31 août 2012

AVIS-Immobilier cultive l’innovation !

AVIS-ImmobilierEn quoi votre concept est-il adapté au contexte économique actuel ?

Créé en 1957, AVIS Immobilier a été le premier réseau immobilier à se développer en franchise. En 2009, nous avons opéré un tournant : historiquement centrés sur l'achat de biens immobiliers anciens, nous avons entamé une diversification vers le neuf, la location et la gestion locative. Un an plus tard, nous avons pris un nouveau virage en créant un concept d'agence innovant. Sur le principe d'un forum de l'immobilier, nous avons réorganisé l'espace intérieur de l'agence. Notre parti pris est d'ouvrir l'agence, par une redistribution de l'espace au profit de la mise en valeur des biens de nos clients, avec un positionnement résolument qualitatif. De plus, l'innovation dans l'agence physique et l'agence virtuelle vont de pair. Aujourd'hui, près de 75 % des contacts d'une agence proviennent d'Internet : face à ce constat, nous avons développé une application iPhone, disponible également sur iPad, et chacun de nos franchisés dispose de son propre site web afin d'optimiser le référencement. Il nous paraît incontournable de renforcer la synergie entre les points de vente et Internet, contrairement aux réseaux de mandataires notamment, qui se développent uniquement sur le web. En effet, dans tous les secteurs d'activités, les « pure players » commencent à ouvrir des points de vente. Nous sommes convaincus de la nécessité d'Internet pour être en phase avec nos clients, mais également de l'importance d'agences physiques, qui incarnent l'expertise des agents immobiliers et répondent au besoin de proximité de nos clients.

Quelles sont les clés pour réussir dans votre secteur en tant que chef d'entreprise franchisé ?

Le franchisé est avant tout un commerçant, au contact de ses clients. Véritablement opérationnel, il a également toutes les qualités d'un manager. Le profil d'un multi-franchisé est un peu différent : il doit passer du savoir-faire au faire-faire, tout en restant un meneur d'hommes puisque chaque agence compte quatre employés en moyenne. Aujourd'hui plus d'un tiers de nos franchisés gère deux agences ou plus, ce qui est pour nous une mesure de satisfaction, en termes de performance du concept et de fidélité de nos franchisés. Un facteur clé de succès nous semble incontournable : le franchisé connaît le métier, le pratique et a été formé pour. Tous les franchisés du réseau Avis Immobilier sont porteurs de la carte professionnelle, imposée par la loi Hoguet pour l'exercice du métier d'agent immobilier. C'est un gage de qualité et de professionnalisme pour les clients.

Les franchisés AVIS-Immobilier : agents et experts

Nous avons mis en place un dispositif de formation certifiée en expertise immobilière pour tous nos franchisés. Cette formation, alliant théorie et pratique sur le terrain, leur permet de réaliser des expertises techniques des biens immobiliers, complétant leur maîtrise du marché local. Au sein de nos agences, cela se traduit par la remise d'un rapport d'expertise détaillé et par une mention « Bien Expertisé » sur chaque annonce concernée, qui garantit au client le juste prix du bien.

Comment voyez-vous l'évolution de votre secteur dans les prochaines années ?

Le secteur de l'immobilier est particulièrement dépendant de la conjoncture économique. Depuis quatre ans, le marché subit une crise forte, et l'année 2012 s'avère difficile, notamment suite à l'arrêt du prêt à taux zéro (PTZ) sur l'ancien, couplé à la suppression des mesures de défiscalisation comme la loi Scellier, qui pèse sur le marché du neuf. Force est de constater que les prix des biens sont élevés, ils ont doublé entre 1998 et 2008 ; la solvabilité des ménages n'a pas suivi, malgré l'allongement de la durée des prêts et des taux historiquement bas. Il y a aujourd'hui une évidente déconnexion entre la valeur intrinsèque des biens et leur prix de vente généralement constaté sur le marché. Dans ce contexte, il est difficile de prévoir l'évolution du marché, mais je reste dubitatif quant à une baisse significative des prix. La France est en déficit structurel en termes d'offre de logements : nous ne construisons pas assez par rapport à une demande qui reste élevée, poussée par la démographie naturelle et des phénomènes sociétaux (croissance continue du taux de divorce, multiplication des familles monoparentales, location d'un deuxième logement pour le conjoint travaillant à distance du foyer familial). Cependant, si le volume des ventes affichera vraisemblablement un net recul cette année, le marché locatif est prospère et devrait le rester.

