les maisons ou appartements à louer.

L’avantage de cette agence quadragénaire c’est son expérience sur les tendances des clients et les attentes de ceux-ci. Les transactions sont plus faciles, car le cabinet est en partenariat direct avec les notaires, les avocats et les gestionnaires immobiliers. La satisfaction de la clientèle relate sur son âge et sa détermination. Les deux mots suivants résument la méthode de travail de la boite : qualité et proximité.




www.moto-quad.info

17 octobre 2014

Loi ALUR : La CNASIM dénonce en Conseil d'Etat la composition et la parité du CNTGI

La CNASIM, syndicat professionnel représentant les 38 000 Agents Commerciaux de l’immobilier, a déposé, le 26 septembre 2014, auprès du Conseil d’Etat, une requête en annulation de l’arrêté du 28 juillet 2014, portant sur la nomination des membres composant le Conseil National de la Transaction et de la Gestion Immobilières (CNTGI).

La CNASIM, Chambre Nationale Syndicale des Intermédiaires et Mandataires - Agents Commerciaux de l’immobilier, membre de l'Union Nationale des Professions Libérales (UNAPL), est privée de siéger au CNTGI.

Dans le cadre de la loi ALUR (modifiant la loi HOGUET), le 30 juillet 2014, Madame la Ministre Sylvia Pinel met en place le CNTGI, qui doit être un organisme représentatif de la profession immobilière, dont font partie intégrante les 38 000 Agents Commerciaux. La CNASIM a rencontré, à plusieurs reprises, le Ministère du Logement et le Ministère de la Justice et posé, officiellement, sa candidature. Ainsi, le Décret n°2014-843 du 25 juillet 2014, relatif à la composition et au fonctionnement du CNTGI dispose au §1 de son article 1er que le choix des membres doit s'effectuer : "en veillant à assurer la représentativité de la profession, sur proposition d'un syndicat professionnel ou d'une union de syndicats représentatifs".

Or l’arrêté, du 28 juillet 2014, portant nomination des membres composant le CNTGI, nomme, sans égalité de voix, outre le Président (1 siège), des Associations de consommateurs (5 sièges) et, exclusivement, des Représentants des Agents immobiliers (7 sièges : FNAIM 3, SNPI 2, UNIS 2) et pas un seul Représentant des Agents Commerciaux de l’immobilier (CNASIM aucun siège).

Les Agents Commerciaux de l’immobilier sont de vrais professionnels de l’immobilier.

D’ailleurs, à ce titre, la loi ALUR soumet les Agents Commerciaux de l’immobilier à de nouvelles obligations: formation, déontologie, assurances, Responsabilité civile professionnelle, etc.

A ce jour, la CNASIM a été empêchée de représenter les Négociateurs libéraux que sont les Agents Commerciaux au sein du CNTGI.

Alors que les négociateurs salariés de l’immobilier sont représentés au travers des Centrales Syndicales (FO, CFDT, CFE-CGC) lors des négociations de leurs conventions collectives. Les agents immobiliers, et les cocontractants (les clients, les consommateurs), sont présents au travers de leurs représentants au CNTGI.

Les 38 000 Agents Commerciaux de l’immobilier, professionnels négociateurs libéraux et, acteurs incontournables du paysage de la transaction immobilière, sont totalement absents. Et pourtant, ils sont plus nombreux que les Agents immobiliers qui les mandatent afin d’effectuer les missions de prospection et de négociation - 38 000 Agents Commerciaux contre 30 000 Agents immobiliers- qui sont des commerçants.

La CNASIM ne peut pas laisser les Agents immobiliers décider, seuls, de l’avenir des Agents Commerciaux de l’immobilier et devenir un "véritable ordre de l’Immobilier".

Le CNTGI a également pour mission de proposer les personnes : "qui siègent dans la commission de contrôle mentionnée à l’article 13-5 (de la loi HOGUET, modifiée par la loi ALUR)". Cette commission de contrôle ayant la capacité de statuer pour imposer des sanctions disciplinaires, "compte tenu de la gravité des faits reprochés" pouvant aller de "l’avertissement, blâme, interdiction temporaire d’exercer tout ou partie des activités mentionnées à l’article 1, interdiction définitive d’exercer".

Le négociateur immobilier - Agent Commercial pourra, donc, être soumis et sanctionné, sans avoir pu être représenté au préalable. "Mise en place de cette Commission de Contrôle réitérée lors du discours de Mme Sylvia Pinel, le 9 octobre 2014, au congrès de l’UNIS".

Ce que la CNASIM exige :

La CNASIM, Chambre Nationale Syndicale des Intermédiaires et Mandataires - Agents Commerciaux de l’immobilier, par sa requête auprès du Conseil d’Etat, demande l’annulation de l’arrêté du 28 juillet 2014, afin de pouvoir représenter les Agents commerciaux au sein du CNTGI, avec une répartition égalitaire des voix de toutes les parties y siégeant.

Pour la CNASIM il est impensable qu’une profession libérale (les Agents Commerciaux Indépendants de l’immobilier) se voie imposer des règles, voire se faire sanctionner, par une autre profession (les Agents immobiliers), sans être présente et représentée aux débats.

A propos de la CNASIM

Créée, en 2005, la CNASIM a pour objectif la défense des Agents Commerciaux de l’immobilier, professionnels libéraux et entrepreneurs indépendants.

Depuis, fin 2012, la CNASIM, dans le cadre de la loi ALUR, a largement œuvré pour participer à l’élaboration de celle-ci. Elle a eu de nombreux entretiens positifs et constructifs, tant avec les conseillers de Mme Cécile Duflot, que de Mme Sylvia Pinel, particulièrement, en ce qui concerne l’encadrement des professions immobilières.

Plus d'informations : www.cnasim.fr




www.alphabaie.fr

15 octobre 2014

Guide pratique sur les Contrats de syndics

Face à l’inaction des pouvoirs publics, un lot de conseils et un contrat-type au service des copropriétaires

Alors que les décrets d’application de la loi ALUR concernant les contrats de syndic se font toujours cruellement attendre plus de 6 mois après le vote de la Loi,  l’UFC-Que Choisir et l’ARC  passent à l’action afin de permettre aux copropriétaires de bien négocier leur contrat de syndic lors de leur AG 2015. Les deux associations mettent gratuitement à disposition, sur leurs sites internet, un contrat-type et un guide pratique avec des conseils et des outils simples pour mettre efficacement en concurrence les syndics et ainsi assainir leurs pratiques contractuelles et tarifaires.

Faute de décrets définissant la teneur du «contrat type» de syndic, ainsi que la liste limitative des prestations supplémentaires, et le montant plafond des frais dits «privatifs» - les copropriétaires vont continuer - malgré la loi ALUR – à avoir les plus grandes difficultés à faire jouer la concurrence entre syndics et à comparer les différents contrats. En effet, le grand lot de prestations payantes supplémentaires - une trentaine en moyenne - et les faux forfaits «tout compris», rendent pratiquement impossible toute anticipation du montant total réel des honoraires du syndic.

Par exemple, pour une copropriété de 170 lots, un syndicat de copropriétaires a pu retenir un syndic A affichant un forfait annuel de 133 € par lot/an au détriment du syndic B affichant 150 € par lot/an, alors qu’in fine avec le jeu des prestations particulières payantes, il s’est acquitté de 183 € par lot/an (soit 38% d’augmentation) alors qu’à prestations équivalentes le syndic B  avait un tarif annuel de 163 € par lot/an, soit 11 % moins cher.

Cette jungle tarifaire n’a d’égale que la prolifération de clauses abusives dans les contrats de syndics. La dernière étude de «l’Observatoire des syndics» de l’ARC et de l’UFC-Que Choisir en mai 2014 a montré qu’en moyenne 17 clauses abusives/illicites perdurent dans les contrats des gros groupes qui représentent près de 70% du marché.

C’est pour éviter aux copropriétaires ces pièges multiples que l’UFC-Que Choisir et l’ARC diffusent donc un guide pratique gratuit comprenant :
  • des informations et conseils face aux nouvelles obligations légales de la Loi ALUR ;
  • le «contrat type» élaboré par les deux associations après discussion et validation d’un certain nombre de syndics ;
  • des principes directeurs pour les négociations avec les différents syndics.
A la fois pédagogique et concret, ce guide entend être un outil, un cahier des charges à destination des copropriétaires pour qu’ils puissent faire jouer efficacement la concurrence entre syndics et rééquilibrer le rapport de forces entre les syndics et les copropriétés. Au-delà de cette initiative concrète, l’ARC et l’UFC-Que Choisir pressent une nouvelle fois les pouvoirs publics de publier les décrets tant attendus sur les syndics, et, ce, après avoir organisé une véritable consultation des parties prenantes, au-delà du seul Conseil National de la Gestion et de la Transaction immobilière.

Retrouvez le guide pratique sur les contrats de syndics




coach-lacroixfalgarde.domicilgym.fr

Taxes foncières : une hausse de 21 % sur cinq ans, un effort de modération en 2014 !

Le président de l’UNPI, Jean Perrin, vient de présenter à la presse les résultats de l’Observatoire des taxes foncières sur les propriétés bâties, qui porte sur plus de 36.600 communes.

Lors de cette 8ème édition, l’UNPI a montré qu’entre 2008 et 2013, la taxe foncière a augmenté de 21,26 % en moyenne sur le territoire français.

Cette hausse exorbitante est due au cumul de deux augmentations : celle des valeurs locatives, assiette de l’impôt, par la loi de finances (majoration forfaitaire de 9,65 % en cinq ans), et celle des taux d’imposition décidés et votés par les élus locaux (+ 10,65 % en moyenne). Si on inclut la majoration légale des valeurs locatives, les parts départementales de taxe foncière ont augmenté en moyenne de 24,49 % et celles du bloc communal de 18,42 %.

La hausse de la taxe foncière est très supérieure à :
- l’inflation constatée entre 2008 et 2013 (estimée à 5,87 % par l’INSEE) ;
- la hausse des loyers du secteur privé (estimée à environ 7,05 % par l’observatoire Clameur), ou ;
- la hausse des salaires (le smic horaire brut a, par exemple, augmenté de 11,73 % entre 2008 et 2013).