Bilan de l'année écoulée pour votre enseigne et perspectives de développement ?

Le réseau AVIS Immobilier compte 107 franchisés et 158 agences. Nous sommes principalement présents sur l'arc Atlantique, en région parisienne, à Lyon (69) et Toulouse (31). Nous souhaitons poursuivre notre développement dans le Grand Ouest, mais aussi en Normandie, en Aquitaine, en Rhône-Alpes, en Poitou-Charentes ou encore en Midi-Pyrénées. Nous avons récemment ouvert une agence à Carnac, dans le Morbihan, ainsi qu'à Asnières-sur-Seine (92). Suivront les villes de Nîmes (30) et Blagnac (31). En termes d'innovation, nous portons deux grands projets. Premièrement, tous les franchisés du réseau seront équipés d'un nouveau logiciel de CRM* d'ici la fin de l'année. L'objectif est de fidéliser nos clients en les accompagnant dans leurs projets immobiliers tout au long de leur vie. Deuxièmement, nous allons mettre en place début 2013 un nouveau cycle de formation via une plateforme d'e-learning. Cette innovation nous permettra de réduire les coûts de formation au profit de nos franchisés, tout en augmentant la qualité de nos prestations : la formation a toujours été un point fort du réseau Avis Immobilier.

Propos recueillis par Camille Prigent, Journaliste, Rédaction Les Echos

Retrouvez l’enseigne sur www.avis-immobilier.fr
et pour le développement sur http://franchise.avis-immobilier.fr





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29 août 2012

Logement étudiant : Pour déloger les mauvaises pratiques des marchands de listes, l’UFC-Que Choisir dépose plainte contre 13 enseignes

Alors que certains bacheliers sont encore et toujours en quête d’un logement pour leurs études supérieures, l’UFC-Que Choisir rend publics aujourd’hui les résultats effarants d’une enquête sur la pertinence des services des marchands de listes et le respect de leurs obligations légales. Face aux abus constatés, l’association dépose plainte contre 13 enseignes.

Interpellée par de nombreux témoignages dénonçant l’obligation, parfaitement illégale, de payer avant la remise de la liste ainsi que l’indisponibilité des biens proposés, l’UFC-Que Choisir a diligenté une enquête dans 11 villes universitaires en simulant la recherche d’un appartement pour un étudiant auprès de 18 marchands de listes appartenant à 15 enseignes . Les résultats sont sans appel : les mauvaises pratiques des vendeurs de listes se situent à tous les étages.

Vous avez dit « marchands de listes » ? : Dans les annonces passées, les réponses téléphoniques ou même parfois en établissement, les vendeurs de liste masquent leur activité réelle (la simple remise de listes d’annonces) et induisent le consommateur en erreur en laissant penser qu’il s’agit d’un agent immobilier prêtant son concours à la rédaction du bail et à l’état des lieux. Par exemple, le prix de la liste est déguisé en « honoraires » ou « frais d’agence ».

Paie pour voir ! : Alors que la loi impose que le paiement de la liste s’effectue après la prestation, 89% des marchands ont exigé l’argent avant la remise du moindre document. Or, le montant est loin d’être modique, en moyenne 200 euros, et jusqu’à 450 euros à Paris. Au-delà de l’illégalité, c’est tout de même un comble d’exiger d’un étudiant un tiers de son budget mensuel (610 euros ), alors même qu’il ignore le nombre de biens qui correspondront à sa demande, et n’a aucune garantie d’obtenir une location.

Pas besoin de vos critères : Le service proposé ne peut en aucun cas être comparé à un service de recherche, puisque le vendeur ne fournit qu’une simple liste de biens, parfois reprise pure et simple d’annonces déjà diffusées dans la presse locale, correspondant à des critères limitatifs et approximatifs. Les vendeurs adressent des biens « déjà en stock » dans les fichiers et ne vont aucunement tenter de trouver des biens correspondants aux critères et attentes particulières du client.