Jean Perrin dénonce à nouveau le dérapage insupportable de la taxe foncière. Celle-ci pèse de plus en plus lourd sur le budget des ménages, allant jusqu’à représenter plusieurs mois de loyer, de salaire, ou de retraite. Toutefois, les premières tendances pour 2014 traduisent un effort de modération des départements comme des communes (en particulier, 13 départements ont augmenté leurs taux en 2014, contre 36 en 2013).

Par ses alertes et ses actions de lobbying, au niveau national comme au niveau local, l’UNPI, qui n’a cessé de mettre en garde contre une fiscalité trop pesante, a sans doute contribué à cette prise de conscience. Espérons pour tous que cela continuera.




oxya-nettoyage.com

01 octobre 2014

L’UFC-Que Choisir lance la première action de groupe… contre FONCIA GROUPE

44 millions d’euros doivent être reversés aux locataires

Aujourd’hui 1er octobre, date d’entrée en vigueur de l’action de groupe en France, l’UFC-Que Choisir assigne devant le Tribunal de Grande Instance de Nanterre FONCIA pour obtenir l’indemnisation des 318 000 locataires ayant payé indûment son «service d’avis d’échéance».

En parfaite violation de la Loi du 6 juillet 1989 sur les rapports locatifs qui prévoit l’interdiction de faire supporter au locataire des frais de relance ou d’expédition de la quittance, le groupe FONCIA a facturé à ses locataires un «service d’avis d’échéance» à 2,30€/mois. Cette pratique illicite occasionnant un préjudice annuel de 27,6 euros par locataire s’est étalée sur de nombreuses années, soit un préjudice individuel total pouvant atteindre plusieurs centaines d’euros et un bénéfice frauduleux pour le GROUPE FONCIA de plus de 40 millions d’euros sur les 5 dernières années.

Après avoir fait condamner en décembre 2013 (1) le groupe FONCIA par le TGI de Paris pour différents frais de location indus dont ce service d’avis d’échéance, l’UFC-Que Choisir lance donc aujourd’hui la première action de groupe pour obtenir l’indemnisation des centaines de milliers de locataires victimes de cette violation manifeste de la loi de 1989 sur le logement.

Portant sur un poste de dépense contrainte, et soulignant le décalage entre la «modestie» du préjudice individuel des victimes et l’ampleur du bénéfice frauduleux retiré d’une pratique illicite, cette première procédure collective est la parfaite illustration de l’utilité de l’action de groupe à la française, réclamée durant des décennies par l’UFC-Que Choisir.

En attendant le jugement devant ouvrir la voie à la réparation effective du préjudice subi par les victimes concernées, l’UFC-Que Choisir, soucieuse d’obtenir l’indemnisation du plus grand nombre, invite les locataires de FONCIA sur la période 2009-2014 à conserver précieusement leurs quittances et tout document démontrant qu’ils se sont acquitté du «service d’avis d’échéance» indu, justificatifs indispensables à leur indemnisation.

De même, afin de répondre aux principales questions que pourraient se poser les consommateurs, l’association a édité une foire aux questions au sujet de cette action de groupe.

(1) Jugement pendant devant la Cour d’Appel de Paris étant entendu que l’appel ne porte pas sur le service d’avis d’échéance, FONCIA ayant annoncé avoir fait cesser la pratique au 2ème trimestre 2014.




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26 septembre 2014

Un nouveau système d’information au cœur de la stratégie immobilière de SCOR Global Investments

SCOR Global Investments, accompagné par le cabinet de conseil Artimon, a choisi de s’équiper de la solution GlobalAsset de Taliance : une plateforme d’analyses et de projections financières pour la gestion d’actifs immobiliers.

SCOR Global Investments (« SGI ») gère le portefeuille d’investissement d’entités du Groupe SCOR, cinquième réassureur mondial, qui représente plus de 15 milliards d’euros d’actifs.

Plusieurs facteurs ont amené SGI à revoir son système d’information de gestion des fonds immobiliers : d’une part, la volonté d’avoir une solution efficace pour répondre aux exigences de reporting des nouvelles réglementations telles que AIFMD ou encore Solvency II, d’autre part, l’objectif d’optimiser les processus d’investissement et de gestion des risques immobiliers dans le cadre de la politique de qualité très rigoureuse du groupe SCOR.

Marie-Elisabeth du CHAYLA – SCOR Global Investments
« Nous avons consulté un certain nombre d’éditeurs de logiciels, Taliance offrait la solution la mieux adaptée à notre métier. Nous avons été convaincus par leur plateforme GlobalAsset qui permet de centraliser les données immobilières et de bénéficier de la complémentarité des logiciels FinAsset et GlobalFund afin de générer des prévisions et analyses financières détaillées en temps réel » souligne Marie-Elisabeth du CHAYLA, Finance & Administration Manager au sein du département Immobilier de SGI.

Aujourd’hui, l’ensemble des fonds immobiliers de SGI ont été modélisés avec succès. Les équipes de gestion d’actifs peuvent ainsi automatiser les calculs d’analyse et de simulation de la performance des véhicules d’investissement au niveau de chaque actif, du portefeuille ou du fonds. Ces résultats sont utilisés afin d’optimiser et d’accélérer les processus de gestion, de prévision et d’arbitrage pour plus d’efficacité dans chacune des étapes de prise de décision, notamment dans le cadre du comité d’investissement.

« Cette automatisation des processus métiers a été possible grâce à la mise en place préalable d’un datawarehouse et de l’environnement de synchronisation des données de Taliance. Nous sommes ainsi capables d’agréger les informations de back-office provenant de sources multiples, de les centraliser et de les mettre à disposition des services de front-office en temps réel » affirme Laurent GUERAUD, Global SGI IT Manager.

« Grâce à ces évolutions, nous sommes en ordre de marche pour nous conformer aux nouvelles réglementations. Nous sommes en effet capables, grâce à la solution Taliance, d’extraire l’ensemble des informations nécessaires aux reportings réglementaires et d’en assurer la traçabilité » ajoute Marie-Elisabeth du CHAYLA. La société Artimon a accompagné SGI dans l’assistance à maîtrise d’ouvrage et la gestion de projet, en collaboration avec les équipes de Taliance.

« Au-delà de l’aspect technique, ce projet a été l’occasion de mener une réflexion plus globale sur les besoins des sociétés de gestion, leur métier, les processus internes à mettre en place mais également de poser les premiers jalons pour le développement de processus transversaux nécessaires à une meilleure intégration dans le groupe » déclare Laurent SAGLIETTO, Manager d’Artimon.

À propos de Taliance :
Taliance (www.taliance.com) est l’éditeur de la première plateforme d’analyse financière développée tout particulièrement à destination des professionnels de l’immobilier et du marché de l’investissement alternatif. La plateforme de l’entreprise met à disposition des services de prévision, d’analyse et de modélisation financière, ainsi que toute autre interaction dynamique entre le front-office et le middle-office en temps réel. Au total, ce sont 200 milliards de dollars d’actifs qui sont gérés avec ces solutions. Plus de 100 clients ont fait appel à Taliance afin d’optimiser les performances de leurs portefeuilles d’investissements alternatifs internationaux dans plus d’une 15aine de pays. Parmi nos clients, nous pouvons citer AXA REIM, BNP Paribas REIM, Grosvenor, Canada Life, Hammerson, HSBC REIM, Generali Real Estate, Harrison Street, SCOR Global Investments, ou encore, Cordea Savills. Outre son siège social à Paris, la société Taliance est présente à Londres.

A propos de SCOR Global Investments :
SCOR Global Investments (« SGI ») est la société de gestion de portefeuille du groupe SCOR créée en 2008. Régulée depuis mai 2009 par l’Autorité des marchés financiers (« AMF »), SGI fournit une gamme de services de gestion de portefeuille aux entités de SCOR et à des clients institutionnels. SGI est composée d’une soixantaine d’experts disposant de compétences diverses. Fort d’une expertise importante en termes de classes d’actifs et de zones géographiques couvertes, SGI est spécialisé dans différents domaines : taux, crédit, actions et multigestion, immobilier, infrastructure et insurance-linked securities.

À propos d’Artimon :
Artimon est un cabinet de conseil en management et organisation indépendant. Nos équipes fondent leurs interventions sur la mise en cohérence des différents leviers de performance : stratégie, organisation des fonctions et processus, systèmes d’information, mode de management et dispositifs de pilotage. Depuis 1995, Artimon a réalisé plus de 650 missions chez près de 150 clients, dont un tiers de son activité dans le secteur immobilier. Nos consultants allient l’expertise des projets de transformation et des savoir-faire métiers développés sur nos domaines d’excellence : Immobilier mais aussi Finance et Gestion, Médias, Transports, Assurance et Santé, Secteur Public, Achats et Logistique, RH et Conduite du Changement, Efficacité commerciale, Systèmes d’Information.




www.moto-quad.info

24 septembre 2014

Cautionnement bancaire immobilier : Des pratiques sujettes à caution

A la veille des premiers jugements relatifs à l’assurance emprunteur, l’UFC-Que Choisir dénonce ce jour un nouveau scandale bancaire sur un autre marché lié au crédit immobilier : le cautionnement. Face aux graves dysfonctionnements concurrentiels, l’association saisit l’Autorité de la Concurrence et appelle le Législateur à l’action.

Le cautionnement bancaire : un marché créé et trusté par les banques

Le cautionnement est devenu depuis 10 ans la première des garanties (56% des garanties en 2012), avant l’hypothèque et le privilège du prêteur de deniers, exigées par les banques pour accorder un crédit à leurs clients. Or, non seulement les banques dirigent les clients vers le cautionnement, mais pire, elles imposent leur(s) organismes(s) de cautionnement aux clients emprunteurs. Le choix se limite ainsi, au mieux, entre la filiale possédée en commun par les banques, le Crédit logement, et la filiale exclusive de la banque, dite « captive »(1) ! Conséquences : outre un marché tenu à 95% par les banques, cette pratique de concurrence en silo empêche les clients de tirer parti du grand écart tarifaire constaté entre organismes : par exemple, la caution CMH du Crédit Mutuel est 2,5 fois moins chère que celle de la CAMCA du Crédit Agricole.