Peu de biens proposés, rarement pertinents : Sur la base du loyer et de la surface minimum demandée (conformes au marché), seuls 49% des biens proposés étaient pertinents, soit moins d’une annonce sur deux ! Ce résultat est d’autant plus désolant lorsqu’on constate que, pour les mêmes critères, un grand site internet gratuit propose, dans 94% des cas, plus d’annonces de biens pertinents à loyer inférieur, souvent largement, aux loyers de la liste des vendeurs. Pire, bien pertinent ne rime pas avec disponible. Par exemple, à Lyon, sur les 4 biens pertinents de la liste APL Location, 3 n’étaient déjà plus disponibles dans les 24 heures qui suivaient l’achat de la liste.

Décidée à ce que les candidats à la location, particulièrement les étudiants, ne soient pas plus longtemps victimes des vendeurs de listes, l’UFC-Que Choisir :

- Dépose plainte contre 13 enseignes pour pratiques commerciales trompeuses ;
- Invite les étudiants et leurs parents à réfléchir à deux fois avant de recourir à grand frais à ces vendeurs, et met à disposition sur son site internet www.quechoisir.org une fiche d’information ;
- Demande au Législateur d’encadrer plus strictement l’activité de « marchands de listes » pour garantir une valeur ajoutée par rapport au marché gratuit en prévoyant la vérification par le marchand de la fiabilité du descriptif des annonces (surface réelle, quartier, etc.), définissant un contrat type assurant une réelle personnalisation de la recherche à travers des critères précis (surface minimum, exposition, DPE, etc.) et en imposant une réactualisation quotidienne des fichiers et des informations transmises au consommateur.

(1) L’enquête s’est déroulée en février à Paris, et en juin 2012 à Bordeaux, Caen, Dijon, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Rennes, Strasbourg, Toulouse. 18 marchands de listes ont été visités, ceux-ci appartenant à 15 enseignes : Ancea, APL Location, Casa Immo, Chaîne des propriétaires et des particuliers, Directe Location Bordeaux, Directe Location Dijon, Git’Immo, Hestia (non attaquée), Loc’a (non attaquée), MIL’IM Lyon, MIL’IM Strasbourg, Pan euro Nord, Pan euro Sud, Service location, Top Immo 59.

(2) Selon une étude BVA-Sodexo publiée le 14 mai 2012.






Abri Piscine

20 août 2012

Besson Immobilier, expert dans l’immobilier suisse

L’agence immobilière Besson Immobilier vous aide à trouver un chalet suisse, un appartement ou une maison dans la région du Verbier. Que vous souhaitiez une location immobilière à Verbier de quelques jours ou acquérir une propriété, faites confiance à l’expérience de ses agents.

Une réputation qui repose sur une expérience éprouvée

Située en plein cœur de la région du Verbier en Suisse, l’agence Besson Immobilier vous aide à trouver une propriété qui convient à vos goûts. Dans son catalogue, vous découvrirez un vaste choix de studios, d’appartements et de chalets très cosy à des tarifs compétitifs, que vous comptiez rester un week-end ou plusieurs mois dans la région.

Vous pouvez aussi lui confier la vente de votre propriété ou la recherche de locataires pour une saison ou pour toute l’année. Ses agents vous accompagnent personnellement pour vous aider à faire le meilleur choix dans votre recherche de location chalet de prestige à Verbier.

Des agents qualifiés à vos côtés

Quelle que soit la période de l’année, cette station du Verbier draine continuellement des touristes qui peuvent y exercer plusieurs activités en plein air. En été, vous pourrez faire des randonnées dans ses forêts ou dans la montagne ou encore parcourir ses pistes à vélo. L’hiver est la saison préférée des skieurs et des adeptes de snowboard.

Vous y trouverez facilement un bon logement grâce aux agents de Besson Immobilier. Ces derniers maîtrisent tous les rouages de l’administration immobilière dans le secteur et seront à vos côtés lors de la conclusion de vos transactions.

Enfin, si vous devez quitter la région, confiez le gardiennage de votre propriété à Besson Immobilier. Vous pouvez aussi lui demander sa mise en location si tel est votre souhait.





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