Jusqu’à 45% de marges accaparées par les banques

Cette concurrence sclérosée aboutit à des marges extrêmement importantes. Chez les « captives », la rentabilité déjà élevée (environ 20% de bénéfices nets) s’accompagne d’un commissionnement des « partenaires » bancaires (20% supplémentaires), disproportionné dès lors que le travail du conseiller se limite à quelques clics. Plus grave, le Crédit Logement, lui, mutualise les pertes et privatise les bénéfices, ce qui lui permet d’afficher une rentabilité nette de près de 45%. L’argent des clients déposés dans son Fonds Mutuel de Garantie paie l’intégralité des défauts, mais les intérêts de ce Fonds très riche (3,9 milliards d’euros en 2013), au lieu de compenser les pertes, sont conservés par le Crédit Logement. Autant d’argent qui ne revient pas aux clients en fin de crédit, conservés par les actionnaires banquiers, qui récupèrent, eux 95% des bénéfices.

Plus de 200 millions de pouvoir d’achat économisable

Juteux pour les banques, les errements du cautionnement bancaire pénalisent fortement les consommateurs. Sur ce marché de 520 millions d’euros par an, l’instauration d’une véritable concurrence permettrait, simplement en allant vers l’acteur actuellement le moins cher, de dégager, 210 millions d’euros par an, soit une réduction de près de 41% de la facture globale… et 560€ d’économies par dossier de crédit. En poussant plus loin la concurrence et en réduisant les marges, l’économie réalisable passerait à 270 millions d’euros par an en moyenne.

Décidée à assainir le marché et dynamiser effectivement la concurrence au service des consommateurs, l’UFC-Que Choisir passe à l’action et:

Saisit, pour avis, l’Autorité de la Concurrence
Demande au Législateur :

- l’officialisation d’une liberté effective de choix pour les consommateurs de leur organisme de cautionnement bancaire

- la réintégration des intérêts produits par les Fonds Mutuels de Garantie, l’automaticité du reversement et la transparence du mode de calcul de ce reversement.

Retrouvez l'étude et les propositions de l'UFC-Que Choisir sur le thème "Cautionnement bancaire immobilier : des pratiques sujettes à caution"

(1) CEGC pour la Caisse d’Epargne, CMH pour le Crédit Mutuel, CAMCA pour le Crédit Agricole…




www.fontemour.com

23 septembre 2014

EUROPE ASSET crée l'événement au Salon Patrimonia

Les 25 et 26 septembre 2014, EUROPE ASSET présentera en exclusivité au Salon Patrimonia, sur son stand E54, trois nouvelles solutions innovantes de placement financier :

EUROPE ASSET PATRIMOINE : un fond accessible à tous dans les contrats d'assurance et comptes titres, offrant une forte protection du capital avec un objectif de performance de 7%* net par an.
EUROPE ASSET PREMIUM : un certificat d'investissement immobilier, coté en bourse, ayant un objectif de rentabilité de 8,75%* net par an.
EUROPE ASSET ACCES : un certificat d'investissement de trésorerie, coté en bourse, ayant un objectif de rentabilité de plus de 10%* net par an.
EUROPE ASSET lancera le CLUB EUROPE ASSET destiné à faciliter le business des professionnels du patrimoine et à les faire entrer dans l'ère du numérique 2.0.

EUROPE ASSET animera un Atelier sur le thème "la classe d'actif des devises au service de la gestion alternative" le vendredi 26 septembre à 14h.

* Ceci est un objectif de rendement et ne représente en aucun cas une garantie de performance.

A propos

EUROPE ASSET est un créateur de services dédiés aux CGP, courtiers et CIF et un créateur de solutions de diversification du patrimoine des investisseurs :

Fonds Europe Asset Patrimoine : ISIN n° LU1075236775
Certificat d'investissement Europe Asset Premium* : ISIN n° DE000A1ZLJ26
Certificat d'investissement Europe Asset Access* : ISIN n° DE000A1ZLCV2
* ces deux certificats s'adressent exclusivement aux Prestataires de Services d'Investissement (PSI) gestionnaire pour compte de tiers.

EUROPE ASSET est implanté en France, Allemagne, Suisse, Belgique, Luxembourg, Autriche... A découvrir sur www.europe-asset.com.

EUROPE ASSET sera présent au salon Patrimonia les 25 et 26 septembre à Lyon (stand E54) et animera un atelier sur "la classe d'actifs des devises au service de la gestion alternative".




oxya-nettoyage.com

Les propositions de l’UNPI pour une politique de sortie de crise du logement

L’UNPI qui s’est réunie à Tarbes le 19 septembre pour son 102ème Congrès en présence des représentants des propriétaires de l’ensemble de la France, présente ses propositions pour restaurer la confiance des investisseurs.

Par la voix de son président Jean PERRIN, la Fédération souhaite alerter les pouvoirs publics sur les axes suivants :

- Réglementation des loyers
Indépendamment de sa complexité caricaturale, le corset législatif mis en place par la loi Alur du 24 mars 2014 est inutile, car la tendance est à la baisse des loyers. Dans ces conditions, la réglementation des loyers mise en place par la loi Alur peut être supprimée sans difficulté, d’autant plus qu’un décret encadre toujours l’évolution des loyers, en plafonnant pour l’essentiel la hausse à la variation de l’indice, dans 28 agglomérations.
Proposition n°1 : supprimer la réglementation des loyers de la loi Alur

- Rapports locatifs
Ils se caractérisent en France par une très grande complexité et un déséquilibre flagrant des règles applicables aux bailleurs et aux locataires. Est-il vraiment nécessaire que ce droit soit minutieusement réglementé dans ses moindres détails, que le chèque de réservation soit interdit, que deux nouveaux diagnostics soient créés (amiante, électricité) par la loi Alur en plus de ceux existants déjà (DPE, plomb, état des risques naturels et technologiques), que des contrats type soient imposés, ou que les règles pour les locations meublées soient considérablement durcies alors qu’à l’évidence ce type de location doit répondre à un minimum de souplesse… ? Est-il vraiment équitable d’interdire toute clause pénale en cas de retard de paiement du loyer, alors que parallèlement le bailleur est fortement sanctionné en cas de retard dans la restitution du dépôt de garantie (10 % du loyer mensuel pour chaque période mensuelle commencée en retard) ? Est-il légitime de faire supporter aux bailleurs privés le poids de la solidarité nationale, en refusant dans de nombreux cas d’exécuter les décisions judiciaires d’expulsion ?
Proposition n°2 : réformer, équilibrer et simplifier les rapports locatifs

- Copropriété
Sous le prétexte de mieux informer les acheteurs, la loi Alur (article 54) a rendu extrêmement complexe la signature des promesses de vente en multipliant le nombre des documents à fournir à l’acquéreur. Compte tenu de la sanction très grave pour les notaires (le délai de rétractation ne court pas si tous les documents ne sont pas fournis), de nombreuses transactions sont actuellement arrêtées, les parties étant dans l’incapacité de signer un avant-contrat dans un délai raisonnable.
Proposition n°3 : simplifier le droit applicable aux transactions de lots de copropriété, pour donner à nouveau une fluidité au marché

- Baux commerciaux
La loi Pinel du 18 juin 2014 instaure un « plafonnement du déplafonnement », en limitant à 10 % par an les augmentations en cas de déplafonnement du loyer (déjà sévèrement contrôlé par le juge). Or, ces hausses peuvent être importantes car, dans ce cas, le loyer est considérablement sous-évalué depuis de nombreuses années. Les nouvelles règles vont générer des rentes de situation au profit des locataires en place, au détriment de ceux qui cherchent à installer une nouvelle activité et qui devront payer leur droit au bail plus cher.
Par ailleurs, la loi Pinel bouleverse l’équilibre économique des contrats en cours en changeant la liste des charges et impôts qui ne peuvent être imputés aux locataires.
Proposition n°4 : supprimer le « plafonnement du déplafonnement » et limiter les nouvelles règles relatives aux charges et impôts aux nouveaux baux hors renouvellement

- Fiscalité
En matière de fiscalité, une proposition choc s’impose pour relancer un secteur immobilier locatif sinistré; elle peut concerner l’ISF, les droits de succession, les taxes foncières…
La pression fiscale sur le parc existant doit baisser.
Proposition n°5 : exonérer d’ISF et de droits de succession les logements neufs ou anciens loués à un tiers

Jean PERRIN considère que des mesures d’urgence sont indispensables pour relancer un secteur clé pour l’économie de notre pays. Les préoccupations des propriétaires sont fortes tout comme leurs attentes pour retrouver la confiance perdue. La complexité des règles et leur caractère déséquilibré sont une cause majeure de découragement. Il faut y remédier pour permettre un redémarrage du secteur locatif privé.

L’UNPI, est une Fédération nationale, présidée par Jean Perrin, seule représentante des propriétaires immobiliers privés dont elle défend les intérêts. Elle œuvre pour la promotion du droit de propriété face à une législation virulente et une fiscalité écrasante. Interlocuteur connu, reconnu et écouté, l’UNPI rassemble 250 000 adhérents, à travers son réseau de 120 chambres syndicales de propriétaires, présentes sur l’ensemble du territoire.

www.unpi.org




www.domaine-de-marseillens.com

17 septembre 2014

Honoraires de location : Les locataires font les frais du lobby des professionnels !

Alors que l’encadrement des loyers et la GUL passent à la trappe, que les décrets sur les syndics se font toujours cruellement attendre, l’UFC-Que Choisir dénonce aujourd’hui l’entrée en vigueur, ce jour, d’un décret qui vide grandement de sa substance un autre volet de la Loi ALUR : les frais d’agences en matière de location. Ce décret, qui fixe les montants maximum - en euros et par m2- des « frais d’agence » dus par le locataire fait s’envoler l’objectif ambitieux énoncé par le Législateur de « diviser les frais au moins par deux ».

En effet, selon notre étude de 500 annonces actuelles d’agences immobilières(1) , les plafonds retenus incluant l’état des lieux (désormais payant !) - 15€/m2 bassin parisien, 13 pour les autres grandes agglomérations et 11 dans le reste du territoire - sont, au mieux, une avancée économique relative, et, au pire, un total reniement de baisser les frais d’agences.

Le plafond de 15 € pour le bassin parisien ne permettra de faire baisser le prix de moitié qu’à Paris, et encore pas pour toutes les surfaces. Dans les autres agglomérations c’est encore pire : les plafonds sont supérieurs aux prix actuellement pratiqués. Ainsi, une agence qui met à bail un logement de 30 m² à Aix-en-Provence facture 374 € au locataire, soit 12,3 € /m2, moins que les 13 euros du décret. De même, à Dijon, pour un 20m2, le montant actuel de 10€/m2 est aussi en deçà des 11 euros. Avec des plafonds supérieurs à la réalité du marché, il existe donc un vrai risque inflationniste pour les zones tendues et détendues.

Après les victoires judiciaires de l’association ayant fait condamner pour pratiques illicites des agences immobilières ayant facturé des honoraires de location prohibitifs (environ un mois de loyer), le décret « frais d’agences » transforme donc le succès législatif de la loi ALUR d’encadrer strictement ces honoraires, obtenu de haute lutte, en victoire à la Pyrrhus.

La déception des consommateurs est donc aujourd’hui à la hauteur de l’attente : forte. Faut-il à nouveau rappeler que l’essentiel des services des agences immobilières servent les intérêts du seul bailleur qui les mandate? Le blanc-seing donné au décret, durant l’été, par le conseil national de la gestion et de la transaction immobilière (CNGTI) n’est guère étonnant dans la mesure où cette instance est majoritairement composée de professionnels, qui ne cessent de combattre les avancées de la loi ALUR. En vue de diviser par deux les honoraires, il aurait fallu maintenir les plafonds de 12, 8 et 4 euros évoqués dans un premier temps par le Ministère.

Au vu de ces éléments, et soucieuse de garantir l’effectivité d’une Loi qu’elle a soutenue et saluée, l’UFC-Que Choisir demande aujourd’hui au gouvernement:

de réviser rapidement, après une étude exhaustive du marché, les plafonds du décret pour respecter la volonté du Législateur d’une division par deux des frais d’agence des locataires.
d’ouvrir une consultation large, au-delà du CNGTI, sur les futurs décrets d’application de la loi ALUR qui se font encore attendre.


(1) Prix pratiqué par les agents immobiliers sur la base de 500 références (annonces immobilières) représentatives de chacune des zones concernées par le décret.




www.ifts-sls.com

10 septembre 2014

Covéa Immobilier signe la charte Plan Bâtiment Durable

Covéa Immobilier a signé la charte Plan Bâtiment Durable pour l'efficacité énergétique des batiments tertiaires publics et privés et du bien-être des utilisateurs de ses locaux

Cette signature s’inscrit dans le cadre d’une démarche ambitieuse d’amélioration de la performance énergétique et environnemental du parc immobilier entreprise par Covéa depuis de nombreuses années.

Déjà en 2011 Covéa Immobilier avait réalisé la cartographie énergétique du patrimoine immobilier de placement tertiaire et résidentiel, soit plus de 620 000m² qui ont fait l’objet d’un audit énergétique et préconisations de travaux.

Depuis, l’engagement de Covéa Immobilier en matière environnementale s’est traduit notamment par de nombreuses initiatives de :

Rénovations :

A Paris, 3 rue Meyerbeer (1 300 m² – label BBC), 12 rue Magellan (1 500 m² certifié BREAM), et 24 rue de Prony (4 000 m² – certifié HQE et BREAM),
à Saran (10 000 m² – projet de labellisation BBC et ISO 50001)
à Strasbourg, l’immeuble du Wacken (12 000 m² – label BBC).
Construction : bâtiment HQE, BBC et BEPOS de 5 000m² à Niort (79)
Trois grands projets de restructuration sont également en cours de programmation à Paris. Ils viseront des certifications HQE et BREAM de haut niveau.

« Conscients des enjeux du développement durable pour l’immobilier d’aujourd’hui et de demain, nous témoignons ainsi de notre engagement en faveur de la réduction des consommations d’énergie sur les immeubles de notre parc. La signature de cette charte contribue au projet d’entreprise responsable porté par le groupe Covéa », souligne Loïc Lecallo, directeur de Covéa Immobilier.

Chiffres clés de Covéa Immobilier :

Créé en janvier 2011, Covéa Immobilier mutualise les moyens et savoir-faire des trois enseignes MAAF, MMA et GMF dans le domaine de la gestion des immeubles de placement ou les immeubles d’exploitation.

A fin 2013, le patrimoine d’immeuble de placement détenu par le groupe Covéa est composé de 239 immeubles représentant 726 000 m². La gestion des immeubles de placement est réalisée sur l’ensemble du territoire français dont 98 % des surfaces sont situées à Paris et région Parisienne. Covéa Immobilier gère également les différents sièges sociaux et les sites en région de MAAF, MMA, GMF et les agences commerciales des enseignes MAAF et GMF. Plus de 1000 sites d’exploitation sont ainsi gérés par Covéa Immobilier.

Covéa Immobilier regroupe 330 collaborateurs.




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23 juillet 2014

Dr House Immo : Une campagne de recrutement attractive et efficace

Dr House Immo gagne du terrain et bénéficie d’une notoriété grandissante dans le paysage des réseaux immobiliers. Le réseau compte aujourd’hui 82 mandataires et vise les 150 agents à échéance 2015.

Une campagne de recrutement sous forme de jeu concours

Pour marquer le lancement du site Internet dédié au recrutement, Dr House Immo a décidé de booster son recrutement en réalisant une campagne sous forme de jeu concours. «Nous avons réalisé une grande campagne e-mailing relayée sur notre nouveau site. Le principe était simple : il suffisait de s’inscrire via le site : recrutement.drhouse-immo.com. A la clé, un an de pack offert pour la personne tirée au sort » explique Stéphane Escobossa, le directeur général. .

Une initiative réussie puisque le réseau a enregistré une centaine de participation transformée en une dizaine de rendez-vous. Aujourd’hui, le réseau compte 7 nouveaux mandataires issus de cette campagne.

Dr House Immo intensifie sa présence sur la région parisienne

Avec l’ouverture récente de deux agences à Paris, dans les 17ème et 18ème arrondissements et l’arrivée de 7 nouveaux mandataires, le réseau Dr House Immo est aujourd’hui bien implanté sur la région parisienne. « Notre réseau compte des mandataires mais aussi des agences locales ce qui permet à tous de travailler en synergie complétée » souligne le directeur général.

Une stratégie de développement qualitatif

La tête de réseau souhaite connaître un développement mesuré, « avec des profils expérimentés ayant déjà fait de l’immobilier. L’objectif de Dr House Immo est de monter une équipe d’experts, de docteurs en immobilier, pouvant générer un chiffre d’affaires important ». A la différence des autres réseaux, ils ne cherchent pas à recruter à tout prix et en quantité.

Créé en 2013, Dr House Immo est le seul réseau coopératif national composé de spécialistes en immobilier. L’enseigne se démarque par un positionnement différenciant et original. Comme un médecin pour ses patients, la priorité des conseillers Dr House Immo est avant tout d’offrir une qualité de service irréprochable et de répondre aux attentes de leurs clients.




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Europe Asset lance une solution immobilière « innovante » concurrente des SCPI et OPCI

EUROPE ASSET s’allie avec Median Trust SA, la société de titrisation de droit Luxembourgeois supervisée par la CSSF, pour lancer la solution immobilière EUROPE ASSET PREMIUM, qui s’appuie sur le principe du démembrement de propriété et sur une gestion dynamique des liquidités. EUROPE ASSET innove avec cette obligation cotée en bourse qui donne droit, en plus du versement d’un intérêt, à un usufruit financier temporaire (30 ans) ou viager, continuant même après l’échéance de l’obligation.

“Avec Median Trust SA, nous bénéficions du savoir faire d’une équipe d’ingénieurs financiers spécialisés sur les solutions immobilières”, précise Georges Aroles, fondateur d’EUROPE ASSET.

Une solution mutualisée sur des biens immobiliers de prestige

La solution EUROPE ASSET PREMIUM* est une obligation privée d’Europe Asset cotée sur la Bourse de Luxembourg. Sa stratégie repose essentiellement sur le principe d’achats en démembrement de propriétés prestigieuses en Europe. « C’est une solution unique qui offre des avantages considérables par rapport aux autres structures d’investissements immobiliers tels que les SCPI et OPCI, grâce à l’emplacement unique des immeubles achetés et à sa cotation en bourse, source de visibilité et de liquidité plus importante. De plus, cette solution comporte une innovation financière unique avec l’obtention d’un revenu complémentaire décorrélé pendant au minimum 30 ans » affirme d’emblée Rémi Lalagüe, directeur commercial de Median Trust SA.

Une solution « haute rentabilité »

La solution EUROPE ASSET PREMIUM permet de capitaliser sur un levier démultiplicateur (grâce au démembrement de propriété et à la gestion dynamique des liquidités) pour obtenir un objectif de rendement net de frais de 8,75% par an sur un horizon d’investissement recommandé de 10 ans.

Une solution « à risque limité et maîtrisé »

La solution EUROPE ASSET PREMIUM affiche un risque limité car l’essentiel du capital est positionné sur le marché immobilier de grand standing. « Ce risque est également maîtrisé par la faible volatilité et l’encadrement de la gestion des liquidités. », précise Rémi Lalagüe.

Une solution avec « usufruit financier temporaire ou viager »

Même si l’investisseur rachète ses parts avant la durée recommandée, il va continuer de recevoir une rémunération pouvant aller jusqu’à 3% du montant de son investissement par an. « Ce bonus correspond à l’acquisition d’un droit d’usufruit temporaire du certificat La Financière Rochambeau. Ce revenu est directement lié aux bénéfices générés par nos fonds propres », conclut Rémi Lalagüe.

*EUROPE ASSET PREMIUM s’adresse exclusivement aux Prestataires de Services d’Investissement (PSI) gestionnaires pour compte de tiers.

Europe Asset sera présent au salon Patrimonia les 25 et 26 septembre à Lyon (stand E54) et animera un atelier sur « les devises comme classe d’actifs au sein de la gestion alternative ».

A propos

EUROPE ASSET est un créateur de services dédiés aux CGP, courtiers et CIF et un créateur de solutions de placements agréés pour les investisseurs :
Fonds Europe Asset Patrimoine : ISIN n° LU1075236775
Certificat d’investissement Europe Asset Premium : ISIN n° DE000A1LZJ26 (s’adresse exlusivement aux prestataires de services d’investissement)
Certificat d’investissement Europe Asset Access : ISIN n° DE000A1LZCV2 (s’adresse exlusivement aux prestataires de services d’investissement)

EUROPE ASSET est présent en France, Allemagne, Suisse, Belgique, Luxembourg, Autriche… www.europe-asset.com.




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